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Toute la gestion de JMap Server se fait à l’aide de l’application JMap Admin. Cette interface web permet aux administrateurs d’effectuer des tâches comme l’intégration de bases de données, la création de projets, la diffusion de cartes et la gestion de la sécurité.
Identification
Nom
Entrez un nom pour la nouvelle base de données. Le nom choisi doit être unique.
Description
(Optionnel) Entrez une description pour la nouvelle base de données. La description n’est visible que par les administrateurs dans JMap Admin.
Paramètres de connexion
Pilote
Sélectionnez le pilote qui correspond au système de base de données auquel vous voulez vous connecter. Vous pouvez ajouter de nouveaux pilotes en créant de nouveaux fichiers de configuration dans le répertoire JMAP_HOME/conf/db sur le serveur.
Hôte
(Selon le pilote sélectionné) Le nom ou l’adresse TCP/IP du serveur de bases de données.
Port
(Selon le pilote sélectionné) Le port TCP/IP du serveur de bases de données.
Base de données
(Selon le pilote sélectionné) Le nom de la base de données à accéder, tel que défini dans le serveur de bases de données.
Fichier / Dossier
(Selon le pilote sélectionné) Le chemin d’accès vers le fichier de bases de données.
Chaîne de connexion (Configuration avancée)
(Seulement pour le pilote Oracle) La configuration avancée vous permet de configurer la chaîne de connexion en l’écrivant directement dans la plage spécifique. C’est une manière plus flexible de configurer la chaîne de caractères dans certaines circonstances.
Paramètres supplémentaires
Dans certaines situations exceptionnelles, les systèmes de bases de données peuvent exiger des paramètres supplémentaires. Ils peuvent être entrés dans ce champ.
Nom d’utilisateur
Entrez le nom d’utilisateur pour la connexion à la base de données. L’authentification d’utilisateurs de domaine n’est pas supportée. Vous devez vérifier que la base de données permet l’authentification à ce niveau.
Mot de passe
Entrez le mot de passe pour la connexion à la base de données.
Connexions
Nombre de connexions
Entrez la taille initiale de la réserve de connexions afin de déterminer le nombre de connexions à la base de données qui demeureront ouvertes.
Maximum de connexions
Entrez le nombre maximal de connexions permises pour cette réserve. Le nombre entré doit être égal ou supérieur au nombre initial de connexions. Si la réserve doit s’agrandir, de nouvelles connexions seront automatiquement créées jusqu’à ce que la valeur maximale soit atteinte. Après un certain délai, les connexions supplémentaires sont automatiquement fermées et la réserve reprend sa taille initiale. La valeur maximale peut être désactivée en désélectionnant la case à cocher, afin de permettre d’agrandir la réserve sans contrainte.
Paramètres additionnels
Dans certaines situations exceptionnelles, les systèmes de bases de données peuvent exiger des paramètres additionnels. Ils peuvent être entrés dans ce champ.
Requête de validation
JMap utilise un mécanisme de validation des requêtes afin d’assurer que les connexions à la base de données sont valides. Cette requête est utilisée pour tester la connexion chaque fois qu’une requête doit être exécutée. Si la requête de validation échoue, ce qui signifie généralement que la connexion à la base de données est rompue, JMap Server tentera automatiquement d’établir une nouvelle connexion. Ce mécanisme permet d’assurer que les connexions à la base de données ne cessent jamais de fonctionner. La requête doit être valide et doit s’exécuter très rapidement. Afin de réduire l’impact sur la performance, assurez-vous de minimiser le nombre d’enregistrements retournés (la valeur zéro est idéale) et utilisez des champs indexés dans la clause WHERE. Des requêtes par défaut sont fournies. En règle générale, elles n’ont pas besoin d’être modifiées.
Délai d’expiration de la connexion
Le délai d’inactivité est utilisé pour fermer et ouvrir à nouveau les connexions qui demeurent inactives pendant une période prolongée. Ce mécanisme permet d’assurer que le système de base de données ne ferme pas les connexions inactives. Assurez‑vous que cette valeur est inférieure au délai d’attente de connexion de votre système de base de données. La valeur par défaut de 2 heures convient la plupart du temps.
Délai maximal de connexion
Le délai maximal de connexion définit la valeur du délai d’attente pour les opérations de base de données. Ce paramètre peut être abaissé pour éviter les ralentissements ou les blocages dans les situations où le serveur de base de données met trop de temps à répondre, ou il peut être augmenté pour permettre des périodes d’attente plus longues afin que les requêtes avec un temps de traitement long puissent être exécutées avec succès. La valeur par défaut est de 60 secondes. Activez cette option pour spécifier une valeur différente pour la connexion.
Type de connexion
Indiquez le type de connexion devant être créée. Les connexions génériques utilisent toutes les mêmes informations d’utilisateur (nom d’utilisateur et mot de passe) définies précédemment. Du point de vue du système de base de données, c’est comme si le même utilisateur effectuait toutes les requêtes. Ce type de connexion est utilisé la plupart du temps. Les connexions identifiées sont créées à la volée pour chaque utilisateur connecté à JMap Server. La même connexion est réutilisée au cours de la session pour chaque utilisateur. Du point de vue du système de gestion de bases de données, chaque requête est effectuée par l’utilisateur qui est connecté à JMap Server. Ce mode de connexion est utile dans les environnements où la sécurité est gérée au niveau de la base de données. Afin d’assurer le fonctionnement du mode de connexion identifié, JMap et le système de base de données doivent partager la même liste d’utilisateurs, ce qui peut être le cas lorsque le module de gestion des utilisateurs d’Oracle est utilisé pour gérer les utilisateurs.
La réinitialisation d’une base de données ferme toutes les connexions ouvertes et en crée de nouvelles. Cette action peut être utile pour forcer le rétablissement de la connexion à un système de base de données.
La désactivation d’une base de données ferme les connexions vers celle-ci sans supprimer sa configuration. JMap Server ne peut plus interroger la base de données. La désactivation est utile lorsque la base de données ne répond plus et entraîne des délais dans le serveur local.
La suppression d’une base de données supprime la configuration de la connexion pour ce système de base de données. Les données contenues dans la base de données ne sont aucunement affectées.
Chaque base de données possède un état. Celui-ci indique la condition de la connexion à la base de données. Le tableau suivant décrit les états possibles pour une base de données.
Les bouton Permissions s'affiche dans la section Bases de données et s'active lorsque au moins une base de données est sélectionnée. Il s'affiche aussi dans l'interface de configuration d'une base de données.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour la base de données, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Utilisateurs et groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap Server.
Il existe uniquement des permissions administrateur pour les bases de données.
État
Erreur
Les connexions à la base de données sont rompues. La base de données ne peut être utilisée tant que l’erreur n’a pas été corrigée et que les connexions n’ont pas été ouvertes de nouveau. La réinitialisation de la base de données corrige parfois ce problème. Vous pouvez obtenir une description de l’erreur en cliquant sur le mot Erreur en rouge.
Inactive
Les connexions à la base de données sont fermées mais elles sont configurées. JMap ne peut plus interroger la base de données.
Connecté
Les connexions à la base de données ont été créées avec succès et sont prêtes à être utilisées.
Accéder à la base de données
Permet à un administrateur de voir les informations détaillées de la base de données.
Administrer la base de données
Permet à un administrateur de modifier la configuration de la base de données.
Utiliser la console SQL
Permet d’utiliser la console SQL sur la base de données. La console SQL permet de voir la structure de la base de données et d’exécuter des requêtes SQL sur la base de données.
Il est possible d’associer des métadonnées aux sources de données spatiales dans JMap. Les métadonnées pourraient être composées d’informations telles que le producteur des données, la date de mise à jour, une description, etc. Les utilisateurs pourront consulter ces informations dans les applications JMap, pour les couches correspondantes.
Les métadonnées peuvent être entrées directement dans JMap Admin, selon des modèles prédéterminés, ou alors provenir d’un système externe de gestion des métadonnées. Consultez la section Modèles de métadonnées pour plus d’information sur la création des modèles.
Pour accéder à la configuration des métadonnées pour une source de données spatiales, appuyez sur Métadonnées depuis la section des détails d’une source de données spatiales. Les options sont les suivantes.
Les couches qui puisent leurs données dans des sources de données spatiales comportant des métadonnées héritent automatiquement de ces métadonnées. Les métadonnées peuvent être visualisées par les utilisateurs des applications JMap Web, JMap NG et JMap Pro.
Les captures d’écran ci-dessous présentent l’interface graphique de JMap Admin.
Type
Il existe 3 cas possibles : Aucune : Aucune métadonnée n’est associée à cette source de données. Externe : Les métadonnées proviennent d’un système de gestion des métadonnées externe à JMap et qui accédé par une URL. L’URL doit être renseignée dans le paramètre URL plus bas. Modèle : Les métadonnées sont renseignées directement dans cette section, en utilisant le modèle sélectionné.
URL
Si le type de métadonnées est externe, ce paramètre définit l’URL à ouvrir pour consulter les métadonnées associées à cette source de données spatiales.
Modèle
Si le type de métadonnées est m
odèle, sélectionnez le modèle à utiliser pour cette source de données. Le formulaire de saisie des métadonnées pour ce modèle s’affiche. Saisissez les métadonnées en remplissant les différents champs.
1 | Les listes vous permettent de sélectionner des items. |
2 | Les options de la liste permettent de sélectionner les champs affichés dans la liste. |
3 | Des filtres pour certains champs permettent de filtrer le contenu de la liste. |
4 | Vous pouvez naviguer dans les pages de la liste ou modifier le nombre d’items par page. |
5 | L’outil de recherche permet de localiser des ressources dans JMap Admin par leur nom. |
1 | Un fil d’Ariane vous permet de naviguer dans JMap Admin. |
2 | Le manuel de l’administrateur est accessible par le menu Aide. |
1 | La présence de ce bouton indique la possibilité d’ajouter des traductions pour différentes langues que vous souhaitez supporter. |
2 | Chaque ressource peut être traduite en plusieurs langues. |
1 | Vous pouvez voir un aperçu de chaque projet en tout temps, à mesure que vous faites des changements. |
2 | Vous pouvez ouvrir votre projet avec JMap Web ou JMap Pro sans quitter JMap Admin. |
1 | Vous pouvez spécifier le nom du serveur JMap. L’Aide vous donne accès à ce manuel, aux manuels des extensions installées dans le serveur ainsi qu’à la Base de connaissances de K2 Geospatial. Vous pouvez sélectionner la langue d’affichage de JMap Admin. La langue choisie dans ce menu ainsi que la langue choisie dans l’interface de connexion est enregistrée par JMap qui l’affiche par défaut lors des sessions subséquentes. Le nom du compte d’utilisateur qui ouvre la session de JMap Admin. Vous pouvez changer le mot de passe du compte et vous déconnecter de la session. |
2 | La barre latérale donne accès aux sections principales de JMap Admin. |
3 | Le menu varie en fonction du contexte et permet d’ouvrir les sous-sections. |
4 | Des boutons raccourcis permettent d’atteindre rapidement une section en particulier. |
Lorsque vous cliquez sur le nom d’une base de données dans la section Base de données, l’interface Configuration des bases de données s’affiche.
Des boutons situés dans la barre supérieure de l'interface permettent de gérer la base de données : Désactiver, Réinitialiser, accéder aux Permissions, Supprimer ou éditer la base de données. Les détails sont présentés dans la section Gestion des bases de données.
Des sous-sections de l'interface de configuration présentent des informations sur la base de données. Les valeurs des paramètres indiqués ont été définies lors de la création de la connexion à la base des données. Référez-vous à la section Création de bases de données pour obtenir les détails de chaque paramètre. Certains paramètres tels que le nom ou la description peuvent être édités directement dans la section. D'autres paramètres peuvent être modifiés en appuyant sur Éditer.
Cette sous-section affiche le nom, l’Id (identifiant interne de JMap), la description et le propriétaire de la base de données.
Cette sous-section affiche les détails de la réserve des connexions. Les paramètres indiqués sont : taille initiale, taille maximale, utilisation de la réserve, pointe d’utilisation de la réserve, délai d’expiration de la connexion, délai maximal de connexion.
Cette sous-section affiche les détails de la connexion à la base de données. Les paramètres indiqués sont : état, base de données (indique le type), pilote, chaîne de connexion, nom d’utilisateur, requête de validation et type de connexion.
Cette sous-section affiche toutes les ressources dans lesquelles sont utilisées les données de la base de données. De manière hiérarchique les sources des données spatiales sont présentées, ainsi que les projets avec les couches, les rapports et les formulaires, tous avec les attributs utilisés. Cette information est utile pour visualiser les ressources qui seraient affectés par les modifications de la base de données.
JMap Server gère les connexions de bases de données en les plaçant dans des réserves. Les réserves comportent un certain nombre de connexions ouvertes vers les bases de données. Les connexions sont partagées à l’ensemble du système et utilisées selon les besoins d’accès aux bases de données.
Toutes les réserves de connexions aux bases de données (ci-après nommées bases de données afin de simplifier le texte) sont gérées centralement à l’aide de JMap Admin. De façon générale, les bases de données sont utilisées par JMap Server pour lire les données spatiales stockées dans les tables et pour accéder aux données descriptives associées aux données spatiales. Une fois que les bases de données ont été configurées dans JMap Admin, on peut les utiliser à partir d’autres sections et à différentes fins lors du processus d’administration.
La section Bases de données dans Ressources affiche un tableau qui présente les bases de données configurées dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer une nouvelle base de données, accéder à l'interface de configuration d'une base de données en cliquant sur son nom ainsi que gérer les bases de données que vous sélectionnez dans le tableau.
JMap possède une base de données nommée System qui contient des tables de géométries et de configurations de JMap Server. Cette base de données est essentielle et, en règle générale, ne doit pas être modifiée.
La base de données System ne peut pas être supprimée et elle ne devrait être manipulée que par des administrateurs avertis.
La base de données System est une base de données relationnelle qui stocke des données importantes pour JMap Server.
Si vous utilisez le gestionnaire des utilisateurs intégré à JMap Server, les données relatives aux comptes des utilisateurs et groupes se trouvent dans cette base de données. Ce n’est pas le cas si vous utilisez un autre gestionnaire d’utilisateurs (p. ex. LDAP/Active Directory).
De plus, lorsque les sources de données spatiales lisent leurs données à partir de fichiers (SHP, MIF, DWG, etc.), la géométrie et les données descriptives lues à partir de ces fichiers sont insérées dans les tables de la base de données System. Il y a une table pour chacune de ces sources de données, de même que des tables d’index spatiaux qui accélèrent l’extraction des données.
Les couches personnelles créées par les utilisateurs, ainsi que les tables JMap Spatial, sont aussi stockées dans la base de données System.
Par défaut, le système de gestion de base de données relationnelle (SGBD) utilisé pour stocker les bases de données System de JMap Server est Apache Derby. Il est intégré à JMap Server et ne nécessite aucune maintenance. Ce système convient pour la publication de petites quantités de données spatiales ou pour les environnements de test.
Il est fortement recommandé d’utiliser un autre système de gestion de base de données relationnelle.
La liste des systèmes compatibles est présentée dans Spécifications techniques de JMap Server Lima.
Par défaut, les fichiers de base de données de Derby sont situés sous le répertoire JMAP_HOME/db/database.
Vous ne devez en aucun moment supprimer ou modifier les fichiers qui se trouvent dans ce répertoire.
Vous pouvez facilement déplacer la base de données System de JMap Server vers un autre SGBD. Ceci est fortement recommandé pour améliorer la performance ou l’extensibilité ou encore pour avoir accès à des fonctionnalités plus avancées, telles que la création de copies de sécurité. Les SGBD qui sont officiellement pris en charge pour le stockage de la base de données System de JMap se détaillent dans Spécifications techniques de JMap Server Lima.
Notez que d’autres versions et d’autres SGBD seront probablement prises en charge également, car JMap Server utilise principalement des fonctionnalités de base de données très simples et communes.
Pour contenir la base de données System, vous devriez utiliser une base de données ou un schéma réservé exclusivement à JMap. Le compte utilisateur utilisé pour établir la connexion doit avoir les privilèges requis pour sélectionner, insérer, créer et supprimer des tables et des index.
Pour déplacer la base de données System vers un autre SGBD, vous devez modifier la base de données appelée System dans JMap Admin. Sélectionnez le pilote de base de données et les paramètres de connexion correspondant à l’environnement de la nouvelle base de données System. JMap Server va automatiquement créer les tables requises dans la nouvelle base de données.
Une fois que la base de données System aura été déplacée, toute source de données spatiale qui lit des fichiers de données vectorielles se verra attribuer l’état Non Initialisé. Ces sources de données devront être mises à jour avant de pouvoir être utilisées. Les autres types de sources de données (matricielles, Oracle Spatial, SDE, etc.) ne seront pas affectées.
De plus, si vous déplacez la base de données System, toutes les données utilisateur dans l’ancienne base de données doivent être déplacées à l’aide de l’outil d’exportation et d’importation des données. Consultez la section Exportation et importation pour plus d’information.
Il est possible d’établir des connexions d’un JMap Server vers un autre JMap Server. Ces connexions peuvent ensuite être utilisées pour partager des couches et des sources de données spatiales entre différents JMap Server, tout en évitant la duplication des données originales. Elles peuvent aussi être utilisées par certaines extensions de JMap Server qui requièrent une communication de serveur à serveur. Les connexions entre instances JMap Server sont notamment utilisées lors de la création de sources de données de types JMap Server vectorielle ou JMap Server matricielle, et lors de l’utilisation de couches partagées.
JMap Server gère les connexions vers d’autres JMap Server en les plaçant dans des réserves.
Votre licence d’utilisation de JMap Server doit permettre les sessions serveur pour qu’un autre JMap Server puisse se connecter à votre JMap Server. Pour plus d’information, reportez‑vous à la section État de JMap Server.
Le diagramme suivant représente la connexion entre 2 JMap Server (A et B) où l’application JMap, connectée au serveur A, accède à des données spatiales servies par une autre instance de JMap Server (serveur B).
La section Connexions JMap Server dans Ressources affiche un tableau des connexions configurées dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer une nouvelle connexion, accéder à l'interface de configuration d'une connexion en cliquant sur son nom ainsi que gérer les connexions que vous sélectionnez dans le tableau.
Le guide suivant décrit les grandes étapes menant à la configuration et la publication d’une carte en utilisant JMap Server Lima.
Assurez‑vous que JMap Server a démarré. Si vous l’avez installé en tant que service sur Windows, vous devez le démarrer à partir de la fenêtre Services de Windows. Autrement, vous devez le démarrer en utilisant les exécutables dans JMAP_HOME/bin ou en utilisant les raccourcis créés lors de l’installation sur le serveur.
Pour ouvrir JMap Admin, vous pouvez utiliser le raccourci qui a été créé lors de l’installation dans le répertoire de base de l’installation, sur le serveur. Vous pouvez également ouvrir un navigateur Web et taper une adresse URL semblable à http://192.168.0.1:8080/jmapadmin. L’adresse IP et le numéro de port peuvent changer selon l’environnement d’installation et les paramètres choisis.
À la suite de l’installation, le nom d’utilisateur par défaut est « administrator » et le champ Mot de passe est vide.
Dans JMap Admin, vous devrez suivre les étapes décrites ci-dessous afin de publier des données cartographiques.
Étape 1 — Création de sources de données spatiales
Cette étape nécessite que vous définissiez vos sources de données spatiales. Il peut s’agir de fichiers SIG, de serveurs de données spatiales, d’images satellites, etc. Vous indiquez ainsi à JMap Server l’endroit à partir duquel vos données doivent être lues.
Consultez la section Création de sources de données spatiales pour plus de détails à ce sujet.
Étape 2 — Création d’un projet
Dans JMap Server, un projet contient des données sur les définitions des couches d’une carte, de même que des paramètres régissant le contrôle des accès (sécurité), les requêtes, les unités, etc. En créant un projet, vous définissez l’aspect visuel de votre carte et l’information qu’elle contiendra.
Consultez la section Création de projets pour plus de détails à ce sujet.
Étape 3 — Création de couches dans le projet
Cette étape consiste à créer les couches cartographiques pour votre nouveau projet. Chaque couche de votre carte est associée à une source de données spatiales. Pour chaque couche, vous devez définir le style (la façon dont les éléments des couches seront dessinés), les étiquettes, les thématiques, etc. Vous pouvez aussi définir le contrôle d’accès couche par couche.
Consultez la section Création de couches pour plus de détails à ce sujet.
Étape 4 — Diffuser le projet aux utilisateurs
Il s’agit de la dernière étape. Ici, vous publiez votre projet en utilisant le type d’application de votre choix. Chaque type d’application offre différents niveaux de fonctionnalité. Il existe des applications de bureautique et pour le web, des applications qui se déploient et des applications qui se connectent à l’API Web de JMap Server. Une fois votre projet devenu accessible aux utilisateurs, ceux-ci peuvent s’en servir pour naviguer et travailler avec les données de votre carte.
Consultez la section Applications JMap Server pour plus de détails à ce sujet.
JMap Server se connecte aux données spatiales en créant des sources de données spatiales (SDS).
Les sources de données spatiales appartiennent à une de deux familles : les sources de données vectorielles et les sources de données matricielles. Les sources de données vectorielles fournissent des données vectorielles ainsi que leurs attributs, tandis que les sources de données matricielles fournissent des données matricielles (images).
La configuration des sources de données spatiales constitue généralement la première étape menant à la publication de données spatiales avec JMap Server.
JMap Server se connecte aux données spatiales stockées dans de fichiers de divers formats (p. ex. fichiers images, fichiers MIF, fichiers Shape, fichiers photos JPEG, etc.) au moyen de lecteurs de fichier spécifiques. JMap Server se connecte aussi directement aux données stockées sur des serveurs de données spatiales (p. ex. PostGIS, Oracle Spatial/Locator, ArcSDE, serveurs WMS/WFS, etc.).
Lorsqu’une source de données spatiales est créée, elle doit être mise à jour avant d’être utilisée. La mise à jour d’une source de données spatiales signifie la préparation de celle‑ci pour qu’elle soit utilisée par JMap Server. La section Mise à jour offre des détails sur ce sujet.
La section Données spatiales dans Ressources affiche un tableau qui présente les sources de données spatiales configurées dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer une nouvelle SDS, accéder à l'interface de configuration d'une SDS en cliquant sur son nom ainsi que gérer les SDS que vous sélectionnez dans le tableau.
Pour amorcer la création d’une nouvelle connexion, appuyez sur le bouton Créer dans la section Connexions JMap Server et suivez les étapes requises.
Cette section présente des concepts de base qui permettent de comprendre le fonctionnement des sources de données spatiales en JMap Server.
Certaines sources de données spatiales supportent l’édition des données (écriture) par JMap Server. C’est le cas de la majorité des sources de données de type SGBD (PostGIS, Oracle Spatial, etc.). Chaque section de ce manuel qui se rapporte à un type de source de données indique si celle-ci supporte la lecture seulement ou la lecture et l’écriture.
Les sources de données de type fichier (SHP, GML, etc.) ne supportent pas l’édition des données. Il existe cependant une option qui permet de transformer une telle source de données en source de données de type JMap Spatial qui pourra ensuite permettre l’édition des données spatiales et descriptives dans JMap Server. Une fois la transformation effectuée, la source de données ne sera plus liée aux fichiers originaux. Toutes les modifications sur les données devront être faites directement avec les outils d’édition de JMap.
Il est possible d’inclure plusieurs fichiers à la fois dans la plupart des sources de données qui lisent des fichiers. Cela permet de former des cartes continues. Une pratique courante de CAD consiste à séparer le territoire en tuiles rectangulaires. En lisant tous les fichiers de tuiles ensemble, les administrateurs de JMap Server peuvent recréer des cartes continues, à la seule condition que les fichiers contiennent la même structure de données (géométrie, couches et types d’attributs).
JMap Admin comporte un navigateur de fichiers qui permet de naviguer dans le système de fichiers du serveur où JMap Server est exécuté afin de sélectionner les fichiers à inclure dans les sources de données. Les unités de stockage local et en réseau peuvent être utilisés, à condition que le processus de JMap Server y ait accès.
Vous avez aussi la possibilité de créer des chemins prédéfinis. Ces chemins constituent des raccourcis qui permettent d’économiser du temps lors de la navigation. Ils peuvent également être utilisés pour écrire des chemins propres à un système d’exploitation, tel que Windows UNC (p. ex. \myserver\data). Pour créer un chemin prédéfini, vous devez aller à la racine du système de fichier et appuyez sur Ajouter chemin prédéfini...
Afin de restreindre la navigation dans le système de fichiers, vous pouvez définir un ou plusieurs répertoires racine. L’administrateur JMap ne pourra pas naviguer en dehors de ces répertoires. Pour ce faire, ajoutez une ligne dans le fichier jmapserver.properties.
Exemple
admin.filebrowser.roots=d:/data1|Data1
Dans cet exemple, un répertoire racine est créé et nommé Data1.
Accessible à travers l’explorateur de fichiers, le répertoire Téléversements contient les fichiers téléversés par tous les utilisateurs directement vers JMap Server à partir de JMap Admin. Si vous désirez téléverser un fichier pour l’utiliser comme source de données spatiales, ouvrez ce dossier pour accéder à l’interface de téléversement.
Saisissez un nom pour le fichier et appuyez sur Téléverser. Le fichier sera téléversé dans un répertoire créé automatiquement pour votre compte utilisateur. Le fichier est accessible à tous les comptes utilisateur.
Les sources de données spatiales dite Système sont des sources de données créées automatiquement par JMap Server pour supporter le partage de sources de données et de couches JMap. Normalement, il n’y a aucun besoin de gestion pour ces ressources et elles ne sont pas montrées par défaut dans la liste des sources de données spatiales.
Si vous souhaitez les afficher, vous pouvez sélectionner l’option Afficher les sources de données système dans les paramètres d’affichage du tableau de la section Donnés spatiales.
Identification
Nom
Entrez un nom pour la nouvelle connexion. Le nom choisi doit être unique.
Configuration
Type de connexion
Sélectionnez la méthode de connexion à utiliser pour se connecter au serveur distant, directe ou par proxy. Le choix peut dépendre de la configuration du réseau du côté du serveur distant. Les connexions par proxy utilisent le protocole HTTP et passent donc plus facilement à travers les pare‑feux. Selon le type de connexion sélectionné, les paramètres à saisir sont différents.
Hôte
Entrez le nom ou l’adresse IP du serveur distant avec lequel vous souhaitez établir la connexion.
Port du serveur
(Connexion directe) Dans le cas où le type de connexion est directe, entrez le port utilisé pour établir la connexion à JMap Server.
Protocole
(Connexion proxy) Dans le cas où le type de connexion est par proxy, sélectionnez le protocole HTTP ou HTTPS (sécurisé) utilisé par la connexion.
Chemin relatif
(Connexion proxy) Dans le cas où le type de connexion est par proxy, entrez le chemin relatif pour atteindre le proxy JMap.
Port proxy
(Connexion proxy) Dans le cas où le type de connexion est par proxy, entrez le port utilisé pour la connexion HTTP ou HTTPS.
Nom d’utilisateur
Entrez le nom d’utilisateur pour la connexion vers l’autre JMap Server. Celui-ci doit avoir un compte utilisateur qui correspond.
Mot de passe
Entrez le mot de passe pour la connexion vers l’autre JMap Server.
Paramètres avancés
Nombre de connexions
Entrez la taille initiale de la réserve de connexions afin de déterminer le nombre de connexions vers l’autre JMap Server qui demeureront ouvertes.
Maximum de connexions
Entrez le nombre maximal de connexions permises pour cette réserve. Le nombre entré doit être égal ou supérieur au nombre initial de connexions. Si la réserve doit s’agrandir, de nouvelles connexions seront automatiquement créées jusqu’à ce que la valeur maximale soit atteinte. La valeur maximale peut être désactivée, afin de permettre d’agrandir la réserve au besoin.
Délai d’expiration de la connexion
Le délai d’inactivité est utilisé pour fermer et ouvrir à nouveau les connexions qui demeurent inactives pendant une période prolongée. Ce mécanisme permet d’assurer que le serveur distant ne ferme pas les connexions inactives. Assurez‑vous que cette valeur est inférieure au délai d’attente de connexion de votre serveur. La valeur par défaut de 2 heures convient la plupart du temps.
Connection wait timeout
Le délai d’attente maximal lors de l’ouverture d’une connexion réseau vers le serveur distant. Ce paramètre sert à prévenir les blocages dans l’éventualité où le serveur JMap distant ne répond plus.
La réinitialisation d’une réserve de connexions vers JMap Server ferme toutes les connexions ouvertes et en crée de nouvelles. Cette action peut être utile pour forcer le rétablissement de la connexion à un JMap Server.
Vous pouvez désactiver une connexion distante sans supprimer la configuration de la connexion. Le serveur local ne peut plus interroger le serveur distant. La désactivation est utile lorsque le serveur distant ne répond plus et entraîne des délais dans le serveur local.
La suppression d’une connexion vers JMap Server supprime toute la configuration de cette connexion.
Chaque connexion possède un état. Celui‑ci indique la condition de la connexion vers JMap Server. Le tableau suivant décrit les états possibles pour une connexion :
Connecté
Les connexions à JMap Server ont été créées avec succès et sont prêtes à être utilisées.
Erreur
Les connexions à JMap Server sont rompues. La connexion ne peut être utilisée tant que l’erreur n’a pas été corrigée et que les connexions n’ont pas été ouvertes de nouveau. La réinitialisation de la connexion corrige parfois ce problème. Vous pouvez obtenir une description de l’erreur en cliquant sur le mot Erreur en rouge.
L’interface de configuration d’une source de données spatiales (SDS) vous permet d’accéder aux informations sur la source ainsi qu’à des fonctions de configuration de paramètres tels que les métadonnées, les permissions et les attributs. Dans le cas des SDS matricielles, cette interface vous permet d'ajouter des systèmes de coordonnées de référence au système d'origine des données.
Dans le cas des SDS matricielles créées à partir de la librairie GDAL, l'interface de configuration vous permet d'ajouter des systèmes de coordonnées de référence au système de projection d'origine des données. La section GDAL - Geospatial Data Abstraction Library offre les détails sur ce sujet.
La fenêtre de configuration d’un attribut contient deux onglets : Métadonnées et Échantillon de l’attribut.
L’onglet Échantillon de l’attribut affiche la valeur de l’attribut pour un échantillon d’éléments de la SDS.
Vous accédez à la section Permissions à partir du bouton Permissions de la section Données spatiales ou de l'interface de détail d'une source de données spatiales.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour la source de données spatiales, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans la section Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Utilisateurs et groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Il existe uniquement des permissions administrateur pour les sources de données spatiales.
Les attributs externes d’une source de données spatiales sont ceux qui sont obtenus à partir d’une base de données externe (base de données qui est séparée de la source de données elle-même). Les attributs externes sont ajoutés à la liste d’attributs existants et peuvent ensuite être utilisés de la même façon que tout autre attribut dans les rapports, requêtes, infobulles, thématiques, etc.
Les attributs externes sont uniquement disponibles pour les sources de données vectorielles qui lisent les données à partir de fichiers (shp, mif, tab, dwg, dgn, etc.) et les tables JMap Spatial. Lorsque vous travaillez avec des sources de données vectorielles qui accèdent à des données à l’intérieur de bases de données spatiales existantes (PostGIS, MySQL Spatial, Oracle Spatial/Locator, etc.), cette option n’est pas disponible. Dans ce cas, toutefois, il est souvent facile d’inclure tous les attributs requis en créant des liaisons SQL normales avec d’autres tables ou en créant des vues.
Les attributs externes sont ajoutés à partir de l’assistant de création de sources de données spatiales.
Afin d'ajouter un attribut externe, dans l'onglet Attributs externes de la section Attributs de l’assistant, appuyez sur Ajouter et choisissez l’une des 2 méthodes suivantes : Sélectionner des champs ou Requête SQL.
Choisissez cette option afin de sélectionner un ou plusieurs champs d’une table spécifique de la base de données à partir desquels vous souhaitez obtenir les valeurs. Cette option constitue la méthode la plus simple et permet de créer plusieurs attributs à la fois.
Choisissez cette option afin de fournir une requête SQL qui fera l’extraction des valeurs de l’attribut dans la base de données. Cette méthode est plus flexible mais est limitée à un seul attribut à la fois.
Les sources de données vectorielles servent à accéder à des données spatiales vectorielles (points, lignes, polygones, etc.). Consultez les sections suivantes pour de l’information sur les différents types de sources de données vectorielles supportés.
Durant la configuration d’une source de données spatiales vectorielles, vous devez configurer des attributs pour la source de données. Tous les attributs disponibles sont présentés dans une table. Par défaut, tous les attributs sont inclus. Cependant, certains peuvent être exclus. Dans ce cas, JMap Server les ignorera complètement. Il est également possible de spécifier les attributs pour lesquels JMap Server devrait créer un index afin d’optimiser les performances lors de l’exécution de requêtes sur ces attributs (l’absence d’un index n’affecte pas le temps de téléchargement et d’affichage des cartes). Ces index sont utilisés lorsque des requêtes par attributs sont effectuées sur ces champs.
Cette section comporte également des paramètres pour configurer les attributs externes. Consultez la section Attributs externes pour plus de détails à ce sujet.
Le bouton de la section Attributs permet de mettre à jour les statistiques de la SDS.
Base de données
Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les valeurs des attributs proviendront. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Schéma
Sélectionnez le schéma contenant la table.
Table
Sélectionnez la table contenant les champs à utiliser comme attributs externes.
Inclure
La liste des champs disponibles est affichée. Sélectionnez ceux à inclure comme attributs externes.
Extraire la valeur de
Indique le nom du champ.
Nom de l’attribut
Vous pouvez donner un nom différent à l’attribut externe qui sera différent du nom du champ.
Attribut dynamique
Sélectionnez cette option pour que l’attribut soit dynamique. Les attributs dynamiques sont lus directement à la source de manière dynamique. Les attributs non dynamiques sont importés dans la base de données système de JMap et ne sont relus qu’à la mise à jour de la source de données. Les attributs dynamiques peuvent réduire les performances dans certains cas.
Jointure sur les champs
Sélectionnez les paramètres de la jointure entre les données externes et la source de données de JMap.
Type d’agrégation
Cette option n’est disponible que si un seul champ est sélectionné. Sélectionnez la méthode d’agrégation devant être utilisée si plus d’une valeur est trouvée pour la même géométrie : Garder le premier élément : Conservez uniquement la première valeur trouvée. Moyenne : Calculez la valeur moyenne devant être utilisée en tant que valeur de l’attribut. Disponible uniquement pour les attributs numériques. Somme : Calculez la somme devant être utilisée en tant que valeur de l’attribut. Disponible uniquement pour les attributs numériques. Concaténation avec le séparateur suivant : Construisez une chaîne contenant toutes les valeurs séparées par le caractère spécifié. Disponible uniquement pour les attributs de texte.
Nom de l’attribut
Donnez un nom à l’attribut externe.
Attribut dynamique
Sélectionnez cette option pour que l’attribut soit dynamique. Les attributs dynamiques sont lus directement à la source de manière dynamique. Les attributs non dynamiques sont importés dans la base de données système de JMap et ne sont relus qu’à la mise à jour de la source de données. Les attributs dynamiques peuvent réduire les performances dans certains cas.
Base de données
Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les valeurs de l’attribut proviendront. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL devant être exécutée dans la base de données externe qui retourne les valeurs à utiliser pour l’attribut externe, de même que le champ utilisé pour effectuer une jointure avec la source de données. Appuyez sur Exécuter afin de tester la requête et d’initialiser les autres parties de l’interface.
Extraire la valeur de
Sélectionnez la table et le champ à partir desquels vous souhaitez obtenir les valeurs. Seuls les éléments retournés par la requête SQL sont disponibles.
Jointure sur les champs
Sélectionnez les paramètres de la jointure entre les données externes et la source de données de JMap.
Type d’agrégation
Sélectionnez la méthode d’agrégation devant être utilisée si plus d’une valeur est trouvée pour la même géométrie : Garder le premier élément : Conservez uniquement la première valeur trouvée. Moyenne : Calculez la valeur moyenne devant être utilisée en tant que valeur de l’attribut. Disponible uniquement pour les attributs numériques. Somme : Calculez la somme devant être utilisée en tant que valeur de l’attribut. Disponible uniquement pour les attributs numériques. Concaténation avec le séparateur suivant : Construisez une chaîne contenant toutes les valeurs séparées par le caractère spécifié. Disponible uniquement pour les attributs de texte.
Attribut clé
L’attribut clé est un attribut qui est utilisé quand JMap a besoin d’établir des relations entre certaines données et vos données spatiales. Il est important de choisir un attribut dont les valeurs ne changeront jamais. Si vous n’avez pas besoin de ce paramètre, vous pouvez laisser la valeur par défaut.
Inclure
Les attributs inclus sont traités par JMap Server. Ils peuvent être utilisés dans des rapports, pour la production de cartes thématiques, pour l’étiquetage, etc. JMap Server ignore complètement les attributs exclus. Par défaut, tous les attributs disponibles sont inclus.
Indexé
JMap Server peut indexer un attribut afin d’accélérer les requêtes qui utiliseront cet attribut. Si vous prévoyez utiliser un attribut pour effectuer des requêtes par attributs, celui-ci devrait être indexé, surtout si la source de données comporte un grand nombre d’éléments.
9
Métadonnées
Type
Indique le type de données de l’attribut.
Dynamique
Indique si l'attribut est dynamique.
Type SQL
Indique le type SQL de données de l’attribut.
Indexé
Indique si l’attribut est indexé. Lors de la création de la SDS vous pouvez cocher la case Indexé pour que l'attribut soit indexé.
Titre
Modèle de format
Spécifiez un modèle de format pour l’affichage des éléments de la SDS. Le modèle doit suivre les normes Java. Cet article offre des détails sur le sujet : https://docs.oracle.com/javase/tutorial/i18n/format/decimalFormat.html.
Lors de la sauvegarde, appliquer de manière récursive aux couches associées…
En cochant les cases appropriées vous appliquez le titre et/ou le modèle de format de l’attribut à toutes les couches qui sont associées à la SDS.
1
Informations générales configurées lors de la création de la SDS.
2
Paramètres de la SDS configurés lors de sa création. L’hyperlien vous permet d’accéder à la BD qui contient les données.
3
Informations spatiales. L’étendue correspond à l’étendue géographique des éléments contenus dans la SDS. Lorsque celle-ci n’a pas d’éléments les valeurs sont égales à 0.
4
Horaire de la mise à jour. Affiche les mises à jour planifiées pour la SDS. Cliquez sur l'icône pour configurer une mise à jour automatisée.
5
JMap Cloud. Cette section permet de partager la SDS dans la plateforme infonuagique JMap Cloud. La section Partage d’une SDS avec JMap Cloud offre des détails sur cette fonction.
6
Attributs. Cette section présente une liste des attributs de la SDS. Cliquez sur le nom d’un attribut pour ouvrir la fenêtre de configuration de ses propriétés.
7
Références. Cette section indique les projets et les couches qui utilisent cette SDS. Une légende indique les couches qui sont référencées.
8
Ces boutons permettent d’accéder aux sections Métadonnées et Permissions, de rendre la SDS éditable (le bouton apparaît seulement pour les SDS vectorielles), de la supprimer, la mettre à jour ou l'éditer.
Accéder à distance
Permet à un utilisateur d’accéder à cette source de données spatiales à travers une connexion JMap Server à JMap Server. Cette permission doit être accordée au compte utilisateur utilisé pour établir la connexion sécurisée entre deux JMap Server. Pour plus d’information à ce sujet, consultez les sections Connexions JMap Server à JMap Server et Partage de sources de données spatiales.
Administrer la source de données
Permet à un administrateur de modifier la configuration de la source de données spatiales.
Accéder à la source de données
Permet à un administrateur de créer des couches qui prennent leurs données dans cette source de données.
Lorsque vous cliquez sur le nom d’une connexion, l’interface Configuration de la connexion distante s’affiche.
Le bouton Permissions s'affiche dans la section Connexions JMap Server et s'active lorsque au moins une connexion est sélectionnée. Il s'affiche aussi dans l'interface de configuration d'une connexion.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour la connexion, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans la section Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap Server.
JMap Server peut lire les fichiers CSV ou tout autre fichier texte avec des valeurs séparées qui contiennent des coordonnées x et y. Ces coordonnées peuvent être utilisées pour des couches de points. La première rangée doit contenir les noms des champs. Les séparateurs permis sont la virgule (,), le point-virgule (;) et la tabulation. Les champs de texte peuvent être entourés ou non de guillemets. Les coordonnées X et Y doivent être des valeurs numériques.
Pour débuter la création d’une nouvelle source de données spatiales, dans la section Données spatiales appuyez sur Créer. Certains paramètres sont communs à toutes les sources de données tandis que d’autres sont propres à chaque type de source de données.
Des types de sources de données personnalisés peuvent être présents. Ces nouveaux types de sources de données sont développés à des fins particulières en utilisant JMap SDK.
Les étapes suivantes de la configuration dépendront du type de source de données que vous avez sélectionné. Pour plus de détails sur la configuration d’un type de source de données spatiales, consultez la section correspondante dans ce manuel.
La projection de la source de données doit être sélectionnée afin de correspondre à la projection des données. Si ce paramètre n’est pas correctement défini, il se peut que les données affichées ne soient pas valides.
À la dernière étape de la création d’une source de données spatiales, l’option Démarrer la mise à jour automatiquement permet de lancer la mise à jour lorsque vous appuyez sur Terminer.
Si vous ne sélectionnez pas cette option, vous devrez lancer manuellement la mise à jour à partir de la section des données spatiales pour que les changements soient pris en compte.
JMap Server peut lire les fichiers DGN V7 et V8 en tant que source de données spatiales. Sélectionnez le type de source de données qui correspond à la version de vos fichiers DGN. En général, les fichiers DGN sont produits par Bentley MicroStation.
Les fichiers DGN sont souvent accompagnés d’une base de données d’attributs. Il peut s’agir d’une base de données MS Access ou de tout autre système de bases de données. Si les fichiers DGN possèdent des attributs stockés dans une base de données séparée, vous devez d’abord configurer une réserve de connexions pour cette base de données avant de procéder. Reportez‑vous à la section pour plus d’informations sur la configuration des connexions de bases de données.
JMap Server peut lire, en tant que source de données spatiales, les fichiers DWG et DXF produits par Autodesk Autocad, versions 12 à 2018. Les blocs‑attributs sont lus et convertis en attributs des éléments.
Les tâches présentées dans cette section peuvent être effectuées à partir de l'interface de configuration d'une SDS en particulier ou à partir de la section Données spatiales, en sélectionnant une ou plusieurs SDS dans le tableau.
Avant qu’une source de données spatiales puisse être utilisée pour créer des couches, il faut qu’elle soit mise à jour. Dans JMap Server, la mise à jour d’une source de données implique généralement la collecte d’informations au sujet des données spatiales et de leurs attributs et la préparation des données de façon à ce qu’elles soient accessibles rapidement et efficacement. Ce processus peut être très court ou peut prendre plusieurs minutes, selon le type de source et la quantité de données.
De façon générale, pour les sources de données qui accèdent à des données stockées dans des fichiers, le contenu est lu par JMap Server et inséré dans les tables de la base de données System de JMap. Un index spatial est ensuite créé pour permettre un accès rapide et les statistiques des attributs sont calculées.
Pour les sources de données qui accèdent aux données stockées sur des serveurs de données spatiales, tels qu’Oracle Spatial/Locator ou les systèmes WFS, le processus de mise à jour est simplifié, se réduisant au simple calcul des statistiques des attributs.
La mise à jour des sources de données de fichiers nécessite plus de temps que la mise à jour des sources de données de serveurs.
Les sources de données peuvent être mises à jour en lot. Un maximum de trois sources de données peut être mis à jour simultanément. Les autres sources de données devant être mises à jour sont placées en attente jusqu’à ce que leur mise à jour puisse être exécutée.
Vous pouvez planifier la mise à jour automatique des sources de données spatiales. Cette action peut s’avérer utile si vous utilisez des sources de données qui lisent des fichiers de données. Si les fichiers sont fréquemment modifiés, vous pouvez planifier des mises à jour automatiques qui s’exécuteront sur une base régulière (chaque jour à minuit, par exemple) pour ces sources de données. Chaque source de données peut posséder une planification qui lui est propre.
Afin de planifier les mises à jour pour une source de données en particulier, appuyez sur l'icône de la section Horaire de mise à jour dans sa section de détails ou sélectionnez-la et cliquez sur Tâches planifiées dans le tableau des sources de données. Ensuite, vous n’avez qu’à suivre l’assistant afin de définir les moments précis auxquels auront lieu les mises à jour. Les options de planification sont très flexibles.
Une fois les tâches planifiées, vous pouvez visualiser la planification en cours pour une source de données en regardant sa section d’information.
À tout moment, vous pouvez accéder à la liste de toutes les mises à jour planifiées pour les sources de données en cliquant sur dans les Outils.
Lorsqu’une source de données est supprimée, sa configuration en entier est éliminée de façon définitive. Les données elles-mêmes (le fichier ou la base de données) ne sont pas affectées.
Un état est attribué à chaque source de données spatiales. L’état indique la condition de la source de données, c’est‑à‑dire si elle est prête à être utilisée, si une erreur est survenue, etc.
L’état d’une source de données nouvellement créée est toujours non initialisé (à moins que vous ayez activé le démarrage de la mise à jour automatique), ce qui signifie que la source de données ne peut pas encore être utilisée. Afin de pouvoir être utilisée, toute source de données doit être mise à jour au moins une fois.
Le tableau suivant décrit les états possibles pour une source de données spatiales :
JMap Server peut lire les fichiers ADF et E00 en tant que source de données spatiales. Ces fichiers sont généralement produits par le logiciel Arc/Info d’ESRI.
Reprojections. Cette section vous permet d'ajouter (+), mettre à jour () ou supprimer () des systèmes de coordonnées de référence pour la SDS.
Vous pouvez modifier le titre de l’attribut. L’icône vous permet de fournir le titre en plusieurs langues.
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers CSV devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux‑ci doivent tous posséder la même liste d’attributs. |
Séparateur | Sélectionnez le séparateur utilisé dans les fichiers devant être lus. |
Type de données | Sélectionnez le type de données approprié pour chaque champ. |
Champ X | Sélectionnez le champ qui contient les valeurs X. Seuls les champs numériques sont listés. |
Champ Y | Sélectionnez le champ qui contient les valeurs Y. Seuls les champs numériques sont listés. |
Identification |
Nom | Entrez un nom pour la nouvelle source de données spatiales. Le nom doit être unique. |
Type | Sélectionnez le type de source de données qui correspond au type de données à lire. Tous les types de sources de données pris en charge sont présentés dans la liste. Vous pouvez aussi rechercher dans la liste en écrivant quelques lettres dans le champ de recherche. |
Description | (Optionnel) Entrez une description pour la nouvelle source de données spatiales. Cette description n’est visible que par l’administrateur JMap Server. |
Projections |
Projection d’origine | La projection ou le système de coordonnées spatiales des données de la source de données. |
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers DWG ou DXF devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux‑ci doivent tous posséder la même liste d’attributs, et les géométries doivent être du même type. |
Source | Le fichier Autocad comporte un espace objet et un espace papier. L’espace papier contient des éléments supplémentaires destinés à l’impression. Sélectionnez l’espace à utiliser pour la lecture des données par JMap (typiquement l’espace objet). |
Options des lignes et polygones | Pas de conversion : Aucune conversion ne sera faite. Convertir les lignes fermées en polygones : Les objets de type lignes fermées seront lus comme des polygones par JMap. Convertir les polygones en lignes : Les objets de type polygones seront lus comme des lignes par JMap. |
Options des références de blocs | Pas de conversion : Aucune conversion ne sera faite. Les différents types d’objets (lignes, polygones, …) seront traitées séparément par JMap. Convertir les références de blocs en éléments complexes : Les différents types d’objets (lignes, polygones, annotations, …) qui composent les blocs seront lus ensemble et traités comme des éléments complexes par JMap. La taille maximale des annotations (textes) est de 255 points. Les annotations ne s’affichent pas à des échelles très grandes (zoom trop proche des complexes). Convertir les références de blocs en points : JMap remplacera les références de blocs par des points. Ceci a pour effet d’alléger considérablement les données lorsque les blocs sont composés d’une multitude d’objets. |
Couches | Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur les autres couches ne seront pas lues. |
État |
Erreur | Une erreur est survenue. La source de données ne peut pas recevoir de requêtes. Visualisez le message d’erreur afin de connaître la source de l’erreur. |
Tâche en attente | La source de données est en attente d’être mise à jour. Un maximum de trois sources de données peuvent être mises à jour simultanément. La source de données peut toujours recevoir les requêtes si elle a été mise à jour au moins une fois auparavant. |
Mise à jour requise | La configuration de la source de données a été modifiée et doit être mise à jour avant que les changements ne deviennent applicables. La source de données peut toujours recevoir des requêtes. |
Non initialisé | La source de données n’est pas prête à recevoir de requêtes. Cet état est généralement attribué à une source de données qui vient d’être créée mais qui n’a pas encore été mise à jour. |
Prêt | La source de données est prête à recevoir des requêtes. |
Mise à jour | La source de données est en cours de mise à jour. Selon le type de source de données et la quantité de données, le processus peut être très rapide ou peut prendre un certain temps. La source de données peut toujours recevoir les requêtes si elle a été mise à jour au moins une fois auparavant. |
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers ADF ou E00 devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs. |
Couches | Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues. |
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers DGN devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs, et les géométries doivent être du même type. |
Convertir les polygones en lignes | Sélectionnez cette option si vous souhaitez que les polygones soient lus en tant que lignes. |
Base de données des attributs | (Optionnel) Sélectionnez la base de données qui contient les attributs. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Couches | Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur les autres couches ne seront pas lues. |
1
Informations générales de la connexion.
2
Réserve de connexions configurée lors de la création de la connexion.
3
Informations sur la connexion et sur le serveur distant, configurées lors de la création de la connexion.
4
Références. Cette section indique les sources de données spatiales qui utilisent cette connexion. Un clic sur leur nom vous amène à leur page de configuration.
5
Boutons pour éditer, réinitialiser, désactiver ou supprimer la connexion, ainsi que pour accéder à la section Permissions de la connexion distante.
Permissions |
Administrer la connexion distante | Permet de modifier la connexion et de gérer les permissions des utilisateurs sur la connexion. Ne permet pas de supprimer la connexion ni d’en gérer les permissions d’administration. |
Accéder à la connexion distante | Permet de voir les informations détaillées de la connexion et permet d’utiliser la connexion, sans pouvoir la modifier. |
JMap Server peut lire les fichiers GeoJSON en tant que source de données spatiales.
Le format GPX est un format d’échange de données GPS basé sur XML. JMap Server peut lire les fichiers GPX en tant que source de données spatiales.
JMap Server peut lire les fichiers EDIGEO en tant que source de données spatiales.
JMap Server peut lire les géodatabases fichier d’ESRI en tant que source de données spatiales.
JMap Server peut lire les fichiers SHP en tant que source de données spatiales. Ceux‑ci sont généralement produits par des applications ESRI.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers GeoJSON devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs.
Couches
Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers GPX devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs.
Couches
Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers EDIGEO devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs.
Couches
Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur les autres couches ne seront pas lues.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez le répertoire qui contient la structure de la géodatabase.
Couches
Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues.
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers SHP devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux‑ci doivent tous posséder la même liste d’attributs, et les géométries doivent être du même type. En outre, chaque fichier SHP doit être accompagné d’un fichier DBF et d’un fichier SHX. |
Jeu de caractères du fichier DBF | Sélectionnez le jeu de caractères utilisé pour les attributs stockés dans le fichier DBF. Si ce paramètre n’est pas défini correctement, il se peut que certains caractères ne s’affichent pas correctement. La valeur par défaut est CP437. Cette valeur est adéquate la plupart du temps. |
Les sources de données spatiales (SDS) peuvent être partagées afin d’être accédées par d’autres instances de JMap Server. Cela permet de conserver les données à un endroit unique, mais d’y accéder depuis plusieurs JMap Server.
Dans JMap Admin, vous pouvez partager une source de données spatiales en attribuant sur celle-ci la permission Accéder à distance à un ou plusieurs utilisateurs. Ce choix doit correspondre à l’utilisateur utilisé pour établir la connexion à partir du JMap Server qui doit accéder aux sources de données spatiales partagées.
Consultez les sections Permissions des sources de données spatiales et Connexions JMap Server à JMap Server pour plus d’information à ce sujet.
Une fois qu’une source de données spatiales est partagée, une icône apparaît dans le tableau des sources de données, dans la colonne Partagée.
Vous pouvez partager une SDS avec JMap Cloud, la plateforme infonuagique développée par K2 Geospatial. Au préalable vous devez connecter JMap Server à JMap Cloud. La section Paramètres de JMap Server offre les détails sur ce sujet. Si cette étape n’est pas complétée, un message l’indique dans la section JMap Cloud de l’interface de configuration de la SDS.
Pour partager ou synchroniser la SDS avec JMap Cloud, dans l’interface de configuration, dans la section JMap Cloud :
Appuyez sur Synchroniser avec JMap Cloud. Une fenêtre s’ouvre et vous offre plusieurs possibilités :
Copier : Cette fonction crée une copie de la SDS (configuration et données) dans JMap Cloud. Aucun lien JMap Server → JMap Cloud n’est créé. Si la SDS est mise à jour sur JMap Server, les données ne sont pas synchronisées avec JMap Cloud.
Copier et synchroniser manuellement : Cette fonction crée une copie de la SDS (configuration et données) dans JMap Cloud. Un lien JMap Server → JMap Cloud est aussi créé. Si la SDS est mise à jour sur JMap Server, les données ne sont pas synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. L’utilisateur doit cliquer sur le bouton en haut à droite pour lancer la synchronisation de la SDS avec JMap Cloud.
Copier et synchroniser automatiquement : Cette fonction crée une copie de la SDS (configuration et données) dans JMap Cloud. Un lien JMap Server → JMap Cloud est aussi créé. Si la SDS est mise à jour sur JMap Server, les données sont synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. L’utilisateur peut également cliquer sur le bouton en haut à droite pour lancer la synchronisation manuelle de la SDS avec JMap Cloud.
Sélectionnez l’option qui vous convient et appuyez sur OK. Lorsque la SDS est synchronisée avec JMap Cloud la section JMap Cloud présente les informations suivantes :
Id : Identifiant de la source de données spatiales dans JMap Cloud.
État : Le statut de la source de données spatiales. Pendant la synchronisation, la tâche de synchronisation en cours s’affiche. Sinon, s’affiche l’état de la SDS dans JMap Cloud.
Dernière mise à jour : indique la dernière fois que la SDS a été synchronisée.
Synchronisation automatique : Si la fonction est activée (ON) et qu’une mise à jour se produit sur JMap Server, les données seront synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. Une fois que la source de données spatiales est synchronisée avec JMap Cloud, une icône apparaît dans la liste des sources de données, dans la colonne JMap Cloud.
Appuyez sur pour supprimer le lien JMap Server → JMap Cloud pour la SDS. Il n’est plus possible de synchroniser la SDS manuelle ou automatiquement. La SDS de JMap Cloud n’est pas supprimée.
Appuyez sur pour lancer la synchronisation de la SDS avec JMap Cloud.
JMap Server peut lire les fichiers de format IFC (Industry Foundation Classes) en tant que source de données spatiales. L’IFC est le format d’échange standard utilisé communément par les logiciels permettant le travail en BIM (Building Information Modeling).
JMap Server peut lire les fichiers GML des versions 2.x et 3.x en tant que source de données spatiales. Les fichiers GML doivent être jumelés aux fichiers de schéma (.XSD). Si un fichier GML contient des occurrences de plus d’un type de données, seul un de ces types peut être choisi en tant que type de base de la source de données.
JMap Server peut lire les fichiers KML en tant que source de données spatiales.
JMap possède son propre format de stockage d’annotations dans des tables de bases de données. Si vous avez des annotations dans un tel format, JMap Server peut les utiliser comme source de données spatiales. Les tables d’annotations en format JMap possèdent un certain nombre de champs requis, tel qu’expliqué dans le tableau plus bas. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichier choisi
Sélectionnez un fichier GML devant être lu.
Types de données
Sélectionnez le type de données devant être lu. Les fichiers GML doivent être accompagnés d’un fichier de schéma (XSD).
Version GML
Indiquez la version du fichier GML (2.x ou 3.x).
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Fichiers choisis | Sélectionnez un ou plusieurs fichiers KML devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs. |
Couches | Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues. |
Lecture | Oui |
Écriture | Non |
Base de données | Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Requête SQL | Entrez la requête SQL utilisée pour extraire les annotations de la base de données. |
Table de la géométrie | Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration. |
Champ X | Sélectionnez le champ qui contient la coordonnée X du point inférieur gauche du texte. |
Champ Y | Sélectionnez le champ qui contient la coordonnée Y du point inférieur gauche du texte. |
Champ de l’identifiant | Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. |
Champ du texte | Sélectionner le champ qui contient le texte de l’annotation. |
Champ de la hauteur | Sélectionnez le champ qui contient la hauteur de l’annotation, exprimée en unités des données. |
Champ de l’angle | Sélectionnez le champ qui contient l’angle de rotation de du texte de l’annotation. L’angle est en degrés et croissant dans le sens horaire. Un angle de zéro signifie que le texte est horizontal. |
JMap Server peut lire les fichiers TAB en tant que source de données spatiales. Ces fichiers sont généralement produits par les applications MapInfo.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers TAB devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux-ci doivent tous posséder la même liste d’attributs, et les géométries doivent être du même type.
Couches
Sélectionnez une ou plusieurs couches devant être incluses dans la source de données. Les données sur d’autres couches ne seront pas lues.
JMap Server peut lire les géodatabases d’entreprise qui utilisent le service ArcSDE d’ESRI (ArcGIS version 10.1 et précédentes) afin d’extraire les données spatiales et les données des attributs devant être utilisées en tant que source de données spatiales (SDS). La connexion au service ArcSDE doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
Il existe une configuration spéciale pour les attributs qui n’est disponible que pour les sources de données ArcSDE possédant des domaines d’attributs.
Afin que JMap puisse utiliser les domaines d’attributs ArcSDE, ceux‑ci doivent être exportés vers des tables d’une base de données pouvant être interprétée par JMap. Il existe un outil intégré à ArcCatalog pour créer ces tables. Veuillez communiquer avec K2 Geospatial pour plus de détails à ce sujet.
JMap Server peut lire les fichiers de photos (360 ou normales) en format JPEG en tant que source de données spatiales. Ces photos peuvent être visualisées dans les applications JMap Pro et JMap NG à partir des couches de points associées à ce type de source de données.
JMap Server lit tous les fichiers d’images du répertoire que vous indiquez. Les fichiers qui ne sont pas des images ou les fichiers d’images sans informations spatiales (latitude et longitude) sont ignorés.
Dans chaque fichier, JMap Server lit les métadonnées (latitude, longitude et autres informations) et les écrit dans une table JMap Spatial. Les coordonnées (latitude et longitude) définissent un point et les autres métadonnées sont des attributs du point. Les données de direction peuvent être utilisés, par exemple, pour appliquer une rotation aux symboles qui représentent les points. Les photos 360 sont traitées de la même manière que les photos normales.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Connexion SDE
Sélectionnez la connexion au service SDE devant être utilisée pour extraire les données spatiales et les attributs. La connexion utilise le pilote ArcSDE et elle doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Couche
Sélectionnez la feature class devant être lue. Chaque table dans la base de données SDE correspond à une feature class différente.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez le champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. Le champ se nomme généralement OBJECT_ID.
Champ de la date de création
Ce paramètre est optionnel. Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de la date de modification
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. Ce champ est utilisé pour gérer les conflits de transaction et doit être présent dans les attributs des couches éditables pour que cette fonctionnalité soit activée.
Champ de l’auteur
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Base des données des métadonnées
(Optionnel) Ce champ sert à définir la base de données contenant les domaines de valeurs et les relations à utiliser. Celles-ci doivent préalablement avoir été exportées de ArcSDE dans une structure de tables précise.
Source des données
Déterminez si les valeurs des attributs doivent être utilisées directement (Attribut) ou si elles doivent être substituées par les valeurs spécifiées dans le domaine (Domaine).
Lecture
Oui
Écriture
Non
Répertoires choisis
Sélectionnez un ou plusieurs répertoires qui contiennent les photos en format JPEG. Vous pouvez structurer les photos en différents dossiers indépendants pour créer plusieurs sources de données spatiales (ex. : Photos 2020, Photos 2021, etc.).
Options du lecteur
Cochez l’option Inclure les sous répertoires pour que JMap Server lise les fichiers stockés dans les sous répertoires. Indiquez les étiquettes des champs correspondant aux coordonnées géographiques, l’altitude et la direction.
Attributs
Cochez les attributs à inclure dans la source de données spatiales. Sélectionnez l’attribut correspondant à l’identifiant unique
Attributs externes
Vous pouvez ajouter des attributs externes en sélectionnant des champs ou au moyen d’une requête SQL. La section Attributs externes offre des détails sur l’ajout des attributs.
Projection
Sélectionnez la projection des photos. Les coordonnées des photos sont exprimées en latitude et longitude, la projection est donc Longitude/Latitude (WGS 84) - EPSG:4326.
JMap Server peut lire les fichiers MID/MIF en tant que source de données spatiales. Ces fichiers sont généralement produits par les applications MapInfo.
JMap Server peut lire les géodatabases personnelles ESRI afin d’extraire les données spatiales et les données des attributs devant être utilisées en tant que source de données spatiales. Ce format utilise les fichiers Microsoft Access afin de stocker les données. La connexion à la base de données Access doit déjà être configurée en utilisant le pilote MS Access. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers MIF devant être lus. Si vous sélectionnez plus d’un fichier, ceux‑ci doivent tous posséder la même liste d’attributs, et les géométries doivent être du même type. En outre, chaque fichier MIF doit être accompagné d’un fichier MID.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Base de données
Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit connecter à un fichier MS Access. La base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL utilisée pour extraire les géométries et attributs de la base de données.
Table de la géométrie
Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. Le champ se nomme généralement OBJECT_ID.
JMap Server peut se connecter à des services REST d’ArcGIS Server et ArcGIS Online pour accéder des données vectorielles publiées par ce type de services. Les géométries et les attributs sont disponibles mais les autres informations (style, échelles, …) sont ignorées et doivent être configurées dans les couches du projet JMap.
Il est aussi possible de créer un projet JMap en important une configuration de couches existante d’un service ArcGIS REST. Voir la section Création de projets pour plus d’information.
JMap Server peut se connecter aux bases de données MySQL Spatial afin d’extraire des données spatiales et des attributs devant être utilisés en tant que source de données spatiales. L’unique exigence particulière est la présence d’une colonne numérique avec des valeurs de nombres entiers uniques devant être utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
JMap Server peut lire les géodatabases entreprise d’ESRI (ArcGIS version 10.0 et postérieures, JMap Server valide la version) afin d’extraire les données spatiales et les données des attributs devant être utilisées en tant que source de données spatiales (SDS). La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez-vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
La source de données spatiales supporte les domaines de valeurs. Les relations définies dans la géodatabase d’entreprise (EGDB) sont aussi supportées mais elles ne peuvent être exploitées qu’à l’aide d’outils externes.
Les attributs de la source de données correspondent aux colonnes de la table. Pour associer les données d’autres tables, une vue peut être créée dans la base de données et configurée comme une couche dans JMap. Les attributs de la source de données correspondront alors aux colonnes retournées par la vue.
JMap Server peut exploiter une source de données spatiales vectorielles qui provient d’une autre instance de JMap Server. Pour ce faire, pour devez d’abord configurer une connexion vers l’autre JMap Server. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
JMap Server peut se connecter à des bases de données PostGIS afin d’extraire des données spatiales et des attributs pouvant être utilisés en tant que source de données spatiales. L’unique exigence particulière est la présence d’une colonne numérique avec des valeurs de nombres entiers uniques devant être utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Base de données
Sélectionnez la base de données MySQL à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL utilisée pour extraire des géométries et attributs de la base de données.
Table de la géométrie
Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration.
Champ de la géométrie
Sélectionnez le champ qui contient les géométries.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés.
Champ de la date de création
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de la date de modification
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de l’auteur
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Lecture | Oui |
Écriture | Oui - Seulement SQL Server supporte toutes les opérations CRUD (créer, lire, mettre à jour et supprimer). Les autres bases de donnèes supportent seulement la lecture. |
Base de données | Sélectionnez la connexion devant être utilisée pour extraire les données spatiales et les attributs. La connexion est une base de données standard (Oracle, SQL Serveur, etc.). Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Schéma des tables système | Sélectionnez le schéma dans la base de données dans lequel se localisent les tables de métadonnées. |
Schéma | Sélectionnez le schéma dans la base de données dans lequel sera lue la table (ou la vue) contenant la feature class. |
Couche | Sélectionnez la feature class devant être lue. Chaque table dans la base de données correspond à une couche différente. |
Champ de l’identifiant | Sélectionnez le champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. Le champ se nomme généralement OBJECT_ID. |
Champ de la géométrie | Sélectionnez le champ qui contient les géométries. |
Champ de la date de création | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Champ de la date de modification | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. Ce champ est utilisé pour gérer les conflits de transaction et doit être présent dans les attributs des couches éditables pour que cette fonctionnalité soit activée. |
Champ de l’auteur | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Lecture | Oui |
Écriture | Oui |
Serveur JMap | Sélectionnez la connexion vers une autre instance de JMap Server devant être utilisée pour extraire les données spatiales et attributs. La connexion doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Source de données spatiales | Sélectionnez la source de données spatiales vectorielles existante sur l’autre instance de JMap Server à laquelle vous voulez accéder. Cette source de données doit être partagée par l’autre serveur. |
Lecture | Oui |
Écriture | Oui |
Base de données | Sélectionnez la base de données PostGIS à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Requête SQL | Entrez la requête SQL utilisée pour extraire des géométries et des attributs de la base de données. |
Table de la géométrie | Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration. |
Champ de la géométrie | Sélectionnez le champ qui contient les géométries. |
Champ de l’identifiant | Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. |
Champ de la date de création | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Champ de la date de modification | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Champ de l’auteur | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
JMap Server peut se connecter aux services répondant à la norme OGC API Features (https://ogcapi.ogc.org/features/) pour les utiliser en tant que source de données spatiales.
Cette nouvelle norme de l’OGC remplace la norme de services WFS.
OGC API Features fournit des API pour créer, modifier et interroger des “features” (des éléments ou entités du monde réel) sur le Web.
L’OGC API Features est composé de plusieurs parties, chacune d’entre elles étant une norme distincte.
La partie 1, le “noyau”, spécifie les capacités de base et est limitée à la récupération d’entités où les géométries sont représentées dans le système de référence de coordonnées WGS 84 longitude/latitude.
La partie 2 spécifie les capacités d’extraction d’entités dont les géométries sont représentées dans tous les autres systèmes de coordonnées de référence.
La partie 3, qui est en phase d’élaboration, concerne le filtrage des données ainsi que les consultes utilisant le Common Query Langage (CQL).
Des capacités supplémentaires qui répondent à des besoins plus avancés seront spécifiées dans des parties supplémentaires : prise en charge de la création et de la modification de features, des modèles de données plus complexes, des ensembles de données multiples et des hiérarchies de collection (https://www.ogc.org/standards/ogcapi-features).
JMap Server implémente la partie 1 de la norme, qui permet d’accéder à des données spatiales (entités ou features) organisées en collections. Les données sont envoyées en format HTML ou GeoJSON (https://ogcapi.ogc.org/features/overview.html).
JMap Server peut se connecter à n’importe quelle base de données relationnelle afin d’extraire des coordonnées X et Y pouvant être utilisées en tant que source de données spatiales pour ainsi créer des couches de points. La base de données doit au moins contenir des champs de coordonnées (valeurs numériques) ainsi qu’un champ contenant des valeurs de nombres entiers uniques à être utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
JMap Server peut se connecter aux bases de données Oracle Spatial ou Locator afin d’extraire des attributs et des données spatiales pour les utiliser en tant que source de données spatiales. L’unique exigence particulière est la présence d’une colonne numérique avec des valeurs de nombres entiers uniques devant être utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
Ce type de source de données vous permet de lire des fichiers images ECW ou JPG2000 ou d’établir une connexion à un serveur ECWP (Image Web Server d’ERDAS) afin d’obtenir des images. Il n’est pas possible de configurer les deux en même temps.
Le format JMap Spatial est le format de stockage des données spatiales et descriptives de JMap. Il est basé sur une le format WKB (http://en.wikipedia.org/wiki/Well-known_binary).
Il est possible d’utiliser une table existante JMap Spatial comme source de données spatial ou d’en créer une nouvelle qui pourra recevoir des données.
Vous pouvez appuyer sur Ajouter table pour créer une nouvelle table au format JMap Spatial. Vous pouvez aussi sélectionner une table existante et appuyer sur Éditer table pour modifier son nom ou sa structure.
Lors de la création ou de la modification d’une table, vous pouvez ajouter de nouveaux champs à la table dans l’onglet Attributs de l’utilisateur en appuyant sur et en enlever en appuyant sur .
Un message d’alerte apparaît si vous utilisez un mot réservé SQL comme nom d’un attribut. Vous devez modifier le nom de l’attribut.
Notez qu’il existe d’autres champs dans la table, affichées dans l’onglet Attributs du système. Ceux-ci comprennent des champs de la géométrie (varient en fonction du type de géométrie), des champs d’index spatial, etc. Ces champs sont créés et peuplés de manière automatique par JMap.
Une fois la table créée ou modifiée, elle peut être utilisée pour la source de données spatiales.
JMap Server peut se connecter à MongoDB afin d’extraire des données spatiales et des attributs devant être utilisés en tant que source de données spatiales.
Les systèmes de bases de données NoSQL tels que MongoDB sont très répandus dans les applications infonuagiques. Ils ont permis de résoudre des problèmes importants auxquels les systèmes de gestion de bases de données SQL traditionnels se sont butés (schémas rigides, manque de scalability, performances limitées).
Vous devez vous connecter à un système MongoDB (https://www.mongodb.com/fr) stocké localement ou dans le nuage. MongoDB offre une application locale, MongoDB Compass et une application Web, MongoDB Atlas qui vous permettent d’accéder aux données.
Les données ou documents sont organisées en collections (analogues aux tables des bases de données relationnelles) stockées dans des bases de données qui intégrent des “clusters” (déploiements de MongoDB). Les clusters sont organisés en projets.
Le chargement des données peut être lent étant donné le manque de structure des collections de données.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Landing page URL
Indiquez le URL de la page destination du service. Appuyez sur Charger pour accéder au service.
Collection
Sélectionnez la collection (ensemble) de données que vous souhaitez accéder.
Taille de la page
Les données sont envoyées en pages. Indiquez la taille de la page, c’est-à-dire la quantité de features ou entités qui sont envoyées à la fois.
Projection d’origine
Sélectionnez la projection d’origine des données : Longitude/Latitude (WGS84) - EPSG:4326.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Base de données
Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL utilisée pour extraire les coordonnées et attributs de la base de données.
Table de la géométrie
Sélectionnez la table physique qui contient les valeurs de coordonnées x et y. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration.
Champ X
Sélectionnez le champ contenant les valeurs X. Seuls les champs numériques sont listés.
Champ Y
Sélectionnez le champ contenant les valeurs Y. Seuls les champs numériques sont listés.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés.
Champ de la date de création
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de la date de modification
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de l’auteur
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Base de données
Sélectionnez la base de données Oracle à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL utilisée pour extraire des géométries et des attributs de la base de données.
Table de la géométrie
Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration.
Champ de la géométrie
Sélectionnez le champ qui contient les géométries.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés.
Champ de la date de création
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de la date de modification
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de l’auteur
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers ECW ou JPG2000 devant être lus. Si plusieurs fichiers sont sélectionnés, ils seront traités comme une mosaïque. Les fichiers doivent être géoréférencés.
Lecture
Oui
Écriture
Non
Chaîne de connexion
Entrez la chaîne de connexion au cluster MongoDB qui contient vos données.
Pour obtenir la chaîne de connexion :
1. Connectez vous à un compte MongoDB Compass ou MongoDB Atlas.
2. Sélectionnez le projet qui contient les données qui vous intéressent.
3. Dans la section du cluster qui contient les données, appuyez sur Connect. Une fenêtre s’ouvre pour vous permettre de sélectionner la méthode de connexion.
4. Sélectionnez Connect your application pour connecter JMap au cluster MongoDB. Une fenêtre s’ouvre affichant les paramètres de la connexion.
5. Appuyez sur Copy dans la plage de la chaîne de connexion. Les instructions pour compléter la chaîne sont affichées dans la fenêtre.
6. Collez la chaîne de connexion dans la plage Chaîne de connexion dans JMap. Vous devez remplacer <password>
par le mot de passe du cluster et <dbname>
par le nom de la base de données qui sera utilisée par défaut par la connexion.
7. Appuyez sur Charger. Le processus de connexion peut prendre quelques instants.
Base de données
Sélectionnez la base de données dans laquelle se trouve la collection de données.
Collection
Sélectionnez la collection de données à laquelle vous connecter.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez l’attribut qui est considéré l’identifiant JMap des données.
Projection
Sélectionnez la projection d’origine des données.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Table
Sélectionnez la table JMap Spatial à utiliser comme source de données. Si la table n’existe pas, vous pouvez la créer en appuyant sur Ajouter table.
Ce type de source de données spatiales permet de lire une grande variété de formats de données matricielles. GDAL (Geospatial Data Abstraction Library) est une librairie open source spécialisée dans la conversion et le traitement de données matricielles.
Il peut y avoir un ou plusieurs fichiers images sources (mosaïque d’images). Les images de la mosaïque peuvent se chevaucher et il peut y avoir des trous dans la mosaïque.
Lorsque la source de données est mise à jour, si l’option est activée, une pyramide d’images à plus basse résolution est créée par JMap Server et est stockée dans le cache de l’image. Le cache de l’image est alors utilisé pour produire des images à la volée avec des résolutions précises de manière très performante. Selon les tailles et les paramètres initiaux des images, le cache de l’image peut devenir volumineux. En général, la mémoire cache totale est environ de la même taille que les images originales. Vous devez disposer d’un espace disque suffisant avant de mettre à jour cette source de données. Il est possible que le format de données sélectionné ne nécessite pas la création d’une pyramide. Dans ces cas, le paramètre sera ignoré.
JMap Server Lima présente cette nouvelle fonctionnalité qui permet de sélectionner plusieurs systèmes de coordonnées de référence pour une source de données spatiales (SDS) créée à partir de GDAL. Cela permet de préparer à l'avance plusieurs versions de la SDS matricielle afin d'offrir des performances optimales lors du traimenet des requêtes des différentes applications.
Une fois créée la SDS, la section Reprojections de son interface de configuration permet d'ajouter (+), de mettre à jour () ou de supprimer () des systèmes de projection alternatifs à celui d'origine. Le tableau de la section présente les systèmes configurés pour la SDS.
Lors de l'ajout d'un système de projection, la SDS est projetée dans le système et une pyramide d'images est créée et stockée dans un seul fichier.
Lorsque une application utilise la SDS, celle projetée avec le système de projection pertinent est utilisée (le système de projection doit être spécifié dans les paramètres de la requête de l'application à JMap Server). Par exemple, les applications JMap NG utilisent le système EPSG:3857 - WGS 84 / Pseudo-Mercator, donc la SDS projetée dans ce système est utilisée par JMap NG.
Si la SDS n'est pas projetée dans le système approprié, elle est reprojetée à la volée ce qui consomme des ressources de JMap Server et compromet la performance de l'application.
Chaque système de de projection ajouté à la source de données spatiale crée une pyramide d'images qui est stockée dans un fichier. Vous devez prévoir suffisamment d'espace de stockage pour ces données.
Fichiers choisis
Sélectionnez un ou plusieurs fichiers d’images devant être lus. Sélectionnez seulement les fichiers qui contiennent les données matricielles (.tif, .jpg, etc.) pas les autres fichiers qui peuvent les accompagner (.xml, .prj, etc.). Si plusieurs fichiers sont sélectionnés, ils seront traités comme une mosaïque. Les fichiers doivent être géoréférencés.
Répertoire du cache
Le répertoire où JMap Server stockera les fichiers images générés pour les différentes résolutions. Le répertoire par défaut est JMAP_HOME/cache/raster.
Interpolation des images
Méthode utilisée pour produire des images à résolution réduite à partir d’images à haute résolution. La valeur par défaut est Cubique, et cette méthode donne généralement les meilleurs résultats.
Calculer les statistiques
Les statistiques sur les pixels des images permettent de faciliter l’analyse de ces dernières. Des extensions comme Image Analysis utilisent ces statistiques pour fonctionner. Le calcul des statistiques peut prendre plusieurs minutes et cette option devrait être activée seulement lorsque nécessaire. Si vous n’avez pas besoin des statistiques, n’activez pas cette option.
Créer une pyramide
Activer la création d’une pyramide d’images à plusieurs résolutions. Cela permet d’améliorer grandement les performances pour la production des images à la volée.
Interpolation des images de la pyramide
Méthode utilisée pour produire des images de la pyramide. La valeur par défaut est Cubique, et cette méthode donne généralement les meilleurs résultats.
JMap Server peut exploiter une source de données spatiales matricielles qui provient d’une autre instance de JMap Server. Pour ce faire, pour devez d’abord configurer une connexion vers l’autre JMap Server. Reportez‑vous à la section Connexions JMap Server à JMap Server pour plus de détails à ce sujet.
Serveur JMap
Sélectionnez la connexion vers une autre instance de JMap Server devant être utilisée pour extraire les données spatiales et attributs. La connexion doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Source de données spatiales
Sélectionnez la source de données spatiales matricielles existante sur l’autre instance de JMap Server à laquelle vous voulez accéder. La source de données doit être partagée par l’autre serveur.
Web Feature Service (WFS) est une norme proposée par l’Open Geospatial Consortium qui précise comment les applications client doivent effectuer des requêtes en vue d’obtenir des données vectorielles et leurs attributs à partir d’un serveur compatible avec WFS. Le protocole utilisé est HTTP, et les données retournées sont généralement en format GML (« Geography Markup Language »). Les capacités des serveurs WFS sont publiées dans un document XML qui spécifie les types de requêtes prises en charge et fournit une description des fonctions disponibles.
JMap Server peut lire les données des serveurs WFS, versions 1.0.0, 1.1.0 et 2.0 en les utilisant comme sources de données spatiales.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
URL
Entrez l’URL pour la requête GetCapabilities qui retournera les capacités du serveur WFS. L’URL devrait être semblable à celle‑ci : http://www.server.com/wfs?SERVICE=WFS&VERSION=1.0.0&REQUEST=GetCapabilitie
Types de données
La liste des types de données est retournée par le serveur WFS après que vous appuyez sur le bouton Charger. Sélectionnez un type de données devant être lu.
Les sources de données matricielles servent à accéder à des données spatiales matricielles (images). Consultez les sections suivantes pour de l’information sur les différents types de sources de données matricielles supportés.
Web Map Service (WMS) est une norme proposée par l’Open Geospatial Consortium qui détermine comment les applications client doivent effectuer des requêtes en vue d’obtenir des cartes d’un serveur compatible avec WMS. Le protocole utilisé est HTTP, et les cartes retournées sont généralement des images dans des formats populaires (PNG, GIF, JPEG, etc.). Les capacités des serveurs WMS sont publiées dans un document XML qui spécifie les types de requêtes prises en charge de même que les métadonnées (listes de couches, projections prises en charge, etc.).
En configurant les sources de données WMS, vous permettez à JMap de se connecter à des serveurs compatibles avec WMS (versions 1.0 à 1.3) et d’interroger ceux‑ci. Vous pouvez alors créer des couches matricielles basées sur les sources de données WMS à l’intérieur des projets.
Une fois les capacités obtenues, il est possible de paramétrer les autres types de requêtes du protocole WMS. JMap Admin propose automatiquement des requêtes par défaut qui fonctionnent normalement très bien. Elles sont générées à partir de la requête GetCapabilities. Si vous voulez modifier ces requêtes par défaut, vous devez sélectionner l’option Outrepasser la requête par défaut et entrer des nouvelles requêtes. Pour chaque type de requête, il est aussi possible d’activer l’authentification HTTP et de fournir les paramètres d’authentification.
Obtenir les capacités du serveur (GetCapabilities)
Entrez l’URL GetCapabilities qui retournera les capacités du serveur WMS. L’URL devrait être semblable à celle‑ci : http://www.server.com/wms?SERVICE=WMS&VERSION=1.3.0&REQUEST=GetCapabilities
Activer l’authentification HTTP
Activez cette option si le serveur WMS contrôle l’accès au service WMS par une authentification HTTP. Dans ce cas, saisissez le nom d’utilisateur et le mot de passe à utiliser.
Obtenir une carte (GetMap)
Cette requête est utilisée pour obtenir une carte du serveur WMS.
Obtenir les informations sur un élément (GetFeatureInfo)
Cette requête est utilisée pour obtenir les attributs d’un élément de la carte.
JMap Server peut se connecter à des bases de données Microsoft SQL Server Spatial afin d’extraire des données spatiales et des attributs pouvant être utilisés en tant que source de données spatiales. L’unique exigence particulière est la présence d’une colonne numérique avec des valeurs de nombres entiers uniques devant être utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section Création de bases de données pour plus de détails à ce sujet.
Le système de projection sélectionné pour la source de données spatiales doit correspondre exactement à l’identifiant de référence spatiale (SRID, ex. EPSG) des éléments de la table, pour que les éléments s’affichent.
Afin de créer un nouveau projet, appuyez sur Créer dans la section Projets. Les projets sont créés à partir d’un assistant.
Lors de la création d’un projet, vous pouvez opter pour la création d’un nouveau projet vide, ou vous pouvez choisir d’importer une configuration de projet existante provenant d’une autre source. En utilisant une configuration existante, vous pouvez automatiser la création des couches du projet et éviter de refaire toute la configuration dans JMap Admin.
Il existe une seule option actuellement : l’importation de projets en provenance de ESRI ArcGIS REST Service.
Vous pouvez choisir d’importer la configuration des couches d’un service ESRI ArcGIS REST. JMap importera les paramètres du projet, les couches et leur symbologie, les paramètres d’échelles, les étendues, etc.
Sélectionnez l’option ArcGIS REST et appuyez sur Suivant.
JMap supporte l’importation de couches matricielles OGC WMTS.
Dans l’interface d’importation des couches du service REST, des icônes indiquent les couches dont le format n’est pas compatible avec JMap.
JMap Server peut se connecter à des bases de données contenant des géométries encodées selon les standards WKB et WKT ().
En plus de la colonne contenant la géométrie, il doit obligatoirement y avoir une colonne numérique avec des valeurs de nombres entiers uniques utilisées en tant qu’identifiants d’éléments. Aussi, 4 colonnes doivent être présentes et contenir les valeurs de plus petits rectangles englobants (MBR).
Une requête SQL doit être fournie. La requête sera exécutée afin de lire les données et elle peut accéder à plus d’une table à la fois.
La connexion à la base de données doit déjà être configurée. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Web Map Tile Service (WMTS) est un standard proposé par l’ qui détermine comment les applications client doivent effectuer des requêtes en vue d’obtenir des données cartographiques sous forme de tuiles prédéfinies à partir d’un serveur de données.
En configurant les sources de données WMTS, vous permettez à JMap de se connecter à des serveurs compatibles avec WMTS (version 1.0.0) et d’interroger ceux‑ci. Vous pouvez alors créer des couches matricielles basées sur les sources de données WMTS à l’intérieur des projets.
Lecture
Oui
Écriture
Oui
Base de données
Sélectionnez la base de données SQL Server Spatial à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Entrez la requête SQL utilisée pour extraire des géométries et des attributs de la base de données.
Table de la géométrie
Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration.
Champ de la géométrie
Sélectionnez le champ qui contient les géométries.
Champ de l’identifiant
Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés.
Automatiquement convertir en géométrie valide
Lorsque cette option est activée, les géométries invalides créées dans JMap sont automatiquement converties en géométries valides en utilisant la fonction SQL MakeValid()
. Au moment de l’insertion, JMap convertit la géométrie invalide en une géométrie valide. À noter que le résultat risque de ne pas correspondre exactement à la géométrie initiale.
Bien que l’option soit cochée, JMap ne convertit aucune géométrie existante non valide dans la source de données.
Cette fonction nécessite l’usage du SRID, ce qui implique qu’une projection doit être spécifiée pour la source de données. Aussi, la fonction MakeValid
n’est pas supportée dans toutes les versions de SQL Server. Veuillez consulter l’aide de SQL Server pour connaître la compatibilité de la fonction avec les géométries ou géographies. L’activation de cette fonction sans ces critères résultera en une erreur lors de l’insertion ou l’édition de données.
Champ de la date de création
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de la date de modification
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Champ de l’auteur
(Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée.
Identification
Nom
Entrez un nom pour votre nouveau projet. Ce nom doit être unique.
Description
(Optionnel) Entrez une description pour le nouveau projet. Celle-ci sera utilisée à des fins administratives.
Langue par défaut
Parmi les langues disponibles, sélectionnez celle qui sera utilisée par défaut lorsque la langue demandée n’est pas disponible ou que des traductions sont manquantes. Pour plus d’information, consultez la section Projets multilingues.
Langues disponibles
Sélectionnez une ou plusieurs langues qui seront supportées par le projet. Tous les éléments textuels de la configuration du projet (nom du projet, noms des couches, infobulles, etc.) devront être traduits dans chacune des langues supportées. Il est obligatoire de sélectionner au moins une langue. Pour plus d’information, consultez la section Projets multilingues.
Statistiques d’utilisation
Cochez cette option si vous souhaitez obtenir des statistiques d’utilisation de ce projet, des couches qu’il contient ainsi que des contextes publics qui sont créés dans les applications JMap Pro déployées à partir du projet.
Invalider automatiquement le cache Mapbox
Cochez cette option si vous souhaitez supprimer automatiquement le cache de Mapbox. Mapbox est utilisé pour produire des tuiles vectorielles de certaines couches du projet et augmenter ainsi la performance et rendu des applications JMap Survey et JMap NG. Consultez la section Les tuiles vectorielles en JMap pour obtenir plus de détails sur ce sujet. Les tuiles vectorielles Mapbox peuvent être produites à l’avance et mises en cache. Cet article offre des détails sur la procédure pour faire et gérer le cache de Mapbox. Le cache Mapbox est supprimé automatiquement lorsque : une couche est publiée, une couche publiée est supprimée, des attributs liés à une couche sont ajoutés ou supprimés, le filtre de base d’une couche change, la source de données spatiales d’une couche change, le projet est supprimé. Le cache Mapbox n’est pas supprimé automatiquement lorsque : une couche non publiée est ajoutée au projet, une couche non publiée est supprimée d’un projet, il y a des changements mineurs dans une couche (style, thématique, infobulle), l’ordre des attributs liés à une couche change.
Paramètres
Projection cartographique
Détermine la façon dont les données seront affichées dans les applications. Toutes les données utilisant une projection différente seront converties à la volée vers cette projection.
Notez qu’en changeant la projection d’une carte dans un projet, vous rendez le cache des couches invalide. Cela peut réduire temporairement les performances des applications.
Unité cartographique
L’unité cartographique est automatiquement sélectionnée en fonction de la projection cartographique sélectionnée.
Unité d’affichage
Unité utilisée pour afficher les coordonnées de la carte.
Mesures
Géodésiques : Les mesures de distance et de superficie seront faites en utilisant des calculs sphériques basés sur l’ellipsoïde de la projection. Cartésiennes : Les mesures de distance et de superficie seront faites en utilisant des calculs sur le plan en 2 dimensions en utilisant la projection spécifiée.
Unité de distance
Unité utilisée pour afficher les distances (mesures, niveaux de zoom, etc.).
Échelle minimale
Échelle minimale de la carte. Les utilisateurs ne peuvent plus effectuer de zoom arrière lorsque la limite est atteinte. Lorsque vous cochez cette option la valeur par défaut est 1:1.
Échelle maximale
Échelle maximale de la carte. Les utilisateurs ne peuvent plus effectuer de zoom avant lorsque la limite est atteinte. Lorsque vous cochez cette option la valeur par défaut est 1:1.
Couleur de fond
Couleur de fond par défaut de la carte.
Couleur de sélection par défaut
Couleur des objets sélectionnés sur la carte. Ce paramètre peut aussi être défini pour chaque couche.
URL
Entrez l’URL du service REST d’ArcGIS Server. Exemple http://sampleserver1.arcgisonline.com/ArcGIS/rest/services Appuyez ensuite sur Charger pour afficher la liste des couches disponibles.
Utilisateur
Entrez le nom d’utilisateur pour vous authentifier et vous connecter au service REST d’ArcGIS.
Mot de passe
Entrez le mot de passe pour vous authentifier et vous connecter au service REST d’ArcGIS.
Couches
Sélectionnez les couches pour lesquelles vous voulez importer les configurations. JMap crée une couche dans le projet pour chaque couche importée. La configuration de la couche JMap est similaire à la couche originale mais des différences peuvent exister.
Lecture | Oui |
Écriture | Oui |
Base de données | Sélectionnez la base de données à partir de laquelle les données doivent être lues. Cette base de données doit déjà être configurée dans JMap Admin. |
Requête SQL | Entrez la requête SQL utilisée pour extraire des géométries et des attributs de la base de données. |
Table de la géométrie | Sélectionnez la table physique qui contient les géométries. En appuyant sur Charger, vous obtiendrez la liste des champs retournés par la requête. Cette action est nécessaire pour effectuer le reste de la configuration. |
Champ de la géométrie | Sélectionnez le champ qui contient les géométries. |
Type de la géométrie | Sélectionnez le format des données à lire, WKB ou WKT. |
Encodage (pour le WKB) | Si le format des données est WKB, vous devez indiquer le type d’encodage utilisé par les données, Little Endian ou Big Endian. |
MBR X1 | Valeur X minimum du plus petit rectangle englobant (MBR) de la géométrie. |
MBR Y1 | Valeur Y minimum du plus petit rectangle englobant (MBR) de la géométrie. |
MBR X2 | Valeur X maximum du plus petit rectangle englobant (MBR) de la géométrie. |
MBR Y2 | Valeur Y maximum du plus petit rectangle englobant (MBR) de la géométrie. |
Champ de l’identifiant | Sélectionnez un champ qui contient des identifiants uniques. Seuls les champs contenant des nombres entiers sont listés. |
Champ de la date de création | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de création de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Champ de la date de modification | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra la date de la dernière modification de chaque objet. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Champ de l’auteur | (Optionnel) Si vous souhaitez rendre cette source de données éditable par JMap, ce champ contiendra le nom de l’utilisateur qui a créé chaque objet, ou celui qui a fait la dernière modification. Si aucun champ n’est sélectionné, les données pourront quand même être éditables mais cette information ne sera pas conservée. |
Dans JMap, les données spatiales sont organisées sous forme de projets. Un projet est composé d’une liste ordonnée de couches. En général, lorsqu’une application JMap se connecte à JMap Server, l’application ouvre un projet et affiche les couches du projet. Vous pouvez créer autant de projets que vous le souhaitez.
Chaque couche d’un projet est associée à une source de données spatiales. La source de données fournit les données de la couche. Différents projets peuvent contenir des couches partageant les mêmes sources de données, ce qui permet d’avoir une variété de styles, de liaisons, etc. pour les mêmes données. Il est aussi possible que plusieurs couches d’un même projet partagent la même source de données, ce qui s’avère utile lorsque vous utilisez des filtres de couches afin de présenter différentes données d’une même source sur plusieurs couches.
Un projet est une ressource sécurisée, ce qui signifie que des permissions y sont associées afin de contrôler l’accès par les utilisateurs. Il est ainsi possible d’exercer un contrôle précis des utilisateurs et groupes qui seront autorisés à ouvrir chaque projet. Un contrôle d’accès similaire est aussi disponible pour chaque couche du projet.
La section Projets dans Ressources, affiche un tableau qui présente les projets configurés dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer un nouveau projet, accéder à l'interface de configuration d'un projet en cliquant sur son nom ainsi que gérer des projets que vous sélectionnez dans le tableau.
JMap Server peut utiliser la carte de OpenStreetMap comme source de données matricielles. Il n’y a pas de paramètres à configurer pour ce type de source de données.
URL | Entrez l'URL GetCapabilities qui retournera les capacités du serveur WMTS. L'URL devrait être semblable à celle‑ci : Exemples Appuyez sur Suivant pour continuer la configuration de la source de données. |
Projection d'origine | Indiquez la projection des données cartographiques. |
Démarrer la mise à jour automatique | Cochez cette case pour mettre à jour automatiquement cette source de données. |
L’interface de configuration d’un projet vous permet d’accéder aux informations sur le projet ainsi qu’à des fonctions de configuration de paramètres tels que la vue initiale du projet dans les applications.
L'aperçu du projet offre un aperçu de la carte, dans lequel vous pouvez tester les configurations effectuées tel comme elles fonctionnent dans les applications JMap Server.
JMap Server Lima n'offre pas d'aperçu JMap Pro de votre projet. La fonction de cet aperçu est remplacée par l'extension Administration affichée lors de la création d'une application JMap Pro. La section Applications JMap Pro offre les détails de cette extension.
Cet aperçu ouvre une application JMap Web dans une nouvelle fenêtre du navigateur.
L’aperçu offre la plupart des fonctionnalités des applications JMap Web et permet de valider la configuration du projet.
L'aperçu JMap Web ne permet pas l'édition des données. L'édition des données peut se faire dans une application de type JMap Web.
Cet aperçu ouvre une application JMap NG dans une nouvelle fenêtre du navigateur.
L’aperçu offre la plupart des fonctionnalités des applications JMap NG et permet de valider la configuration du projet.
L'aperçu JMap NG ne permet pas l'édition des données. L'édition des données peut se faire dans une application de type JMap NG.
JMap permet de définir des modèles de métadonnées afin de documenter les sources de données spatiales directement dans JMap Admin. Une fois le modèle défini, vous pouvez associer ce modèle à certaines sources de données et saisir toutes les informations que les utilisateurs pourront ensuite consulter facilement dans les applications JMap Server. Si vous utilisez déjà un système de gestion des métadonnées qui peut être accédé dans un navigateur, vous pouvez aussi créer un lien direct entre certaines couches et ce système.
Vous pouvez créer autant de modèles de métadonnées que vous le souhaitez.
La section Modèles de métadonnées dans Ressources affiche un tableau qui présente les modèles configurés dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer un nouveau modèle, accéder à l'interface de configuration d'un modèle en cliquant sur son nom ainsi qu'octroyer des permissions ou supprimer les modèles que vous sélectionnez dans le tableau.
Appuyez sur Créer pour créer un nouveau modèle. L’interface montre les options suivantes.
Vous accédez à la section Permissions à partir du bouton Permissions de la section Modèles de métadonnées ou de l'interface de détail d'un modèle.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour le modèle de métadonnées, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans la section Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Utilisateur et groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Il existe uniquement des permissions administrateur pour les modèles de métadonnées.
Les tuiles vectorielles sont un format de données vectorielles très efficace pour la cartographie web. Le principe consiste en diviser l'ensemble des données vectorielles d'un projet en tuiles de manière analogue aux tuiles des données matricielles (WMTS).
Il existe plusieurs standards pour produire des tuiles vectorielles. Mapbox a proposé un standard basé sur l'encodage Protocol buffers (" Protobuf ") créé par Google (https://developers.google.com/protocol-buffers). Le tuiles vectorielles de Mapbox (mvt) sont supportées par un grand éventail de produits cartographiques parmi lesquels JMap Server à partir de la version Jakarta.
Une grille qui définit le tuilage est appliquée aux données vectorielles qui sont alors découpées en tuiles. Chaque tuile peut contenir les données vectorielles (vecteurs) de plusieurs couches.
Un ensemble de tuiles est produit pour chaque niveau d'échelle. Dans la cartographie web en général se considèrent 23 niveaux d'échelle, le niveau 0 correspondant à la Terre et le niveau 22 correspondant à la rue. Les vecteurs des niveaux inférieurs sont simplifiés (généralisés) pour optimiser l'affichage des données tout en gardant des tuiles d'un volume performant.
Les vecteurs (lignes, polygones) de chaque couche sont coupés aux frontières des tuiles. Lorsque les géométries traversent la frontière entre les tuiles, celles-ci sont coupés et chaque tuile contient donc une partie de la géométrie. C'est l'application cartographique qui réunifie les vecteurs pour obtenir la géométrie complète.
Les attributs des éléments cartographiques sont inclus dans les tuiles. Ceci rend possible, par exemple, l'affichage de thématiques créées à la volée ou l'affichage des données dans une carte en fonction de l'application de filtres basés sur leurs attributs. Les données sont ainsi plus dynamiques et interactives.
Les tuiles vectorielles contiennent les géométries et leurs attributs, les styles ne sont pas inclus dans les tuiles. Le informations définissant les styles sont stockées et gérées dans un fichier JSON séparé. Cette caractéristique permet aux utilisateurs des applications de définir des styles de manière dynamique car ce sont les applications qui gèrent les styles. De plus, lorsque le style des données change il n'est pas nécéssaire de générer des nouvelles tuiles.
Les tuiles peuvent être créées à l'avance et mises en cache, la réponse du serveur étant beaucoup plus rapide face aux requêtes de l'application cartographique web ce qui donne un rendu très fluide et performant. De plus les tuiles peuvent être utilisées avec WebGL pour obtenir un rendu fluide et performant surtout en 3D.
Un projet JMap génère trois ensembles de données qui sont utilisées par les applications :
1 fichier JSON de style. Ce fichier accompagne les tuiles vectorielles. Il contient la définition de chaque couche contenue dans les tuiles vectorielles, leurs paramètres de style, les thématiques, etc.
Un ensemble de tuiles vectorielles qui contiennent les géométries et les attributs des couches non éditables. JMap produit un fichier de format mvt par tuile. Ces tuiles peuvent être créées à la demande lorsque les utilisateurs naviguent dans les applications JMap Survey ou JMap NG. Elles peuvent aussi être crées à l'avance et mises en cache. Cet article offre des détails sur la procédure pour produire et gérer le cache des tuiles avec JMap.
Données vectorielles en GeoJSON qui correspondent aux géométries et attributs des couches éditables. Ces données sont envoyées aux applications à la demande par région.
Que les tuiles soient créés à la demande ou à l'avance et mises en cache, elles sont créées dans le répertoire cache/mapbox de JMap Server. Dans ce répertoire il y a un dossier par projet (nommé avec l'identifiant du projet) qui contient un dossier par résolution (actuellement 512). Les fichiers des tuiles sont nommés suivant le code z-x-y.mvt où z est le niveau d'échelle, x et y indiquent la position de la tuile dans la grille.
En général les tuiles vectorielles sont plus légères que les tuiles matricielles mais certains facteurs peuvent affecter la taille des tuiles et avoir un impact sur la performance des applications JMap Survey et JMap NG. La taille des tuiles est associée au temps de leur production, au volume de stockage, au volume des données échangées avec les applications et à la mémoire dédiée des applications.
Des facteurs à considérer :
Nombre d'attributs liés aux couches : les données des attributs influencent la taille des tuiles, qui augmente lorsque le nombre d'attributs augmente.
Échelles de visibilité des couches : établir des seuils de visibilité pour l'affichage des couches est indiqué lorsque les couches ont des données très denses. Limiter l'affichage de ces couches à des échelles plus grandes est une bonne stratégie car les tuiles des petites échelles ne contiendront pas les données de ces couches et le temps de production des tuiles sera réduit.
Mise en cache : la production à l'avance et mise en cache des tuiles améliore grandement la performance des applications et allège la charge de travail de JMap Server qui peut devenir saturé lorsque plusieurs utilisateurs naviguent des applications de projets très grands et complexes.
Mémoire du serveur JMap Server : influence la performance de la production des tuiles. Augmenter la mémoire allouée au serveur JMap Server peut accélérer la production des tuiles.
JMap Server peut se connecter à des services REST d’ArcGIS Server et ArcGIS Online pour accéder des données matricielles de type WMTS publiées par ce type de services.
Les requêtes de sélection par attributs permettent de sélectionner des éléments d’une couche de la carte en utilisant les valeurs de leurs attributs, ou en utilisant une base de données liée à la couche.
Dans JMap Admin, les administrateurs JMap créent les requêtes ainsi que les formulaires qui leurs sont associés. Les utilisateurs JMap utilisent ensuite ces formulaires pour saisir des valeurs d’attributs pour faire la recherche. Tous les éléments dont les valeurs d’attributs correspondent aux valeurs saisies sont alors sélectionnés et présentés dans l’explorateur d’éléments.
L'onglet Requêtes de l'interface de configuration d'un projet vous permet de configurer les requêtes du projet.
L'onglet Requêtes s'affiche lorsque le projet contient au moins une couche.
Cet onglet présente un tableau qui affiche les groupes de requêtes. Le groupe Défaut est le groupe par défaut. Le tableau indique le nombre de requêtes que contient chaque groupe. La section Organisation des requêtes offre les détails sur les groupes.
Pour créer une nouvelle requête vous devez vous positionner dans un groupe de l'onglet Requêtes. Le bouton Créer une requête s'affiche et vous pouvez donc ouvrir l’interface de configuration de requêtes.
Les paramètres varient selon le type de requête sélectionné.
Ce type de requête est utilisé lorsque la recherche doit se faire dans des données contenues dans une base de données externe. La base de données externe doit contenir un champ permettant de faire le lien avec un attribut de la couche. Une requête SQL de type SELECT est d’abord exécutée dans la base de données externe et les valeurs retournées sont ensuite associées aux éléments de la couche en utilisant le champ de liaison.
Bien que ce soit dans la conception du formulaire de recherche que les champs sont marqués requis ou optionnels, la clause WHERE de la requête doit être ajustée afin de supporter cette option. Pour ce faire, toute partie de la requête qui est associée à des paramètres optionnels doit être incluse à l’intérieur d’une paire d’accolades ( { } ).
Exemple de clause WHERE :
CITY = '$param1' AND { COUNTRY = '$param2' }
Cet exemple fait la recherche des villes qui ont la valeur de leur attribut CITY égale à la valeur du paramètre 1 ($param1
) saisie par l’utilisateur et qui, optionnellement, ont la valeur de leur attribut COUNTRY égale à la valeur du paramètre 2 ($param2
) saisie par l’utilisateur. Si le paramètre 2 est non-renseigné, tout le bloc { COUNTRY = '$param2' }
est enlevé de la requête ainsi que l’opérateur devenu orphelin. Notez que l’administrateur doit absolument définir $param2
comme optionnel lors de la conception du formulaire. Consultez la section Formulaires pour plus d’information sur la conception des formulaires.
Des valeurs multiples peuvent être saisis avec un champ de type Liste (choix multiples) dans les formulaires. Les valeurs sont séparées par le caractère délimiteur ; (point-virgule). Cette option peut être activée dans la clause WHERE de la requête. La syntaxe est la suivante :
$multiple{true} {\$delimiter{;}}
Exemple :
CITY = '$param1{$multiple{true} $delimiter{;}}'
Recherche les villes qui ont la valeur de leur attribut CITY égale à une des valeurs saisies dans le paramètre 1. Les valeurs sont séparées par des point-virgule.
Les requêtes par attributs peuvent être modifiées par les administrateurs. Lorsque les requêtes d’un projet sont modifiées, les applications qui diffusent le projet ne nécessitent pas d’être redéployées car les changements se reflètent de manière directe.
Les requêtes peuvent être groupées. Ceci est particulièrement utile pour les projets qui comportent un nombre élevé de requêtes.
Pour créer un nouveau groupe, dans l'onglet Requêtes appuyez sur Créer un groupe.
Pour supprimer un groupe, sélectionnez-le dans la liste et appuyez sur Supprimer.
La suppression d’une requête par attributs supprime définitivement la requête et le formulaire qui lui est associé. Pour supprimer une requête, sélectionnez-la dans la liste et appuyez sur Supprimer.
Une fois une requête créée, elle est publiée automatiquement. Vous pouvez cependant annuler cette publication pour rendre la requête non disponible dans les applications tout en conservant sa configuration. Pour annuler la publication d’une requête, décochez la case Publiée de la requête dans l’interface de gestion des requêtes.
Lorsque un projet contient des couches par référence, les requêtes configurées sur ces couches dans le projet qui contient les couches originales sont disponibles automatiquement dans le projet. Le projet “hérite” de ces requêtes.
Vous ne pouvez pas modifier ces requêtes “par référence” à partir du projet, elles peuvent être modifiées seulement dans le projet qui contient la couche originale.
Si vous souhaitez modifier une requête “par référence”, créez une copie de la requête en appuyant sur Dupliquer. L’interface de configuration affiche les paramètres de la requête que vous pouvez modifier.
Une fois la nouvelle requête configurée, vous devez décocher la case Publiée de la requête “héritée” de la couche par référence pour qu’elle ne soit plus disponible dans les applications JMap qui utilisent la couche par référence.
Vous pouvez aussi créer une nouvelle requête sur une couche par référence, tel que décrit dans la section Créer une requête par attributs.
Les couches d’un projet sont présentées dans l'onglet Couches de l’interface de configuration du projet. L'icône situé dans la section Couches de l'interface vous amène aussi à l'onglet Couches.
Le tableau affiche des informations de base sur chaque couche du projet. Lorsque vous cliquez sur le nom d’une couche, la section des détails de la couche s’affiche.
Dans cet onglet vous pouvez définir l'ordre des couches dans le projet. La section Organisation des couches offre les détails sur ce sujet.
Des boutons vous permettent d'effectuer des tâches de gestion pour les couches que vous sélectionnez dans le tableau, ainsi que d'ajouter des nouvelles couches au projet.
L'icône de la section Couches de l'interface de configuration du projet vous offre les trois options pour ajouter une couche au projet.
Lorsque vous sélectionnez une ou plusieurs couches vous pouvez octroyer des permissions pour l'ensemble. La section Permissions des couches offre les détails sur le sujet.
Vous pouvez modifier différents paramètres pour un ensemble de couches. Vous devez sélectionner les couches à modifier dans l’onglet Couches du projet. Ensuite appuyez sur le bouton Mise à jour et sur la section Modification en lot… pour ouvrir l’interface pertinente.
Ce bouton permet de synchroniser les couches sélectionnées avec JMap Cloud. La section Partage de couches avec JMap Cloud offre les détails sur le sujet.
Supprime les couches sélectionnées.
Vous accédez à la section Permissions à partir du bouton Permissions de la section Projets ou de l'interface de détail d'un projet.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour le projet, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes autorisés s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes et de leur donner automatiquement la permission Ouvrir ce projet.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Les permissions sur les projets sont divisées en deux catégories : les permissions administrateur et les permissions utilisateur.
Les permissions administrateur des projets définissent les droits d’administration du projet par les utilisateurs autorisés à utiliser JMap Admin. Pour plus d’information sur les concepts de permissions et rôles d’administration dans JMap Admin, consultez la section .
Les permissions utilisateur des projets définissent quels utilisateurs et groupes peuvent ouvrir un projet. L’accès sera refusé aux utilisateurs ne détenant pas les permissions requises. La sécurité peut aussi être définie au niveau des couches. Consultez la section pour plus de détails à ce sujet.
L’ajout de l’utilisateur Anonymous à la liste des utilisateurs autorisés à ouvrir le projet permet aux utilisateurs d’ouvrir le projet sans s’authentifier, ce qui revient à supprimer toute sécurité pour l’ouverture du projet. Cette option est utile pour les applications publiques, lorsqu’aucune restriction d’accès n’est nécessaire.
L’ajout de l’utilisateur Everyone à la liste des utilisateurs autorisés à ouvrir le projet permet à tous les utilisateurs d’ouvrir le projet, incluant l’utilisateur Anonymous. C’est à dire que le projet est accessible à tous les utilisateurs, avec ou sans authentification.
L’ajout de l’utilisateur Authenticated users à la liste des utilisateurs autorisés à ouvrir le projet permet à tous les utilisateurs d’ouvrir le projet, à l’exception de l’utilisateur Anonymous. Cette option s’avère utile pour les applications privées où tous les utilisateurs sont autorisés à ouvrir un projet, mais en s’authentifiant.
Le producteur d’images d’un projet JMap est responsable de produire des images du projet sur demande. Ces images sont utilisées pour les applications JMap Web. Lorsqu’un utilisateur utilise JMap Pro, le producteur d’images n’est pas sollicité car les données sont transférées en format vectoriel (sauf pour les photos).
Normalement, il n’est pas nécessaire de modifier la configuration du producteur d’images car la configuration par défaut est généralement adéquate. Le tableau suivant décrit les paramètres du producteur d’images.
Les extensions qui sont compatibles avec les applications JMap NG et JMap Survey doivent être configurées et activées dans le projet pour les rendre accessibles aux utilisateurs de ces applications.
Pour configurer l’extension, dans l'interface de configuration du projet sélectionnez l'onglet qui porte le nom de l'extension. Une fois la configuration complétée, appuyez sur Sauvegarder.
Pour activer l’extension, glissez l’interrupteur de l’extension dans la section Extensions de l’interface de configuration du projet.
La section offre les détails sur la configuration des extensions dans JMap Server.
Vous pouvez synchroniser ou partager le projet avec JMap Cloud, la plateforme infonuagique développée par K2 Geospatial.
Au préalable vous devez vous connecter à JMap Cloud. La section offre les détails sur ce sujet.
Les propriétés du projet, les couches avec leurs sources de données spatiales y associées, l’ordre et la hiérarchie des couches sont reproduits en JMap Cloud.
Pour synchroniser le projet avec JMap Cloud :
Dans l’interface de configuration du projet, appuyez sur le bouton Sync avec JMap Cloud…. Une fenêtre s’ouvre vous proposant deux actions :
Copier le projet : Une copie des couches du projet (configuration et données) et de leurs sources de données spatiales est créée dans JMap Cloud. Aucun lien JMap Server → JMap Cloud n’est créé. Lorsqu’une couche est mise à jour sur JMap Server, les données ne sont pas synchronisées avec JMap Cloud.
Synchroniser le projet : Une copie des couches du projet (configuration et données) et de leurs sources de données spatiales est créée dans JMap Cloud. Un lien JMap Server → JMap Cloud est créé. Lorsqu’une couche est mise à jour sur JMap Server, les données sont synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. La fenètre propose deux options pour le projet dans JMap Cloud : Créer nouveau projet : Vous pouvez spécifier un nouveau nom de projet qui sera utilisé dans JMap Cloud. Si le projet utilise plusieurs langues, le nom spécifié ici remplacera la valeur de la langue par défaut. Toutes les traductions sont synchronisées. Remplacer le projet : Vous sélectionnez le projet de JMap Cloud qui sera écrasé et remplacé par le projet que vous êtes en train de copier ou synchroniser.
Sélectionnez les options qui vous conviennent et appuyez sur OK. Si vous avez sélectionné Copier, la plage État indique que le projet a été copié sur JMap Cloud. L'icône permet de refaire la synchronisation. Si vous avez sélectionné Synchroniser, la section affiche les informations suivantes :
Id : Identifiant du projet dans JMap Cloud.
État : Le statut de la création du projet dans JMap Cloud.
Dernière mise à jour : indique la dernière fois que le projet été synchronisé.
Synchronisation automatique : Indique que la synchronisation est automatique. Appuyez sur pour supprimer le lien JMap Server → JMap Cloud pour le projet. Le projet de JMap Cloud n’est pas supprimé. Appuyez sur pour lancer la synchronisation du projet avec JMap Cloud. Une fois que le projet est synchronisé avec JMap Cloud, l’icône apparaît dans la liste des couches du projet, dans la colonne JMap Cloud.
Vous pouvez configurer les projets JMap Server pour supporter plusieurs langues. Ainsi, chaque utilisateur pourra consulter le projet dans sa langue, si celle-ci est disponible pour le projet et que les traductions sont fournies. Quand une application JMap est démarrée, celle-ci peut détecter automatiquement la langue du système d’exploitation de l’utilisateur et utiliser cette langue pour les interfaces graphiques et pour le projet. Ce comportement dépend des options sélectionnées lors du déploiement de l’application.
Pour un projet supportant de multiples langues, chaque élément textuel visible par les utilisateurs peut être traduit dans chacune des langues. Par exemple, vous pouvez fournir les traductions pour le nom du projet, les noms des couches, les étiquettes, les infobulles, les formulaires, etc.
Pour activer le support multilingue, vous devez choisir au moins deux langues lors de la création ou la modification du projet, et vous devez sélectionner la langue qui sera utilisée par défaut.
Par la suite, vous pouvez saisir les traductions aux endroits indiqués par le symbole lors de la configuration du projet et des couches.
Si pour certains textes, des traductions ne sont pas fournies dans toutes les langues disponibles, le texte de la langue par défaut sera affiché automatiquement.
L’organisation des couches d’un projet comporte deux volets. :
Ordre d’affichage des couches sur la carte. Les couches situées dans les positions inférieures sont dessinées en premier, et celles qui sont situées dans les positions supérieures sont dessinées à la fin. Les couches supérieures peuvent cacher des éléments des couches inférieures.
Hiérarchie logique basée sur la nature des couches. En d’autres mots, des groupes et sous‑groupes de couches qui possèdent des relations logiques. Par exemple, vous pourriez avoir un groupe de couches associé aux routes, un autre associé à l’hydrographie et un autre associé au recensement. L’organisation des couches en groupes facilite leur utilisation.
Vous pouvez définir l'ordre des couches dans l'onglet Couches et la hiérarchie des couches dans l'onglet Groupes de couches de l'interface de configuration du projet.
Dans les deux onglets vous pouvez octroyer des permissions aux couches sélectionnées. La section offre des détails sur les permissions.
Le tableau de l'onglet Couches présente les couches dans leur ordre d’apparition sur la carte. La position la plus basse est la première qui est dessinée sur la carte.
Afin de changer l’ordre, vous devez utiliser le menu Modifier localisé en haut de la colonne qui affiche la position de chaque couche. Il est possible de sélectionner une ou plusieurs couches et les déplacer en utilisant les options disponibles (déplacer vers le haut, déplacer vers le bas, déplacer vers une position précise, etc.). L'option Réorganiser les couches... ouvre une fenêtre dans laquelle vous pouvez réorganiser les couches en les glissant-déposant à la place souhaitée.
L'onglet Groupe de couches présente la hiérarchie des groupes et sous-groupes avec un tableau qui affiche les couches de chaque groupe ou sous-groupe.
Par défaut, toutes les couches du projet se trouvent dans un groupe unique nommé Layers.
Afin de créer un nouveau groupe, appuyez sur Nouveau groupe. Remplissez les paramètres du groupe de couches comme suit :
Une fois que des groupes sont créés, vous pouvez déplacer des couches vers ces groupes en utilisant le menu Modifier localisé en haut de la colonne qui affiche la position de chaque couche.
Les formulaires sont utilisés dans JMap pour les requêtes par attributs afin de saisir les paramètres de recherche, pour la saisie des données attributaires des couches éditables et pour la gestion de données stockées dans des bases de données, toujours en relation avec les éléments d’une couche.
L’administrateur JMap conçoit les formulaires à l’aide du et les utilisateurs peuvent ensuite les utiliser dans les applications JMap Pro, Web, NG et Survey.
Tout comme les formulaires d’édition de données, les formulaires utilisés pour les requêtes par attributs sont créés en utilisant le . Ces formulaires sont utilisés par les utilisateurs pour saisir les paramètres des requêtes.
Chaque composante du formulaire est associée à un paramètre de la requête ($param1
, $param2
, etc.).
Contrairement aux autres types de formulaires, les formulaires des requêtes ne peuvent pas être divisés en sections. Les composantes Photo ne sont pas disponibles pour ce type de formulaires.
Les formulaires sont créés lors de la configuration des requêtes par attributs, en appuyant sur Disposition du formulaire.
Lors de la création d’un formulaire de requête par attributs, il est important de tenir compte des paramètres qui sont requis et de ceux qui sont optionnels dans la définition de la requête. Par exemple, si une composante du formulaire n’a pas l’option Requis d’activée, la requête doit prévoir que le paramètre en question est optionnel. Consultez la section pour plus d’information sur les paramètres optionnels dans les requêtes.
Il permet aussi d’établir l'étendue de la vue initiale du projet lorsqu’il est ouvert dans les applications JMap Server. Pour ce faire, appuyez sur et ensuite sur Étendue initiale. Un rectangle s’affiche pour délimiter l’étendue initiale.
Appuyez sur Étendue maximale pour afficher l’étendue maximale. Lorsque vous fermez l’aperçu, les coordonnées géographiques de l’étendue initiale s’enregistrent de manière automatique.
Pour modifier l’ordre des groupes, appuyez sur Modifier et sélectionnez Réorganiser les groupes. La fenêtre qui s’affiche permet de glisser-déposer les groupes afin d’en modifier l’ordre. Pour renommer un groupe, appuyez sur .
Administrer le modèle de métadonnées
Permet à un administrateur de modifier la configuration du modèle de métadonnées.
Accéder au modèle de métadonnées
Permet à un administrateur d'accéder au modèle de métadonnées pour l'éditer.
URL
URL du service d'une couche de type OGC WMTS ArcGIS REST. Exemple http://sampleserver6.arcgisonline.com/arcgis/rest/services/WorldTimeZones/MapServer/WMTS
Utilisateur
Entrez le nom d'utilisateur pour vous authentifier et vous connecter au service REST d'ArcGIS.
Mot de passe
Entrez le mot de passe pour vous authentifier et vous connecter au service REST d'ArcGIS.
Titre
Entrez un titre pour la requête. Les utilisateurs verront ce titre dans la liste des requêtes.
Couche
Sélectionnez la couche sur laquelle la requête sera exécutée. Une plage de recherche facilite la sélection de la couche. Vous pouvez sélectionner une couche par référence pour créer la requête.
Échelle maximale
Entrez l’échelle maximale utilisée pour l’affichage des résultats sur la carte. Ceci est utile afin d’éviter des zooms trop rapprochés sur les résultats.
Max. valeurs retournées
Entrez le nombre maximal d’éléments pouvant être retournés par la requête. La requête refusera de s’exécuter si la taille du résultat est supérieure à cette limite. Ceci est utilisé afin d’éviter l’exécution de requêtes trop longues qui pourraient ralentir le système.
Type de requête
Sur la couche : Avec ce type de requête, la recherche s’effectue uniquement sur les attributs de la couche. C’est le type de requête le plus simple. Externe : Avec ce type de requête, la recherche s’effectue dans une base de données externe qui possède un champ faisant le lien avec un attribut de la couche. Ce type de requête est plus complexe à paramétrer mais offre plus de flexibilité pour les recherches.
WHERE
Clause WHERE de la requête SQL exécutée pour faire la recherche. C’est ici que sont définis tous les critères de recherche. Typiquement, cette clause contient des paramètres numérotés ($param1
, $param2
, etc.) qui seront remplacés par les valeurs entrées par l’utilisateur dans le formulaire.
Exemples
COUNTRY='$param1'
Sélectionne les éléments de la couche qui ont la valeur de l’attribut COUNTRY égale à la valeur saisie par l’utilisateur.
La valeur de l’attribut doit correspondre parfaitement à la valeur saisie ($param1
).
lower(COUNTRY) like lower('$param1')
Sélectionne les éléments de la couche qui ont la valeur de l’attribut COUNTRY similaire à la valeur saisie par l’utilisateur.
La valeur de l’attribut doit débuter par la valeur saisie ($param1
).
Grâce à l’opérateur lower la recherche n’est pas sensible à la case.
POP2000> = $param1 and POP2000 < $param2
Sélectionne les éléments de la couche qui ont la valeur de l’attribut POP2000 à l’intérieur de la plage définie par les deux valeurs saisies ($param1
et $param2
).
Disposition du formulaire
Appuyez sur ce bouton pour configurer le formulaire de la requête. Consultez la section Formulaires pour plus d’information à ce sujet.
Base de données
Sélectionnez la base de données dans laquelle vous voulez effectuer la requête.
Requête SQL
Entrez la requête SQL qui sera exécutée dans la base de données pour rechercher les éléments.
Exemple
select * from cities where CITY_LANGUAGE='$param1'
Recherche dans la base de données sélectionnée plus haut, dans la table cities. Retourne tous les champs des enregistrements qui ont la valeur du champ CITY_LANGUAGE égale à la valeur saisie par l’utilisateur ($param1
).
Attribut de la couche
Parmi les attributs de la couche, spécifiez celui qui sert à faire le lien avec la base de données.
Champ
Parmi les champs retournés par la requête SQL, spécifiez celui qui sert à faire le lien avec la couche.
Disposition du formulaire
Appuyez sur ce bouton pour configurer le formulaire de la requête. Consultez la section Formulaires pour plus d’information à ce sujet.
Changer Anticrénelage
Cochez si vous désirez modifier ce paramètre. Cochez Nouvelle valeur pour activer la fonction anticrénelage. Décochez Nouvelle valeur pour désactiver la fonction anticrénelage. La section Style offre de détails de ce paramètre.
Changer Échelle minimale
Cochez pour changer l’échelle minimale d’affichage des couches. Cochez Infini ou 1: et indiquez dans ce cas, l’échelle. La section Paramètres généraux offre des détails sur ce sujet.
Changer Échelle maximale
Cochez pour changer l’échelle maximale d’affichage des couches. Cochez Zéro ou 1: et indiquez dans ce cas, l’échelle. La section Paramètres généraux offre des détails sur ce sujet.
Changer Mode de chargement
Cochez pour changer le mode de chargement des données. Cochez votre choix. La section Création de couches présente des détails de ce thème.
Changer Description
Vous pouvez écrire une nouvelle description pour les couches.
Paramètres de la mémoire |
Taille maximale | Quantité maximale de mémoire allouée au producteur d’images du projet. Cette mémoire est utilisée pour stocker les données vectorielles du projet afin d’accélérer la production des images. Ce paramètre peut être augmenté pour de très grands projets. |
Utilisation de la mémoire | Taille de mémoire utilisée actuellement. La valeur de gauche varie en fonction de l'utilisation. La valeur de droite est la taille maximale de mémoire allouée au producteur d'images. |
Pointe d'utilisation de la mémoire | Taille maximale de mémoire atteinte depuis le dernier démarrage de JMap Server. |
Libération de la mémoire | Indique le pourcentage de la mémoire à libérer lorsque la mémoire du producteur d’images est saturée. |
Paramètres du gestionnaire de fils d’exécution |
Nombre initial de fils d’exécution | Le nombre de fils d’exécution (threads) détermine le nombre d’images qui peuvent être produites simultanément. |
Taille maximale | Si le nombre de fils d’exécution croît en raison d’une forte demande, il est limité par cette valeur. |
Utilisation du fil d'exécution | Nombre de fils d’exécution utilisé actuellement (valeur à gauche) sur le nombre maximum alloué (valeur à droite) |
Pointe d'utilisation du fil d'exécution | Nombre maximal de fils d’exécution atteint depuis le dernier démarrage de JMap Server. |
Délai maximal de la vue | Délai maximal avant expiration d’une requête d’image. Cette option est normalement désactivée. |
Nom | Entrez un nom pour le nouveau groupe. Le nom doit être unique. |
Description | (Optionnel) Entrez une description pour le nouveau groupe. Celle-ci sera visible par les utilisateurs. |
Visible | Cette option rend le groupe visible au départ, lorsque le projet est ouvert. Toutes les couches visibles à l’intérieur du groupe seront affichées. |
Toujours listé | Cette option assure que le groupe est toujours présent dans la liste (affiché dans le gestionnaire de couches sur le client) même s’il ne contient aucune couche. Par défaut, les groupes vides ne sont pas affichés dans la liste. Un groupe peut être vide s’il ne contient pas de couche, si toutes les couches qu’il contient ne sont pas listées ou si l’utilisateur ne dispose pas des permissions pour visualiser les couches du groupe. |
Image | Cette option vous permet de sélectionner une image (une icône) pour afficher avec le groupe de couches.
Appuyez sur Sélectionner pour ouvrir le navigateur de fichiers et sélectionner le fichier de l’image. L’image ne doit dépasser les 100 |
Les modèles de style sont des styles prédéfinis qui peuvent être réutilisés pour de nombreux projets et couches. Ils épargnent du temps, car vous pouvez configurer un style une seule fois et l’utiliser à de nombreux endroits. Les modèles de style vous aident également à créer des cartes standardisées.
Une fois qu’un modèle de style a été configuré, il peut être utilisé à tout endroit où un style est requis (styles de couches, styles de sélection, thématiques, etc.).
Un modèle de style peut être utilisé en tant que référence ou en tant que copie. Lorsqu’un modèle de style de type référence est modifié, toutes les couches qui s’y rapportent subissent la modification de style. Lorsqu’un style est utilisé en tant que copie, il est détaché du modèle de style et peut être modifié de façon indépendante par la suite.
Les modèles de style sont associés à un seul type d’élément de carte (point, ligne, polygone, etc.) et ne peuvent pas être utilisés pour d’autres types d’éléments.
La section Modèles de style dans Ressources affiche un tableau qui présente les modèles configurés dans le serveur. Dans cette section vous pouvez créer un nouveau modèle, accéder à l'interface de configuration d'un modèle en cliquant sur son nom et gérer les modèles que vous sélectionnez dans le tableau.
Un projet est constitué d’une liste ordonnée de couches. Les couches sont utilisées pour afficher des données extraites de sources de données spatiales.
Chaque couche est associée à une source de données spatiales.
Les couches vectorielles sont associées aux sources de données vectorielles et affichent des données vectorielles, tandis que les couches matricielles se rapportent aux sources de données matricielles.
La configuration des couches détermine l’apparence des données (style de la couche), les seuils de visibilité, l’information rattachée aux données spatiales (attributs), etc. Chaque couche possède ses propres paramètres de configuration pour l’étiquetage, les rapports, les thématiques, etc.
Les couches sont créées dans le projet auquel elles appartiennent.
Des permissions spécifiques peuvent être configurées pour chaque couche. Ainsi, certaines couches peuvent être accessibles uniquement à un sous-ensemble des utilisateurs autorisés à ouvrir le projet.
Les couches d’un projet peuvent être organisées selon une hiérarchie ou une structure arborescente logique. Ceci est utile lorsque vous travaillez avec des projets comportant un grand nombre de couches. L’information est alors mieux organisée. Dans les applications les utilisateurs peuvent contrôler en un seul clic la visibilité des couches appartenant à un même groupe. Consultez la section Organisation des couches pour plus d’information sur le sujet.
Il est possible de copier des couches d’un projet vers un autre ou même de partager des couches entre différents projets localisés sur le même ou sur un autre JMap Server. À partir de JMap Server Kathmandu, il est aussi possible de partager des couches avec la plateforme infonuagique JMap Cloud, développée par K2 Geospatial. Consultez la section Partage de couches pour plus d’information sur ce sujet.
Les couches personnelles sont des couches de données créées et peuplées par les utilisateurs. Lors de la création d’une nouvelle couche personnelle, l’utilisateur définit un nom, un type de géométrie et un ensemble d’attributs.
La configuration de la couche et les données (géométries et attributs) sont stockées dans la base de données System de JMap Server.
Une fois créées, les couches personnelles peuvent être partagées entre les utilisateurs avec un système de permissions. Elles peuvent aussi être converties en couches normales insérées dans un projet par l’administrateur.
Les utilisateurs doivent avoir une permission spécifique accordée par l’administrateur afin de créer des couches personnelles.
Dans JMap Admin, l’administrateur peut voir la liste des couches personnelles existantes dans la section Couches personnelles des Ressources. Cette section a deux onglets :
Par couches, affiche une liste des couches personnelles. Vous pouvez sélectionner des couches et afficher les informations sur les utilisateurs qui y ont accès avec leurs permissions.
Par utilisateur, affiche les utilisateurs. Vous pouvez sélectionner des utilisateurs et afficher les couches auxquelles ils ont accès avec leurs permissions.
Vous pouvez sélectionner une couche personnelle dans la liste afin d’ouvrir sa section détaillée.
Afin de supprimer une couche personnelle, sélectionnez‑la dans la liste de l'onglet Par couches et appuyez sur Supprimer ou appuyez sur Supprimer dans la section détaillée de la couche.
La suppression d’une couche personnelle supprime aussi sa configuration et toutes ses données. Cette action ne peut pas être annulée.
La publication d’une couche personnelle transforme celle-ci en une couche régulière de projet.
Une fois publiée, une couche personnelle ne peut plus être gérée par les utilisateurs. Elle pourra cependant encore être éditée si l’administrateur accorde la permission à des utilisateurs.
Afin de publier une couche personnelle, sélectionnez‑la dans la liste de l'onglet Par couches, appuyez sur Publier et sélectionnez le projet dans lequel vous désirez insérer la couche. Vous pouvez publier aussi la couche à partir de la section détaillée de la même.
La section Projets offre des boutons pour créer, cloner ou supprimer des projets. D'autres fonctions sont accéssibles à partir de l'interface de configuration du projet.
Vous pouvez modifier un projet en appuyant sur Éditer dans la section de détails de celui-ci. Vous modifiez un projet en suivant les mêmes étapes que lors de sa création.
Si vous changez la projection d’un projet, le cache des données vectorielles des couches est supprimé.
Vous pouvez cloner un projet existant en le sélectionnant dans la table et en appuyant sur Dupliquer. Toutes les couches à l’intérieur du projet sont copiées vers le nouveau projet.
Les sources de données spatiales et bases de données subjacentes ne sont pas copiées, mais elles sont plutôt partagées entre les couches du nouveau projet et les couches de l’ancien projet.
Vous pouvez supprimer un projet existant en le sélectionnant dans la table et en appuyant sur Supprimer. Vous pouvez aussi supprimer un projet à partir de sa section de configuration.
En supprimant un projet, vous supprimez définitivement toutes les configurations de couches qu’il comprend. Les sources de données spatiales ne sont pas affectées.
1
Les sections du projet sont organisées en onglets : Couches et Groupes de couches, Requêtes, Producteur d’images et les interfaces de configuration des extensions JMap compatibles avec JMap NG ou JMap Survey.
2
Information générale configurée lors de la création du projet.
3
Paramètres du projet Ils sont configurés lors de la création du projet. L'étendue du projet correspond à l'étendue des couches qui composent le projet. Lorsque le projet n'a pas de couches, les valeurs sont égales à 0.
4
Paramètres d'affichage initial Ces paramètres sont spécifiés lors de la création du projet.
Lorsque le projet n'a pas de couches, les valeurs sont égales à 0.
5
Extensions Cette section présente la liste d'extensions JMap disponibles pour le projet.
L'interrupteur à côté du nom de chaque extension permet d'activer ou désactiver l'extension dans les applications JMap NG ou JMap Survey qui diffusent le projet.
La section Extensions JMap compatibles avec JMap NG ou JMap Survey offre plus de détails sur ce sujet.
6
Références Cette section indique les applications déployées qui utilisent ce projet.
7
Mapbox cache Cette section présente la taille du cache de tuiles vectorielles du projet. Elle indique aussi si la suppression automatique du cache des tuiles vectorielles est activée.
8
Cette section permet de synchroniser/partager le projet avec JMap Cloud.
9
Aperçu Cette section s'affiche lorsque le projet contient au moins une couche. Elle offre un aperçu de la carte, dans lequel vous pouvez zoomer avant et arrière.
Vous pouvez sélectionner une carte de base pour l'aperçu dans cette section : Aucune, OpenStreetMaps, des cartes Mapbox ainsi que des cartes Bing si elles sont disponibles pour votre organisation.
10
Couches Cette section présente une liste des couches du projet avec leur état. Des raccourcis permettent d'accéder aux interfaces d'ajout et d'organisation des couches.
11
Les boutons permettent de supprimer le projet, d'accéder aux permissions ou de l'éditer.
Nom
Entrez un nom pour ce modèle. Les noms de modèles doivent être uniques.
Langue par défaut
Parmi les langues disponibles pour le modèle de métadonnées, sélectionnez celle qui sera utilisée par défaut lorsque la langue demandée n’est pas disponible ou que des traductions sont manquantes.
Langues supportées
Sélectionnez une ou plusieurs langues qui seront supportées pour ce modèle de métadonnées. Tous les éléments textuels de la configuration du modèle (noms des sections, noms des champs, valeurs des champs) devront être traduits dans chacune des langues supportées. Il est obligatoire de sélectionner au moins une langue.
Nom de la section
Étiquette
Type
Sélectionnez le type de champ. Le type peut être : TEXT : Champ de saisie alphanumérique sur une seule ligne. TEXTAREA : Champ de saisie multiligne permettant d’entrer un texte plus long.
Infobulle
Sélectionnez cette option afin que la valeur du champ s’affiche dans l’infobulle en pointant sur une couche dans la barre des couches des applications JMap. Cette bulle présente un résumé des métadonnées d’une couche.
Créer
Débute la création d’une nouvelle couche. Voir Création de couches.
Dupliquer / Référencer
Permet de dupliquer ou de référencer une couche d’un autre projet sur le même serveur ou sur un autre JMap Server. Voir Partage des couches.
Importer…
Permet d’importer les couches une à une à partir d’un projet exporté d’un autre serveur JMap. Voir Importation de couches.
Mise à jour SDS
Démarre la mise la mise à jour des sources de données spatiales associées aux couches sélectionnées. Voir Données spatiales.
Mise à jour caches
Démarre la préparation du cache de données vectorielles pour les couches sélectionnées. Voir Création de couches.
Modification en lot…
Permet de modifier en lot certains paramètres des couches. La section Modification en lot des couches offre les détails sur le sujet.
Administrer le projet | Permet à un administrateur de modifier le projet et son contenu. |
Accéder au projet | Permet à un administrateur d’accéder au projet pour voir le contenu et l’utiliser dans les applications JMap. |
Ouvrir ce projet | Permet à un utilisateur d’ouvrir un projet à partir d’une application JMap. |
Langues |
Langues disponibles | Sélectionnez les langues disponibles pour le projet. Au moins une langue doit être sélectionnée. |
Langue par défaut | Parmi les langues disponibles, choisissez celle qui sera utilisée comme langue par défaut. Lorsque vous saisissez les textes dans les différentes sections de configuration du projet et des couches, vous devez les entrer dans la langue par défaut. Si la langue de l’utilisateur n’est pas supportée pour le projet, ou si des traductions sont manquantes, JMap utilisera automatiquement la langue par défaut. |
Vous pouvez gérer un modèle de style à travers son interface de configuration et à travers la section Modèles de style.
Dans l'interface de configuration du modèle, appuyez sur le bouton Éditer pour le refaire les étapes de création et modifier les paramètres.
Dans la section Modèles de style, sélectionnez les modèles et appuyez sur Dupliquer. Une copie de chaque modèle sélectionné est produite et vous pouvez l'éditer par la suite.
Vous pouvez octroyer les permissions aux modèles que vous sélectionnez dans la section Modèles de style.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour le modèle, gérer la liste des propriétaires et le supprimer.
Dans la section Permissions s'affiche une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Utilisateurs et groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Il existe uniquement des permissions administrateur pour les modèles de style.
Vous pouvez supprimer un modèle à partir de son interface de configuration ou une sélection de modèles à travers la section Modèles de style, en appuyant sur Supprimer.
Afin de créer un nouveau modèle de style, appuyez sur Créer.
Le reste de la configuration dépend du type d’élément sélectionné et est identique à la configuration normale du style. Reportez‑vous à la section Style pour plus de détails à ce sujet.
Appuyez sur Terminer pour compléter la création du modèle de style.
JMap Server Lima offre une nouvelle interface utilisateur. Les captures d’écran ci-dessous présentent l’interface graphique de JMap Admin.
La plupart des sections de JMap Admin offre une interface contenant un tableau des ressources de la section, avec des informations de base et des boutons pour la gestion des ressources.
Des plages filtre vous permettent de trouver vos informations lorsque des listes de valeurs sont disponibles :
Des icônes sont utilisés dans toutes les interfaces pour effectuer des tâches fréquentes :
L’interface de configuration d’une couche offre une vue d'ensemble des informations sur la couche et permet d'accéder aux fonctions de configuration de paramètres tels que le style, les étiquettes ou les rapports. Des onglets permettent aussi d'accéder aux mêmes fonctions.
L’interface de configuration des couches matricielles contient les sections Information générale, Paramètres de la couche, JMap Cloud et Limites de visibilité seulement ainsi que les onglets Général et Style.
La fenêtre de configuration d’un attribut contient trois onglets : Métadonnées, Statistiques et Échantillon de l’attribut.
L’onglet Statistiques offre des statistiques simples sur l’attribut. L’onglet Échantillon de l’attribut affiche la valeur de l’attribut pour un échantillon d’éléments de la couche.
Les filtres dynamiques permettent d’afficher certains éléments de la couche qui correspondent aux critères de l’utilisateur.
Les applications de type JMap Pro, JMap NG et JMap Survey supportent les filtres dynamiques pour les couches qui se chargent par région ou par tuile. Les applications de type JMap Web supportent les filtres dynamiques pour les couches qui se chargent par région.
Les filtres dynamiques se définissent au moyen d’un attribut, d’un opérateur et des valeurs pour l’attribut. Les valeurs sont triées en ordre alphabétique. Un filtre peut être composé par plusieurs attributs. Les opérateurs varient en fonction du type d’attribut.
Les attributs de type texte offrent des opérateurs de correspondance complète ou partielle ainsi que de la présence de valeurs nulles. Jusqu’à 2048 valeurs uniques sont supportées en mode menu déroulant. Pour les attributs dont la quantité de valeurs uniques dépassent cette chiffre la sélection de valeurs se fait en les saisissant dans la plage.
Les attributs de type numérique offrent des opérateurs quantitatifs.
Les attributs de type date et timestamp offrent des opérateurs temporels et des calendriers pour le choix des dates. La date et heure courante est supporté pour tous les attributs date et timestamp avec tous les opérateurs.
Pour créer un filtre dynamique :
Dans l'onglet Filtres dynamiques de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur pour ajouter un attribut.
Sélectionnez un opérateur et les valeurs dans les plages appropriées. Vous pouvez ajouter autant d’attributs que vous souhaitez. Pour enlever un attribut du filtre, sélectionnez-le et cliquez sur .
Cochez la case Activé pour que le filtre dynamique soit active à l’ouverture d’une application.
Cliquez Sauvegarder pour garder le filtre.
Cliquez sur le nom du filtre pour ouvrir son interface et le modifier.
Égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est égale à une des valeurs sélectionnées par l’administrateur JMap.
Pas égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est différente des valeurs sélectionnées par l’administrateur JMap.
Plus grand que : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est supérieure à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus grand ou égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est supérieure ou égale à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus petit que : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est inférieure à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus petit ou égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est inférieure ou égale à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Contient : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type texte) contient la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Ne contient pas : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type texte) ne contient pas la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap. Cela revient à faire une requête avec la clause WHERE nom_attribut NOT LIKE '%value%'.
Est vide : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont l’attribut (de type texte) n’a pas de valeur.
N’est pas vide : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont l’attribut (de type texte) a une valeur.
Est nul : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est nulle.
N’est pas nul : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) n’est pas nulle.
Est entre : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est dans l’intervalle défini par les deux valeurs entrées par l’administrateur JMap.
N’est pas entre : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est en dehors de l’intervalle défini par les deux valeurs entrées par l’administrateur JMap.
Derniers(ères) : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut de type date se situe dans la période (exprimée en années, mois, semaine(s), jour(s), heure(s) entrée par l’administrateur JMap.
Intervalle : Ce type d’opérateur permet de filtrer les données d’une couche sur la base d’intervalles de temps définis à partir d’une date de début, d’une date de fin et d’une date de référence. L’utilisateur dispose ainsi d’un outil pour afficher des données qui varient dans le temps.
La couche doit contenir au moins deux attributs de type date et/ou timestamp, un des attributs étant la Date/Heure du début et l’autre la Date/Heure de fin. Les valeurs de ces dates peuvent être NULL, indiquant une date très éloignée dans le passé dans le cas de la Date de début ou une date très éloignée dans le futur dans le cas de la Date de fin.
Une date de référence est aussi nécessaire. Cette date peut être une date précise (passée ou future) ou une Date/Heure courante, qui indique l’instant présent.
Seuls les éléments de la couche dont la date de référence est comprise entre la date de début et la date de fin sont affichés dans la carte.
La figure illustre ce filtre.
Dans JMap, chaque couche d’un projet prend ses données d’une source de données spatiales. Ainsi, avant qu’une couche ne puisse être créée, la source de données pour la couche doit exister (consultez la section pour plus de détails à ce sujet).
Pour créer une nouvelle couche dans un projet, appuyez sur Créer dans le menu Ajouter de l'onglet Couches de l'interface de configuration du projet.
Notez que par défaut, la nouvelle couche possédera le même nom que la source de données. Le nom peut être changé plus tard.
Les étapes suivantes diffèrent pour les couches vectorielles et matricielles. Notez que la création d’une couche matricielle diffère aussi pour chaque type de source de données matricielles. Passez directement à la section qui s’applique.
Le mode de chargement détermine la façon dont les données vectorielles sont gérées par JMap Server et peut grandement influencer les performances générales.
Deux modes de chargement par tuile sont disponibles : automatique et manuel. Vous pouvez éditer la configuration de la couche en tout temps et modifier le mode de chargement.
En règle générale, les paramètres avancés qui suivent ne doivent pas être modifiés.
Pour créer une couche matricielle à partir d’une source de données spatiales WMS, vous devez indiquer à JMap Server quelles données doivent être chargées à partir du serveur WMS.
Le serveur WMS publie la liste de toutes les couches qu’il peut servir ainsi que leurs propriétés. L’interface de création de couches WMS vous permet de sélectionner les couches à inclure dans la couche WMS que vous souhaitez créer.
JMap Server propose deux modes de connexion au serveur WMS : Direct et Serveur.
Le mode Serveur implique que l'application demande à JMap Server de communiquer avec le service WMS et de lui retourner l’image. Si l’application ne supporte pas cette option, l’option Direct est utilisée automatiquement. Les applications de type Pro et Web supportent cette option.
L’importation d’une couche dans un projet implique également la création dans JMap Server d’une source de données qui contient les données de la couche importée.
Lorsque vous appuyez sur Ajouter / Importer… l’Assistant d’importation vous guide pour importer une ou plusieurs couches à partir du projet dans lequel elles se trouvent :
Pour commencer le processus sélectionnez le Fichier d’importation. Appuyez sur Parcourir pour accéder à l’Explorateur de fichiers.
Sélectionnez le fichier .properties qui contient le projet dont vous souhaitez importer les couches.
Appuyez sur Suivant.
Sélectionnez le Projet qui contient la couche que vous souhaitez importer.
Sélectionnez les Couches à importer.
Appuyez sur Suivant.
Si le projet dans lequel vous importez la couche contient une couche avec le même nom que celle qui vous importez, sélectionnez le critère à appliquer pour résoudre le conflit entre couches : Créer une nouvelle couche avec un nom différent, Remplacer la couche existante ou Utiliser la couche existante.
Appuyez sur Suivant.
Si le serveur JMap Server dans lequel vous importez la couche contient une source de données spatiales avec le même nom que la source de données de la couche que vous êtes en train d’importer, sélectionnez le critère pour résoudre le conflit entre sources de données : Créer une nouvelle source de données spatiales avec un nom différent, Remplacer la source de données spatiales existante ou Utiliser la source de données spatiales existante.
Appuyez sur Suivant.
Un résumé liste le nombre de ressources importées du projet : couches, bases de données, connexions à distance, sources de données spatiales, modèles de style, modèles de métadonnées.
Appuyez sur Importer. La couche est ajoutée dans le projet et une nouvelle source de données spatiales est créée dans JMap Server.
Une couche doit être publiée pour être accessible aux utilisateurs.
Une couche qui n’est pas publiée ne fait pas partie des applications qui diffusent le projet, et les utilisateurs ne peuvent aucunement la visualiser ou y accéder.
Lorsqu’une nouvelle couche est créée, elle n’est pas publiée par défaut, ce qui vous permet d’exécuter différentes tâches de configuration sur celle‑ci avant de la rendre disponible aux utilisateurs. Par exemple, il est important de configurer les seuils de visibilité en fonction de l’échelle de façon adéquate avant que la couche ne puisse être affichée aux utilisateurs.
Après la création d’une couche, vous devez appuyer sur le bouton Publier dans la page des détails de la couche.
Vous pouvez aussi publier une sélection de couches, à partir de l'onglet Couches de l'interface de configuration du projet. Dès qu'une couche est sélectionnée le bouton Publier devient actif.
Il peut aussi être utile d’annuler la publication d’une couche existante afin de la rendre indisponible aux utilisateurs sans toutefois la supprimer.
Vous accédez à la section Permissions à partir du bouton Permissions de l'onglet Couches dans l'interface de configuration d'un projet ou à partir de l'interface de configuration d'une couche.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour la couche, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Seuls les utilisateurs et groupes qui ont déjà la permission d’ouvrir le projet contenant la couche peuvent se voir attribuer des permissions relatives à cette couche.
Les permissions sur les couches sont divisées en deux catégories : les permissions administrateur et les permissions utilisateur.
La vue initiale est définie en appuyant sur dans la section Aperçu. Par défaut elle correspond à l'étendue du projet.
Vous pouvez vider le cache en appuyant sur .
Appuyez sur pour ouvrir un Aperçu JMap Web ou un Aperçu JMap NG dans une fenêtre séparée, dans lequel établir la vue initiale et tester les configurations du projet.
Vous pouvez définir une ou plusieurs sections de métadonnées. Saisissez un nom pour la section courante. Appuyez sur pour ajouter une nouvelle section. Appuyez sur pour supprimer une section. Appuyez sur pour déplacer la section vers le haut ou vers le bas.
Entrez une étiquette pour le champ. Le texte de l’étiquette sera affiché dans la fenêtre de saisie des métadonnées et dans l’interface de consultation. Appuyez sur pour ajouter un nouveau champ. Appuyez sur pour supprimer un champ. Appuyez sur pour déplacer le champ vers le haut ou vers le bas.
Le mode Direct implique que l' communique directement avec le service WMS qui lui retourne l'image. Les applications de type Pro, Web, NG et Survey supportent cette option.
Vous pouvez ajouter une couche à un projet en l’important à partir d’un projet qui a été exporté d’un autre serveur JMap. La sectionoffre des détails sur l’exportation et l’importation de ressources d’un serveur JMap Server.
Nom
Entrez un nom unique pour le modèle de style.
Type
Sélectionnez le type d’élément associé au nouveau modèle de style. L’interface de configuration du style sera différente selon le type sélectionné.
Description
(Optionnel) Entrez une description pour le modèle de style.
1 | Le tableau affiche les ressources dans les rangées. Cliquez sur le nom d'une ressource pour accéder à son interface de configuration. |
2 | Vous pouvez sélectionner les paramètres du tableau. |
3 | Des filtres pour certains champs permettent de filtrer le contenu du tableau. Vous pouvez trier les ressources du tableau en fonction de leurs valeurs pour les différents champs. |
4 | Vous pouvez naviguer dans les pages du tableau et modifier le nombre d’items par page. |
5 | Les fonctions disponibles s'affichent dans la barre supérieure. |
1 | Un fil d’Ariane vous permet de naviguer dans JMap Admin. |
1 | Vous pouvez voir un aperçu de chaque projet en tout temps, à mesure que vous faites des changements. |
2 | Vous pouvez ouvrir votre projet avec un aperçu JMap NG ou JMap Web sans quitter JMap Admin. |
Mode de chargement |
Charger par tuile (automatique) | Les données sont chargées par zones rectangulaires (tuiles) définies par une grille fixe prédéterminée qui couvre toutes les données de la couche. La structuration des données de la couche en tuiles permet une gestion plus efficace des données, pour le transfert sur le réseau, la gestion de la mémoire et le stockage en cache. Lorsque vous appuyez sur Terminer à la fin de la configuration, JMap effectue le calcul pour déterminer la configuration optimale de la grille et le tuilage se fait en fonction de cette configuration. Ce mode offre la meilleure performance, car une fois qu’une tuile est extraite d’une source de données, elle peut être mise en cache pendant un certain temps et être ainsi réutilisée efficacement. Il s’agit du mode recommandé pour la plupart des applications. |
Charger par tuile (manuel) | Les données sont chargées par zones rectangulaires (tuiles) définies par une grille fixe prédéterminée qui couvre toutes les données de la couche. Dans cette option, vous configurez le tuilage manuellement. La valeur par défaut est 1 x 1. Vous pouvez la modifier. Prenez note qu'une mauvaise configuration de la grille peut entraîner une diminution des performances du système ou un problème de fonctionnement. |
Charger par région | Les données sont chargées par régions aléatoires, selon les actions de navigation sur la carte faites par l’utilisateur. Chaque fois que la couche doit être affichée dans l’application, une nouvelle demande est envoyée à JMap Server, et les données sont à nouveau extraites à partir de la source de données spatiales. Ce mode est très dynamique puisqu’il n’utilise aucun cache, et les utilisateurs peuvent voir les changements apportés aux données à chacune des manipulations de la carte (zoom, déplacement, etc.). Notez toutefois que ce mode est beaucoup plus exigeant pour JMap Server, et s’il n’est pas utilisé correctement, il peut affecter la performance générale du système. Ce mode doit être utilisé pour les données qui sont dynamiques. Typiquement, ce sont des données qui sont dans une base de données relationnelles et qui peuvent être modifiées de manière aléatoire. C’est le cas pour les couches éditables par JMap. |
Avancé (optionnel) |
Transformation | Appliquer une translation : Effectuer une translation de chaque géométrie de la couche de X unités horizontalement et Y unités verticalement. Les données d’origine ne sont pas affectées. Généraliser les géométries : Généraliser (simplifier) les géométries en utilisant la tolérance spécifiée. Pour une géométrie donnée, tous les nœuds qui sont plus rapprochés les uns des autres que la tolérance sont éliminés. De plus, tous les nœuds qui sont situés sur une même ligne droite sont éliminées. Les données d’origine ne sont pas affectées. Réduire la précision (meilleure performance) : Utiliser la compression des données pour de meilleures performances. Dans certains cas exceptionnels, cette option peut réduire la précision des données de façon perceptible. À partir de JMap Dakar cette option est décochée par défaut pour les nouvelles couches afin d’éviter des problèmes de performance. Les couches configurées dans les versions antérieures de JMap ne sont pas affectées. |
Mise en cache | Cette section vous permet de définir des règles relatives à la mise en cache sur le serveur pour les données vectorielles et leurs attributs. Ceci améliore la performance, car une fois que des données sont mises en cache, JMap Server n’a pas besoin de les charger de nouveau à partir de la source de données. Activer la mise en cache serveur pour cette couche : Choisissez cette option pour activer ou désactiver la mise en cache serveur pour cette couche. Reconstruire après la mise à jour de la source de données : Si la mise en cache est activée, cette option indique à JMap Server de vider et reconstruire le cache pour cette couche lorsque la source de données spatiales correspondante est mise à jour. Le fait de construire le cache à l’avance aide à prévenir les délais pour les utilisateurs. La construction du cache peut prendre un certain temps, selon la quantité de données présentes. Échéance du cache : Cette option indique à JMap Server de ne pas conserver les données en cache au-delà de la période de temps spécifiée. Lorsque l’échéance est atteinte, les données sont chargées de nouveau à partir de la source de données. Ceci s’avère surtout utile pour les sources de données spatiales qui obtiennent leurs données à partir de serveurs de données spatiales auxquels JMap Server est connecté (Oracle Spatial/Locator, géodatabases ESRI, PostGIS, MySQL Spatial etc.). Mettre à jour après “Terminer” : Sélectionnez cette option afin que le cache soit immédiatement construit pour cette couche. La construction du cache peut prendre un certain temps, selon la quantité de données présentes. |
Filtre de base | Conditions SQL : Des conditions SQL sont utilisées afin de filtrer les éléments de la source de données spatiales. Seuls les éléments qui satisfont les conditions SQL se retrouveront sur la couche. Ainsi, vous pouvez créer de nombreuses couches affichant différentes données en utilisant la même source de données spatiales. Les conditions SQL sont interprétées directement par le système de base de données, donc la syntaxe ressemble à celle d’une clause WHERE en SQL. Cependant, vous devez toujours indiquer le nom de la table dans la base de données dans la clause. Le mot‑clé WHERE n’est pas requis. Exemple de syntaxe
où WORLD_CITIES est le nom de la table. Si vous indiquez seulement JMAP_ID < 100 la couche ne s’affiche pas. |
Format d’image | Sélectionnez le format d’image à utiliser pour les transferts d’images entre JMap Server et les applications JMap Pro. Pour les photos aériennes, JPEG donne généralement les meilleurs résultats. |
Paramètres du format d’image | Uniquement utilisé avec le format d’image JPEG pour spécifier le facteur de qualité (1 signifie une qualité excellente et une faible compression tandis que 0 signifie une basse qualité et une forte compression). Faites des essais afin de trouver la valeur qui correspond à vos besoins. La valeur 0.5 constitue généralement un bon compromis. Exemple quality=0.6 |
Couleur de fond | Indique à JMap Server la couleur de fond des images. Cette couleur sera appliquée à toute région ne contenant pas de données. |
Utiliser la couleur de fond comme couleur de transparence | Indique à JMap Server d’utiliser la couleur de fond comme couleur transparente. La transparence permet de placer les images de la carte par‑dessus d’autres couches sans que celles‑ci soient entièrement cachées. |
Couche | Sélectionnez la couche du serveur WMTS que vous souhaitez utiliser pour créer la couche. Seules les couches dont la projection est la même que celle du projet sont sélectionnables. |
Style | Sélectionnez le style de la couche. |
Sélection de la source de données spatiales | Sélectionnez la source de données spatiales qui fournira les données de la couche. Sélectionnez une source de données vectorielles pour créer une couche vectorielle ou sélectionnez une source de données matricielles afin de créer une couche matricielle. |
Nom | Entrez un nom pour votre nouvelle couche. Ce nom doit être unique. Par défaut, la couche prend le même nom que la source de données sélectionnée. |
Description | (Optionnel) Entrez une description pour la nouvelle couche. Celle-ci sera utilisée à des fins administratives. |
Type de géométrie |
Type de géométrie | Si la source de données peut fournir plus d’un type, sélectionnez le type de géométrie unique pour la couche. |
Fabrique d’élément |
Fabrique d’élément | Certaines extensions de JMap fonctionnent avec de couches composées d’éléments complexes, intégrés par plusieurs géométries distinctes. Les sources de données spatiales associées à l’extension permettent de définir les éléments complexes. Lorsque une telle source de données spatiales est sélectionnée pour la création d’une couche, cette étape permet de sélectionner l’option appropriée pour configurer les éléments complexes de la couche. Sélectionnez l’option Default factory pour les couches composées par un seul type de géométrie. Cette étape est absente lorsque la source de données spatiales ne permet pas de définir des éléments complexes. |
Attributs |
Attributs liés | Par défaut, lorsque des éléments d’une couche (points, lignes, polygones, etc.) sont servis par JMap Server, les attributs des éléments (ou données descriptives) ne le sont pas, car les attributs ne sont pas « liés » aux éléments. La liaison des attributs associe les données des attributs aux éléments de la couche. Seuls les attributs liés peuvent être utilisés pour les fonctions suivantes : étiquetage, infobulles, cartographie thématique et affichage des attributs dans l’explorateur d’éléments ou de sélection. Sélectionnez et ajoutez les attributs à la liste de droite afin de les lier à la couche. Les autres attributs demeureront disponibles pour d’autres fonctions, telles que les requêtes par attributs et les rapports d’information. Notez que le nombre d’attributs liés à une incidence sur l’utilisation du réseau et de la mémoire ainsi que sur la taille des tuiles vectorielles Mapbox et peut donc réduire les performances globales. En principe, les attributs ne devraient être liés que lorsque qu’ils sont requis. |
Angle de la géométrie (couches de points seulement) |
Attribut de l’angle | Cette section n’est disponible que pour les couches de points. Dans cette section, sélectionnez un attribut numérique qui contient des angles de rotation pour les symboles représentant les points de la couche. Si vous sélectionnez un attribut de l’angle, les symboles seront affichés avec une rotation suivant la valeur de cet attribut. |
Unité de mesure angulaire | Choisissez l’unité de rotation à appliquer : degrés ou radiants. |
Direction | Choisissez la direction de la rotation. Les valeurs des angles peuvent être interprétées dans le sens horaire ou antihoraire. |
Origine de la rotation | Choisissez l’origine de la rotation appliquée : Géographique (nord) ou Arithmétique (est). |
1 |
2 | Chaque ressource peut être traduite en plusieurs langues. |
OK. |
Annuler. |
Ouvrir la section. |
Recharger la section. |
Développer la section. |
Ajouter. |
Supprimer. |
Permet d'accéder à d'autres fonctions dans les sections. |
Permet d'accéder aux paramètres d'affichage des tableaux. |
Dans l'entête des colonnes d'un tableau, indique la fonction du triage (ascendant ou descendant) des éléments en fonction des valeurs de la colonne. |
Métadonnées |
Type | Indique le type de données de l’attribut. |
Type SQL | Indique le type SQL de données de l’attribut. |
Indexé | Indique si l’attribut est indexé. |
Titre |
Modèle de format | Spécifiez un modèle de format pour l’affichage des éléments de la SDS. Le modèle doit suivre les normes Java. |
Type de connexion (Directe / Serveur) | Si la connexion directe est sélectionnée et qu'une application JMap Pro ne parvient pas à se connecter au serveur WMS, la connexion passera alors au mode serveur. |
Format de sortie | La liste de formats de sortie offerts par le serveur WMS. Vous pouvez sélectionner le format à utiliser. |
Couleur de fond | Indique au serveur WMS la couleur de fond des images de la carte. Toute région ne contenant pas de données sera remplie de cette couleur. |
Utiliser la couleur de fond comme couleur de transparence | Indique au serveur WMS d'utiliser la couleur de fond comme couleur transparente. La transparence permet de placer les images de la carte par‑dessus d'autres couches sans que celles‑ci soient entièrement cachées. |
S.R.S. | La liste de Systèmes de Référence Spatiale offerts par le serveur WMS pour cette couche. Vous pouvez sélectionner celui que vous souhaitez utiliser. Assurez-vous que le SRS sélectionné correspond à la projection du projet car JMap ne peut pas reprojeter les images reçues des serveurs WMS. |
Couches disponibles | La liste de couches publiées par le serveur WMS. Si vous immobilisez votre pointeur de souris sur un nom de couche, la description de celle-ci s'affiche automatiquement, ainsi que ses attributs. Les attributs déterminent si la couche est interrogeable (prend en charge les requêtes GetFeatureInfo), en cascade (provient d'un autre serveur WMS) ou opaque (non transparente, c'est‑à‑dire que les couches qui se trouvent en dessous de celle‑ci ne seront pas visibles). |
Couches sélectionnées |
Administrer le modèle de style
Permet à un administrateur de modifier la configuration du modèle de style.
Accéder au modèle de style
Permet à un administrateur d'accéder au modèle de style pour l'utiliser.
1 |
2 | Vous pouvez sélectionner une interface claire ou sombre. |
3 | Vous recevez des notifications, notamment lorsque des nouvelles versions des produits JMap Server composant votre licence sont disponibles. |
4 | Cette section vous donne accès à ce manuel, à des exemples, à la Base de connaissances et au Portail client de K2 Geospatial. À partir de ce dernier vous pouvez communiquer avec l'équipe Service chargé du support technique. |
5 | Cette section vous permet de :
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6 | La barre latérale donne accès aux sections principales de JMap Admin. Les sections sont groupées par thème : Ressources, Déploiement, Outils, Extensions, JMap Server. |
7 | Des boutons raccourcis permettent d’atteindre rapidement une section en particulier. |
8 | Ce bouton permet de recharger la licence. |
1 |
2 | Paramètres de la couche configurés lors de sa création. L’hyperlien vous permet d’accéder à la source des données spatiales qui contient les données de la couche. |
3 |
4 | Cache Informations sur le cache Mapbox de la couche. Indique si le cache est activé, s’une date d’échéance est définie, le nombre de tuiles mise en cache et des indicateurs d’utilisation. |
5 | JMap Cloud |
6 | Limites de visibilité, entre l’échelle maximale et minimale d’affichage des éléments de la couche. |
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Accéder à distance |
Visualiser cette couche | Permet à un utilisateur de visualiser une couche dans les applications JMap. Par défaut, l’utilisateur Everyone (tout le monde qui a la permission d’ouvrir le projet) a la permission de visualiser toute nouvelle couche. Pour restreindre l’accès à cette couche, vous devez retirer cette permission à Everyone et l’ajouter uniquement aux utilisateurs voulus. |
Ajouter des éléments | Permet à un utilisateur d’ajouter des nouveaux éléments sur la couche et de saisir les valeurs des attributs à l’aide du formulaire associé à la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible. |
Modifier des éléments | Permet à un utilisateur de modifier les géométries des éléments (déplacer, ajouter/enlever des nœuds, etc.) existants sur la couche. Permet également à l’utilisateur de modifier les valeurs des attributs à l’aide du formulaire associé à la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible. |
Effacer des éléments | Permet à un utilisateur d’effacer des éléments existants sur la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible. |
Modifier les valeurs des attributs | Permet à un utilisateur d’ouvrir le formulaire des attributs des éléments de la couche et de modifier leurs valeurs. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible. |
Copier des données | Permet à l’utilisateur de JMap Pro de copier les données de la couche vers une autre couche ou de les exporter à l’aide de l’extension JMap Exportation. |
Options |
Éditer seulement ses propres éléments | Permet à l’utilisateur d’une application JMap de modifier les géométries, les valeurs des attributs ou encore d’effacer seulement les éléments qu’il a créé dans la couche. L’utilisateur ne peut pas éditer les éléments de la couche qui ont été créés par les autres utilisateurs. |
La section des paramètres généraux d’une couche est disponible dans l'onglet Général de l'interface de configuration de la couche.
Les limites de visibilité sont utilisées pour gérer la visibilité d’une couche en fonction de l’échelle de la carte affichée. Ils sont particulièrement utiles lorsque vous voulez cacher les éléments d’une couche, en particulier lorsque la carte est affichée au-dessus (ou en dessous) d’une échelle donnée. Par exemple, il se peut que vous ne vouliez pas afficher la couche de rues locales lorsque vous regardez le territoire complet d’un pays. En utilisant les seuils, vous pourriez spécifier que les rues locales ne seront visibles qu’en consultant une carte avec une échelle supérieure à 1 : 100 000. Dans ce cas, vous spécifieriez une échelle minimale de 1 : 100 000, sans spécifier d’échelle maximale.
Le rafraîchissement dynamique de la couche permet de recharger automatiquement les données de la couche après un certain délai configurable, et ce, sans que l’utilisateur ait besoin de manipuler la carte. Cela peut être utile pour les couches dont les données changent régulièrement, comme les couches de données de suivi véhiculaire (AVL). Cela constitue une alternative à l’utilisation des couches par région pour avoir des données dynamiques.
Dans JMap, les étiquettes sont des textes rattachés aux éléments de carte. Elles sont utilisées pour afficher de l’information concernant les éléments sur la carte. Par exemple, vous pouvez utiliser les étiquettes afin d’afficher les noms de ville pour une couche de points représentant les villes.
Les étiquettes peuvent être placées manuellement en utilisant l’outil d’étiquetage ou encore elles peuvent être générées automatiquement par JMap au moment de l’affichage. La section de configuration des étiquettes peut varier légèrement selon le type d’éléments de la couche.
La figure suivante illustre un exemple d’étiquettes en courbe (gauche) et d’étiquettes avec cadre (droite).
La figure suivante illustre un exemple d’étiquettes avec un symbole en arrière‑plan.
L’étiquetage est configuré en spécifiant un texte qui définit le contenu de l’étiquette. Ce texte peut contenir des parties statiques, des parties variables (fonctions) et des programmes en JavaScript. Lors de l’affichage, les fonctions sont exécutées et remplacées par le résultat. Il peut s’agit par exemple de la fonction ElementValue(attrib)
(ou en version courte ev(attrib)
) qui sera remplacée par la valeur de l’attribut correspondant. Les programmes JavaScript peuvent être utilisés pour faire des opérations sur les valeurs des attributs. Le texte d’une étiquette peut s’étendre sur plusieurs lignes.
Les fonctions supportées par les étiquettes sont les mêmes que celles des infobulles. Pour plus d’information sur les fonctions, consultez la section Infobulles.
L’étiquetage automatique ajoute des étiquettes aux éléments de carte automatiquement, sans intervention de l’utilisateur. Pour chaque couche vectorielle, vous pouvez activer ou désactiver l’étiquetage automatique et définir des échelles à l’intérieur desquelles l’étiquetage automatique sera activé. Il est souvent utile de définir une limite d’échelle minimale pour l’étiquetage automatique afin d’éviter de surcharger la carte.
Toujours avec le souci d’éviter de surcharger la carte, trois outils vous permettent de contrôler l’ordre ou la priorité dans la position ou l’affichage des étiquettes : la position dynamique, la priorité par couche et la priorité par attribut.
Les formulaires sont utilisés dans JMap pour les afin de saisir les paramètres de recherche, pour la saisie des données attributaires des couches éditables et pour la gestion de données stockées dans des bases de données, toujours en relation avec les éléments d’une couche. Il existe aussi un type de formulaires appelé sous-formulaire, accessible à partir d’un autre formulaire.
L’administrateur JMap conçoit les formulaires à l’aide du designer de formulaires et les utilisateurs peuvent ensuite les utiliser dans les applications JMap Pro, Web, NG et Survey. Selon les permissions accordées, les utilisateurs pourront utiliser les formulaires de saisie de données pour visualiser, ajouter, modifier ou effacer des données.
Si aucun formulaire n’est créé pour la saisie des attributs des éléments d’une couche , JMap génère un formulaire par défaut. Il s’agit d’un formulaire simple qui présente tous les attributs disponibles. Il est généralement beaucoup plus avantageux de créer un formulaire adapté aux besoins spécifiques des utilisateurs des applications.
Les sections suivantes expliquent en détails le processus de création des formulaires ainsi que la fonction de chaque type de formulaire.
Les rapports d’information sont utilisés pour afficher des informations descriptives concernant les éléments de la couche. Ces rapports peuvent afficher des attributs extraits de la source de données spatiales de la couche ou encore des informations extraites d’autres bases de données. Chaque couche peut comporter zéro, un ou plusieurs rapports. Les rapports d’information sont présentés sous forme de pages Web ou de documents en format PDF.
L'onglet Rapports de l'interface de configuration de la couche offre les outils pour configurer les rapports.
L'onglet présente un tableau des rapports configurés pour la couche. Dans les applications JMap, les rapports sont présentés dans cet mème ordre. Il est possible de changer l’ordre à l’aide du menu Modifier.
Pour créer un nouveau rapport d’information, appuyez sur Créer.
Pour effacer des rapports, sélectionnez-les dans le tableau et appuyez sur Supprimer.
Il existe trois types de rapports : De base, Avancé et Personnalisé.
Les rapports de base sont générés sous forme de pages web. Ils contiennent des fonctions d’exportation en format Excel et d’impression. Les tables contenant les valeurs peuvent être triées en cliquant sur les entêtes des colonnes. Il est aussi possible de configurer les noms des champs à afficher dans les rapports.
Les rapports peuvent être générés en format HTML ou en format PDF. Ils supportent aussi l’intégration d’une carte géographique.
Avec les rapports de type avancé, il est possible de choisir le modèle de rapport à utiliser. Deux modèles sont livrés par défaut avec JMap, soit un modèle de rapport de base et un modèle de rapport avec une carte géographique intégrée. Chacun de ces modèles est aussi disponible en 2 versions : pour un seul élément et pour une sélection d’éléments multiples.
Vous pouvez créer vos propres modèles de rapports en vous basant sur les modèles existants, et les ajouter à ceux de JMap. Il vous sera alors possible de sélectionner vos modèles pour la configuration de rapports.
Les fichiers de modèles (.rpttemplate) de rapports sont placés dans le répertoire JMAP_HOME/applications/templates/reports. Vos modèles doivent être placés dans le sous-répertoire single ou multiple, selon qu’ils sont en version élément simple ou éléments multiples.
Les rapports de type personnalisé sont des rapports externes à JMap qu’il est possible d’appeler au moyen d’une URL. Ces rapports peuvent provenir d’outils de rapports (p.e. Crystal Reports, Jaspersoft, etc.) ou encore de simples pages web.
Une syntaxe spéciale permet de formater les paramètres à passer pour l’ouverture du rapport.
Les rapports de types de base et avancé peuvent prendre leurs données dans les attributs de la couche ou dans une base de données externe connectée à JMap.
Sélectionner l’option Couche courante afin de créer un rapport simple qui n’interroge que les attributs de la couche (voir plus bas pour l’option Base de données externe). Sélectionner ensuite les attributs à inclure dans le rapport en utilisant les cases à cocher. Seuls les attributs sélectionnés seront présentés à l’utilisateur. Les autres seront exclus du rapport. Finalement, il est possible spécifier des titres pour les attributs. Ceux-ci seront affichés à l’utilisateur au lieu des noms réels des attributs.
Sélectionner l’option Base de données externe afin d’indiquer à JMap qu’il faut présenter des informations provenant d’une autre base de données, et non pas de la couche. Cette option permet d’interroger toute base de données possédant un champ qui correspond à un des attributs de la couche.
Pour les rapports prenant leurs données dans une base de données externe, il est possible de définir les titres champs à afficher dans le rapport, au lieu des noms des champs de la base de données. Appuyez sur Titres pour définir ces titres.
Le style d’une couche définit la représentation graphique des éléments spatiaux sur la carte. Par exemple, le style d’une ligne est déterminé en fonction de son épaisseur, de sa couleur, de son type de trait, etc. Dans JMap, chaque couche peut posséder différents styles. Le style utilisé est fonction de plusieurs facteurs.
Différents styles peuvent être configurés pour différentes échelles. Par exemple, une couche peut posséder un style unique pour toutes les échelles tandis qu’une autre couche peut posséder un style pour les échelles supérieures à 1:20 000 et un autre style pour les échelles inférieures ou égales à 1:20 000.
Les couches possèdent également des styles de sélection. Ces styles sont utilisés pour afficher les éléments sélectionnés à différentes échelles. Les styles de sélection sont automatiquement générés à partir des styles des couches, mais ils peuvent être personnalisés pour chaque couche.
La présence de thématiques sur une couche aura prépondérance sur les styles de la couche.
Lorsqu’une thématique est active sur une couche, le style de chaque élément est déterminé par la valeur de ses attributs et les paramètres de la thématique. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
À partir de JMap Server Jakarta les couches polygonales avec une représentation en trois dimensions sont supportées dans les applications JMap NG. En effet, ce type de représentation d’une troisième dimension est appelé extrusion et il peut être configuré lors de la configuration du style de la couche. La section offre les détails de cette configuration.
Vous pouvez définir un ou plusieurs styles pour une couche.
Si une couche comporte plusieurs styles, chacun sera utilisé à l’intérieur d’un intervalle d’échelles donné.
Par défaut, un seul style existe pour chaque couche et couvre l’étendue complète des échelles.
L'onglet Style dans l'interface de configuration de la couche permet de gérer les styles de la couche.
Afin d’ajouter un nouveau style, appuyez sur Ajouter. Dans l’interface de configuration des styles, vous devez définir l’échelle maximale à partir de laquelle le nouveau style sera utilisé. L’échelle minimale sera automatiquement fixée à l’infini ou à l’échelle maximale du prochain style.
Afin de supprimer un style, sélectionnez‑le dans la liste et appuyez sur Supprimer.
Le style de l’échelle supérieure ne peut pas être supprimé.
Lorsque vous supprimez des styles, ceux qui restent seront ajustés afin couvrir l’étendue complète des échelles possibles.
Une fois que vous avez configuré un ou plusieurs styles, vous pouvez cliquer sur Nouveau modèle (situé à la droite de chaque style) afin de créer un nouveau modèle de style à partir d’un style de la couche. Le modèle de style sera automatiquement lié à la couche. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Les utilisateurs des applications JMap Web et JMap NG, par leur part, peuvent sauver une carte en créant une carte personnalisée.
Lorsque l’administrateur JMap modifie un style d’une couche, les utilisateurs des applications JMap Pro, JMap Web et JMap NG qui travaillent avec des contextes peuvent ne pas voir les modifications de style faites par l’administrateur JMap. Pour forcer la mise à jour du style de la couche dans les contextes, cliquez sur Forcer la mise à jour… (situé à la droite de chaque style) pour que tous les contextes des applications JMap Pro et les cartes personnalisées de JMap Web et JMap NG qui contiennent la couche reflètent les modifications du style effectuées.
Vous pouvez utiliser un modèle de style existant ou configurer votre propre style. Si vous désirez utiliser un modèle, cliquez sur Utiliser un modèle de style…. Vous pouvez alors choisir d’utiliser le modèle par référence ou de le copier.
Si aucun modèle de style n’est utilisé, vous devez configurer les paramètres définissant le style. Pour ce faire, sélectionnez Style par défaut.
Les interfaces de configuration du style diffèrent selon le type d’élément (points, lignes, polygones, texte, etc.). Certains paramètres de style sont communs à beaucoup de types d’éléments, mais d’autres sont propres à certains types.
L’anticrénelage est une méthode servant à représenter des vecteurs parfaits et continus sur des dispositifs d’affichage imparfaits et discontinus afin que leur apparence soit aussi parfaite que possible. L’option d’anticrénelage est présente et activée par défaut dans toutes les sections de configuration du style de JMap Admin et permet d’améliorer l’apparence de vos cartes. L’anticrénelage réduit toutefois la performance lors de l’affichage (vous devez donc en faire une utilisation judicieuse).
La figure présente un exemple d’une bordure de polygone sans anticrénelage (gauche) et avec anticrénelage (droite).
La transparence partielle peut être utilisée pour tout élément de la carte. Un élément de la carte dont la valeur de transparence est de 0 % sera complètement opaque tandis qu’un élément possédant une valeur de 100 % sera invisible.
La figure présente un exemple de polygone avec une transparence de 50 % (gauche) et de 10 % (droite).
Chaque style d’une couche possède un style de sélection. Les styles de sélection sont utilisés pour représenter les éléments lorsqu’ils sont sélectionnés sur la carte. Par défaut, les styles de sélection sont générés automatiquement en utilisant les styles de base de la couche et la couleur de sélection par défaut du projet.
Pour de modifier le style de sélection, désélectionnez l’option Générer à partir du style par défaut et ajustez les paramètres de style au besoin.
Le style des couches polygonales offre la possibilité de configurer une représentation des polygones en 3 dimensions.
Dans l’interface de configuration des paramètres du style de la couche, dans la section Extrusion cochez la case Activer pour activer l’extrusion dans les applications JMap NG. Cette fonction est désactivée par défaut.
Appuyez sur Configurer pour ouvrir la fenêtre de configuration de l’extrusion.
Appuyez sur Supprimer pour effacer la configuration de l’extrusion.
En plus du style, vous pouvez aussi créer certaines représentations graphiques pour analyser la distribution des données ponctuelles.
Les regroupements de points (ou clustering) forment des agglomérations de points qui sont rapprochés les uns des autres à l’écran. Des symboles spéciaux représentent graphiquement ces regroupements sur la carte et affichent le nombre d’éléments qui les composent.
Les cartes de densité (ou heat maps) permettent de représenter graphiquement la répartition des concentrations d’un type d’objet ou d’événement sur le territoire. Plus la couleur d’une zone est intense, plus la concentration est élevée.
Dans JMap, les infobulles servent à afficher de l’information sur les éléments pointés. Cette information comprend du texte, des valeurs d’attributs, des hyperliens, des images, etc. L’administrateur JMap détermine quelle information est affichée dans les bulles de chaque couche.
Le contenu des infobulles peut être formaté à l’aide de balises HTML et peut aussi contenir des programmes JavaScript.
L'onglet Infobulle de l'interface de configuration de la couche offre les outils pour configurer les infobulles.
Vous devez fournir le texte qui sera utilisé comme contenu de l’infobulle. Ce texte peut être composé de parties statiques (affichées telles quelles), de parties variables (fonctions remplacées par d’autres valeurs lors de l’affichage), de programmes JavaScript simples et de balises HTML. Par exemple, la fonction elementValue(city)
sera remplacée à l’affichage par la valeur de l’attribut city de l’élément pointé.
La syntaxe des infobulles est composée de diverses fonctions qui vont déterminer le contenu des bulles. Les fonctions ainsi que leurs paramètres ne sont généralement pas sensibles à la casse. Par exemple, ev(city)
est équivalent à Ev(CITY)
.
Le tableau suivant explique les différentes fonctions disponibles :
Il est possible de formater le contenu de la bulle à l’aide de balises HTML simples. Les bulles ne supportent pas les balises avancées telles que <DIV>
ni les CSS. Les balises HTML supportées et couramment utilisées dans les infobulles sont les suivantes :
<B>, <I>, <U>, <A>, <IMG>, <TABLE>, <BR>
Vous pouvez insérer des hyperliens dans les bulles. Ceux-ci sont cliquables et permettent d’ouvrir des pages HTML ou d’ouvrir ou télécharger des fichiers.
Les infobulles comportent une fonction pour localiser des coordonnées ou des éléments d’une carte en utilisant une syntaxe spéciale d’URL. Un hyperlien est affiché dans la bulle, et lorsqu’il est cliqué, la carte repère la région ou les éléments spécifiés. Cette fonction est disponible dans JMap Pro seulement.
Vous pouvez spécifier une URL qui affichera le contenu d’une page HTML dans l’infobulle (seulement supportée dans les applications JMap Pro). La bulle sera occupée à 100% par la page HTML. La syntaxe est la suivante :
$URL{http://awebsite.com}
L’URL spécifiée peut être statique ou peut provenir d’un attribut. Elle peut aussi utiliser les valeurs d’attribut en tant que paramètres, comme dans l’exemple ci‑dessous :
$URL{http://awebsite.com?param1=ev(ATTRIB_A)¶m2=ev(ATTRIB_B)}
La figure illustre un exemple de contenu HTML dans une infobulle, référencé au moyen d’une URL.
Les sections , et , décrivent les étapes de création des formulaires et sous-formulaires. Les exemples cités font référence aux tables de la figure suivante :
La cartographie thématique consiste à produire des cartes pour exprimer des informations relatives à un thème en particulier, par exemple : des polygones représentant les secteurs d’une ville, colorés différemment selon le taux de criminalité de chaque secteur, des points représentant des villes affichées à l’aide de symboles dont la taille varie en fonction de la population dans la ville, et ainsi de suite.
Dans JMap, vous pouvez créer des cartes thématiques en utilisant les attributs liés d’une couche. Selon les valeurs de leurs attributs, les éléments cartographiques seront alors affichés différemment. En utilisant JMap Admin, vous pouvez créer autant de cartes thématiques que vous le désirez, et vous pouvez aussi créer de nombreuses thématiques en utilisant la même couche.
Les applications JMap NG et JMap Survey ne supportent pas des thématiques avec des valeurs nulles (NULL). Les éléments qui présentent une valeur NULL ne s’affichent pas dans ces applications. Pour régler ce problème, vous pouvez remplacer la valeur NULL par NA, ND ou une autre valeur.
Dans JMap, il existe deux grandes catégories de types de thématiques : les et les .
Afin de créer une thématique, appuyez sur Créer dans l'onglet Thématiques de l'interface de configuration de la couche.
Les thématiques qui utilisent une classification séparent les éléments de la carte dans un nombre fini de catégories (aussi appelées classes), chacune possédant un style qui lui est propre. Lorsqu’un élément de la carte faisant partie d’une telle thématique est affiché, il utilise le style de la catégorie à laquelle il appartient pour s’afficher à l’écran.
Les thématiques par styles gradués utilisent une gradation d’une ou plusieurs variables visuelles afin de représenter les éléments des différentes catégories, par exemple : la couleur de remplissage des polygones qui vire progressivement du blanc au rouge, la taille des symboles de point qui change graduellement de 1 à 5, la largeur de ligne des éléments qui augmente graduellement de 1 à 4, etc. Dans tous les cas, il y a un nombre fini de catégories, et chaque élément de la couche appartient à une de ces catégories. Seul un attribut numérique peut être utilisé pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner l’attribut numérique à utiliser, définir le nombre de catégories, sélectionner la méthode de calcul de l’intervalle et définir les styles des catégories.
La section suivante permet de définir les styles des catégories. Il existe 2 possibilités : la création de styles personnalisés ou l’utilisation des palettes de couleurs prédéfinies.
Vous devez définir les styles de début et de fin en spécifiant les variables de style qui vont varier (p. ex. épaisseur de ligne, taille du symbole, couleur de remplissage, etc.). Les styles de catégories sont alors générés par interpolation entre les styles de début et de fin. Vous pouvez facultativement utiliser un troisième style afin de créer un point d’inflexion. Si une inflexion est définie, les styles générés passeront à travers le point d’inflexion à la position spécifiée dans le pourcentage. L’interface est différente selon le type d’élément de la couche.
Au lieu de définir manuellement les styles, vous pouvez sélectionner une palette de couleurs pour générer les styles des catégories de la thématique.
Les thématiques de symboles gradués affichent des symboles superposés sur les éléments qu’elles qualifient. Les tailles des symboles varient en fonction d’un nombre fini de catégories basé sur un attribut numérique. Les symboles peuvent être utilisés avec tout type d’élément de carte. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Les thématiques par valeurs individuelles représentent tous les éléments possédant la même valeur d’un attribut avec le même style. Ce type de thématique n’utilise pas une plage de valeurs pour chaque catégorie, mais plutôt une valeur spécifique. Le nombre maximal de valeurs uniques différentes est de 512. Si votre couche possède davantage de valeurs différentes, vous ne serez pas en mesure de créer ce type de thématique sur cette couche. Les attributs numériques et alphanumériques peuvent être utilisés avec ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, il vous suffit essentiellement de sélectionner l’attribut à utiliser et de suivre les étapes de l’assistant de configuration des thématiques :
Les thématiques par valeurs individuelles personnalisées sont semblables aux thématiques par valeurs individuelles, cependant elles vous permettent de définir vos propres valeurs au lieu de vous limiter aux valeurs déjà présentes dans les données. Ceci peut s’avérer utile lorsque vous créez des thématiques en utilisant un ensemble de données qui ne contient pas toutes les valeurs possibles connues pour un attribut. Lorsque de nouvelles données sont ajoutées ultérieurement à cet ensemble de données, les nouvelles valeurs seront gérées adéquatement par ce type de thématique.
Les thématiques qui utilisent des quantités proportionnelles représentent des éléments de carte en utilisant une variation continue d’une variable visuelle (p. ex. taille d’un symbole, couleur de remplissage, etc.) en fonction d’un attribut numérique ou d’un ensemble d’attributs.
Les thématiques par symboles proportionnels dessinent des symboles circulaires superposés sur le centre des éléments qu’ils qualifient. Les tailles des symboles sont déterminées par interpolation entre les valeurs minimales et maximales de l’attribut. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner l’attribut numérique à utiliser et définir les styles de début et de fin. La taille et la couleur du symbole seront déterminées par interpolation entre les valeurs de début et de fin.
Les thématiques par diagrammes circulaires affichent des diagrammes circulaires au centre des éléments qu’ils qualifient. Ce type de thématique fonctionne avec un ou plusieurs attributs numériques. Chaque partie du diagramme (morceau de la « tarte ») est associée à un attribut différent. La taille du diagramme est proportionnelle à la somme des valeurs des attributs. Seuls des attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner un ou plusieurs attributs numériques à utiliser et définir le style du diagramme.
Les thématiques par diagrammes à barres affichent des diagrammes à barres au centre des éléments qu’ils qualifient. Ce type de thématique fonctionne avec un ou plusieurs attributs numériques. Chaque barre du diagramme est associée à un attribut différent. La taille du diagramme est proportionnelle à la somme des valeurs des attributs. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Plusieurs méthodes de calcul différentes peuvent être employées pour calculer les intervalles de valeurs des catégories de thématiques utilisant des classifications. Le tableau suivant décrit ces méthodes.
Une fois la thématique créée, vous êtes dirigé vers l’interface qui présente les caractéristiques générales de la thématique et qui vous permet de spécifier la légende, de donner des titres aux classes, d’éditer la thématique ou de la supprimer.
Dans le cas des thématiques de classification, vous pouvez désélectionner des classes qui vous ne souhaitez pas afficher et vous pouvez aussi donner un titre à chaque classe.
Les thématiques activées s’affichent automatiquement lorsque la couche est affichée dans les applications JMap. Les thématiques désactivées sont toujours disponibles, mais ne sont pas affichées par défaut. Elles doivent être activées par l’utilisateur afin d’être affichées. Dans JMap Admin, la section des thématiques vous permet d’activer et de désactiver des thématiques.
Dans les applications JMap Survey les couches s’affichent avec les thématiques activées par défaut. La légende des thématiques n’est pas affichée. Les utilisateurs ne peuvent pas changer l’apparence de la couche.
Dans les applications JMap, les thématiques apparaissent dans l’ordre défini dans JMap Admin. Il est important de définir l’ordre adéquatement car certaines thématiques peuvent en masquer d’autres complètement si elles sont placées sur le dessus. Utilisez le menu Modifier depuis la liste des thématiques pour modifier l’ordre des thématiques.
Vous pouvez supprimer une thématique en la sélectionnant et appuyant sur Supprimer.
La configuration de formulaires d'une couche concerne le design du formulaire et l'établissement de règles de validation.
L’interface de design de formulaires permet de définir le contenu et la disposition des formulaires utilisés pour la saisie d’attributs et les recherches.
Chaque formulaire est structuré sous la forme d’une grille dont le nombre de colonnes et de rangées est paramétrable. Il est possible d’ajouter ou d’insérer des rangées et des colonnes à tout moment. Toutes les rangées vides au bas du formulaire et toutes les colonnes vides à droite du formulaire seront éliminées automatiquement à la sauvegarde du formulaire.
Chaque cellule de la grille peut contenir une composante du formulaire (étiquette, champ de saisie de texte, liste de valeurs, etc.) mais chaque composante peut aussi s’étendre en largeur sur plusieurs cellules.
Chaque formulaire peut être composé d’une ou de plusieurs sections. L’utilisateur peut passer d’une section à l’autre dans le formulaire. Cela est particulièrement utile si le formulaire est long ou complexe.
L’image suivante montre les principales parties du designer de formulaires.
La plupart des composantes du formulaire doivent être associées soit à un attribut d’une couche, à un champ d’une base de données ou à un critère de recherche, selon le type de formulaire créé. Les exceptions sont les composantes Étiquette, Photo et Groupe.
Chaque type de composante possède sa propre fenêtre de paramètres. Ces paramètres permettent de contrôler le comportement et l’apparence de la composante. Le tableau suivant décrit certains paramètres qui sont communs à plusieurs composantes. Voir plus bas pour une description complète des composantes disponibles.
Voici un exemple de disposition des composantes d’un formulaire :
Le tableau suivant décrit les différentes composantes disponibles pour la création des formulaires ainsi que leurs paramètres spécifiques. Notez que certaines composantes ne sont pas disponibles pour la création des requêtes par attributs.
Par exemple, si dans la base de données un champ de type texte a une longueur de 50 caractères, la composante correspondante de type Texte du formulaire doit avoir un nombre maximal de caractères de 50.
Certaines fonctions permettent d’initialiser les composantes des formulaires. En voici la liste.
Seules les applications JMap Pro, JMap NG et JMap Survey prennent en compte les règles de validation des composantes. Ces règles sont ignorées dans les applications JMap Web.
Les règles que vous définissez au niveau des composantes permettent notamment de :
Rendre un champ “read-only” (lecture seule) ou “required” (obligatoire) en fonction des valeurs d’autres champs du formulaire.
Calculer les valeurs de certains champs.
Les règles au niveau des composantes, permettent trois types d’expressions :
Les formulaires d’attributs d’une couche et les formulaires et sous-formulaires des bases de données vous permettent de définir des règles de validation globale du formulaire, basées sur plusieurs champs.
Les règles valident les valeurs des champs du côté client, c’est à dire, les valeurs que les utilisateurs des applications JMap entrent dans les formulaires. La validation a lieu lors de la sauvegarde du formulaire, qui ne se fait pas si les règles ne sont pas respectées.
Seules les applications JMap Pro, JMap NG et JMap Survey prennent en compte les règles de validation des formulaires. Ces règles sont ignorées dans les applications JMap Web.
Pour configurer les règles d’un formulaire ou d’un sous-formulaire, ouvrez l’interface de configuration du formulaire ou sous-formulaire qui vous intéresse :
À partir de l'interface de configuration d'un formulaire, appuyez sur le bouton Règles. L’interface affiche un tableau des règles configurées pour le formulaire.
Appuyez sur Créer pour créer une nouvelle règle ou appuyez sur le nom d'une règle pour l'éditer. La fenêtre des paramètres s’affiche.
Appuyez sur Sauvegarder.
Vous pouvez créer plusieurs règles pour un même formulaire.
La présence du bouton indique la possibilité d’ajouter des traductions pour différentes langues que vous souhaitez supporter.
/
Vous pouvez modifier le titre de l’attribut. L’icône vous permet de fournir le titre en plusieurs langues.
Cet article offre des détails sur le sujet : .
Notez que si JMap Server est protégé par un pare‑feu ou un serveur mandataire (« proxy »), il se peut que des paramètres d'authentification soient requis pour accéder à Internet. Reportez‑vous à pour plus de détails à ce sujet.
Les couches sélectionnées parmi celles qui sont disponibles apparaissent dans cette liste. Appuyez sur pour ajouter une nouvelle couche à cette liste. Vous pouvez sélectionner le style devant être utilisé. Un style par défaut est toujours fourni. Appuyez sur pour effacer une couche sélectionnée.
Vous pouvez spécifier le nom du serveur JMap Server, dans la section .
Informations générales configurées lors de la création de la couche. Le bouton permet d’accéder directement à l’interface de configuration des paramètres de la section.
Attributs liés Cette section présente une liste des attributs liés à la couche. Cliquez sur le pour ouvrir la fenêtre de configuration de ses propriétés. Le bouton permet de mettre à jour les statistiques des attributs.
Appuyez sur pour mettre à jour le cache ou sur pour le supprimer.
Cette section permet de partager la couche dans la plateforme infonuagique JMap Cloud. La section offre des détails sur cette fonction.
Section qui présente les thématiques de la couche. Cliquez sur le nom de la thématique pour accéder à son interface de configuration.
Section qui présente les informations sur les étiquettes.
Section qui décrit l’infobulle configurée pour la couche.
Section qui présente les informations sur les rapports configurés pour la couche.
Section qui présente les informations sur les formulaires configurés pour la couche. Cliquez sur le nom du formulaire pour accéder à son interface de configuration.
Ces boutons permettent d’éditer la configuration de la couche ou de la supprimer ainsi qu'accéder à la section des .
Des onglets correspondent aux sections , , , , , , et .
Les qui nécessitent la configuration des paramètres au niveau de la couche ajoutent des onglets.
Permet à un utilisateur d’accéder à cette couche par une connexion JMap Server à JMap Server. Cette permission doit être accordée au compte utilisateur utilisé pour établir la connexion sécurisée entre deux JMap Server. Pour plus d’information à ce sujet, consultez la section .
Les rapports de type avancé sont basés sur l’outil de rapport BIRT (). Un modèle de rapport par défaut est fourni avec JMap. Il est aussi possible d’utiliser l’application BIRT report Designer afin de créer des rapports personnalisés, ou encore de modifier le modèle fourni pour l’adapter à vos besoins (ajouter un logo, changer les couleurs, etc.). Pour plus d’information sur le développement de rapports, consultez le site web de BIRT ().
Les utilisateurs des applications JMap Pro peuvent changer le style des couches et sauvegarder les modifications en créant des . Ils peuvent partager les contextes avec d’autres utilisateurs et les rendre publiques pour tous les utilisateurs qui accèdent à l’application.
Il existe plusieurs méthodes pour calculer les intervalles de valeurs pour les catégories de ce type de thématique. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Il existe plusieurs méthodes pour calculer l’intervalle des valeurs pour les catégories de ce type de thématique. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Le processus de création est le même que pour décrit plus haut.
Le processus de création est semblable à celui pour la , sauf que vous avez l’option de modifier la liste de valeurs individuelles en ajoutant, en enlevant ou en modifiant les catégories :
Le processus de création est semblable à celui pour la décrit plus haut.
Appuyez sur pour sauvegarder les paramètres.
Appuyez sur pour sauvegarder les paramètres.
Si vous configurez un vous devez vous assurer que les paramètres d’une composante du formulaire sont compatibles avec les caractéristiques du champ correspondant dans la base de données.
Vous pouvez définir des règles de validation pour chaque composante, afin de diminuer les erreurs lorsque les utilisateurs des applications JMap entrent des valeurs pour la composante. Des règles peuvent être aussi créées au niveau du formulaire et des sous-formulaires. La section présente ce sujet.
JMap utilise , un langage de programmation qui permet d’élaborer la syntaxe des règles et les valider car il offre des bibliothèques d’évaluation des expressions logiques dans tous les langages. Vous pouvez élaborer des expressions logiques, mathématiques ou de chaînes de caractères.
Nom
Le nom de la couche. Les noms donnés aux couches d’un même projet doivent être uniques. Par défaut, le nom de la source de données spatiales associée est utilisé.
Description
(Optionnel) Texte décrivant la couche. Ce texte est visible par les utilisateurs dans les applications JMap par infobulle sur le nom de la couche.
Publiée
Détermine si la couche est publiée ou non. Reportez‑vous à la section Publication des couches pour plus de détails à ce sujet.
Visible
Détermine si la couche est visible ou non lorsque le projet est ouvert. Les utilisateurs peuvent rendre les couches visibles ou invisibles dans les applications JMap.
Sélectionnable
Détermine si les éléments de la couche peuvent être sélectionnés ou non à l’ouverture du projet. Les utilisateurs peuvent modifier les options de sélection dans les applications JMap. Par défaut, les éléments des nouvelles couches que vous créez sont non sélectionnables.
Inclure dans une vue d’ensemble
Détermine si la couche apparaîtra dans la vue d’ensemble de la carte, s’il y en a une. Cette vue d’ensemble facilite la navigation dans la carte.
Listée
Détermine si la couche apparaîtra dans la section des couches des applications JMap. Une couche non listée apparaît de façon normale sur la carte.
Échelle minimale
L’échelle minimale pour que la couche soit visible. Permet de rendre la couche invisible lorsqu’on s’éloigne trop.
Échelle maximale
L’échelle maximale pour que la couche soit visible. Permet de rendre la couche invisible lorsqu’on s’approche trop.
Non modifiable
(S’applique uniquement à JMap Pro) Détermine si les utilisateurs ont le droit de modifier ces valeurs. La modification de ces échelles du côté JMap Pro pour des couches contenant un nombre élevé d’éléments pourrait engendrer de très longues requêtes utilisant beaucoup de ressources ou même engendrer une réaction anormale de l’application JMap Pro ou de JMap Server.
Dynamique
Sélectionnez cette option pour activer le rafraîchissement dynamique.
Délai de rafraîchissement
Spécifiez le délai entre chaque rafraîchissement.
Définition d’étiquette
Définition d’étiquette
Le texte de l’étiquette.
Les parties statiques seront affichées telles quelles tandis que les fonctions ev(attrib)
sont remplacées par les valeurs correspondantes provenant des attributs liés.
Contrairement aux infobulles, les étiquettes ne prennent pas en charge le formatage HTML ni les hyperliens.
Visualisez les exemples suivants :
Pays : ev(country)
Pays : Canada
Ville : ev(city) (ev(country))
Ville : Paris (France)
Population : ev(pop)
Population : 2150000
Les étiquettes supportent aussi la programmation en JavaScript pour effectuer des opérations mathématiques et des opérations sur les chaînes de caractères en utilisant les valeurs des attributs. La fonction print est utilisée pour imprimer du contenu dans l’étiquette.
Area : ev(area_km2) km2
<script>
var SQ_KM_IN_SQ_MI = 2.58998811;
var area_sq_mi = ev(area_km2) / SQ_KM_IN_SQ_MI;
print(area_sq_mi.toFixed(1) + " sq. mi");
</script>
produit le résultat suivant :
Area : 91935.7 km 231635.6 sq. mi
Style d’étiquette
Police
Sélectionnez la police à utiliser pour afficher les étiquettes.
Taille
Sélectionnez la taille de la police.
Gras, Italique, Souligné, Barré
Sélectionnez les attributs de la police.
Contour
Sélectionnez cette option si vous désirez doter le texte de l’étiquette d’un contour, ce qui améliore la lisibilité des étiquettes sur la carte.
Anticrénelage
Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage.
Couleur du texte
Sélectionnez la couleur du texte de l’étiquette.
Couleur du contour
Si l’option Contour est sélectionnée, choisissez la couleur du contour. La couleur par défaut est le blanc.
Étiquetage automatique
Sélectionnez cette option pour activer l’étiquetage automatique.
Échelle minimale
Échelle minimale à partir de laquelle l’étiquetage automatique sera activé.
Échelle maximale
Échelle maximale à partir de laquelle l’étiquetage automatique sera activé.
Position étiquette
La position de l'étiquette par rapport à l'élément cartographique s'établit à partir d'une grille avec neuf positions possibles. Cette position peut être fixe ou dynamique.
Fixe : l'étiquette s'affiche toujours à la position sélectionnée. C'est l'option par défaut.
Dynamique : la position à laquelle l'étiquette s'affiche varie en fonction de la priorité relative établie pour chaque position de la grille. Cette fonction permet d'afficher le maximum d'étiquettes en évitant les conflits de chevauchement d'étiquettes.
Les valeurs possibles sont : 0 Bloquée, 1 Élevée, 2 Moyenne et 3 Faible. La valeur par défaut de la position centrale est 1. En premier terme JMap tente de placer l'étiquette dans la position centrale. Si cette position est occupée par une autre étiquette, JMap place l'étiquette dans une autre position de valeur inférieure de priorité (Moyenne ou Faible) pour minimiser les conflits.
Une fois définie les priorités relative dans la grille, cochez la case Placement dynamique pour activer la fonction.
Décalage
Entrez un décalage en X et en Y afin de modifier la position du texte de l’étiquette.
Priorité par couche
Ce paramètre permet d’assigner à la couche une priorité par rapport aux autres couches pour l’affichage de ses étiquettes. C’est une priorité relative inter-couches. Les valeurs disponibles, dans un gradient de priorité croissante, sont : Normale, Supérieure à la normale, Élevée, Très élevée, Maximale. Par exemple, les étiquettes d’une couche dont la priorité est Élevée s’affichent avant les étiquettes d’une couche dont la priorité est moindre (Normale ou Supérieure à la normale).
Priorité par attribut
Ce paramètre permet d’attribuer une priorité d’affichage aux éléments d’une couche en fonction de la valeur d’un attribut. Il s’agit d’une priorité relative inter-éléments, c’est-à-dire entre les éléments d’une même couche. Par exemple, dans une couche du réseau routier dans laquelle les tronçons routiers sont catégorisés selon leur importance, les étiquettes des tronçons les plus importants ont une priorité d’affichage plus élevée que les étiquettes des tronçons moins importants. L’attribut peut être numérique ou alphanumérique et les valeurs doivent pouvoir être ordonnées de manière croissante ou décroissante. Cochez l’option pour sélectionner dans le menu déroulant l’attribut à utiliser pour la priorisation. L’icône permet d’établir si le gradient de priorité est dans le sens croissant ou décroissant des valeurs.
Permettre le chevauchement
Permettre, pour une couche, que ses étiquettes se chevauchent et qu’elles chevauchent les étiquettes d’autres couches. Cette option a préséance sur le paramètre global du projet qui empêche le chevauchement des étiquettes. Elle peut s’avérer utile pour assurer que toutes les étiquettes d’une couche sont affichées.
Éviter la duplication
Sélectionnez cette option pour éviter que le même texte d’étiquette soit affiché à plusieurs reprises. Cette option s’avère utile pour l’affichage des noms de rues.
Filtrer les étiquettes numériques
Si l’étiquette contient à la fois du texte et des nombres, n’affichez que les valeurs numériques. Cette option s’avère utile lorsque vous désirez afficher uniquement les numéros d’autoroutes en utilisant un attribut contenant d’autre texte (p. ex. « Autoroute 40 » devient « 40 »).
Orientés
Pour éléments de type ligne seulement. Sélectionnez cette option pour afficher le texte de l’étiquette le long des lignes.
Suivre la courbe de la ligne
Pour éléments de type ligne seulement. Sélectionnez cette option si vous désirez que le texte de l’étiquette suive la forme des lignes courbes.
Taille proportionnelle
Par défaut, le texte des étiquettes est toujours affiché dans la taille de police spécifiée, indépendamment de l’échelle de la carte. Utilisez cette option afin que la taille du texte de l’étiquette soit ajustée proportionnellement à l’échelle de la carte. Le texte sera affiché à la taille de police spécifiée lorsque la carte sera affichée à l’échelle de référence spécifiée. Lorsque l’échelle de la carte affichée changera, la taille du texte sera modifiée en conséquence.
Symbole sous étiquette
Sélectionnez cette option afin de choisir un symbole à afficher sous le texte de l’étiquette. Notez que le texte de l’étiquette devrait pouvoir entrer à l’intérieur du symbole sélectionné. Cette option est principalement utilisée pour les indicateurs d’autoroutes contenant des numéros d’autoroutes.
Cadre
Sélectionnez cette option pour entourer le texte de l’étiquette d’un cadre. Vous pouvez aussi sélectionner la couleur de la trame de fond du cadre ainsi que la couleur de sa bordure.
Rotation
Activez cette option si vous voulez que les étiquettes aient une rotation. Attribut de l’angle : Vous pouvez sélectionner un attribut lié numérique qui contient l’angle de rotation du texte. Les étiquettes suivront cette rotation. Direction de la rotation : Si un attribut d’angle est utilisé, sélectionnez la direction de la rotation.
Suivre la rotation de la carte
Cochez cette option afin de vous assurer que les étiquettes suivent la rotation de la carte, dans le cas où l’utilisateur définit une rotation de la carte.
Suivre la position du symbole
Cochez cette option si vous désirez que les étiquettes suivent le symbole lorsqu’un décalage est appliqué à celui-ci.
Placement dynamique
Cochez cette option pour permettre le positionnement dynamique des étiquettes. Cette option vous permet d’activer ou désactiver au besoin les caractéristiques du positionnement dynamique que vous avez configurée dans la section Position étiquette.
Attributs |
Titre | Texte à afficher dans le rapport au lieu du nom de l’attribut. |
Attributs |
Base de données | Sélectionnez la base de données d’où seront extraites les données du rapport. La base de données à interroger doit préalablement avoir été configurée dans JMap Admin. |
Requête SQL | Saisissez la requête SQL de type SELECT qui sera utilisée pour extraire les données de la base de données. Cette requête peut comporter plusieurs tables. La requête doit inclure le champ clé utilisé pour effectuer la jointure avec un attribut de la couche. Vous devez ensuite appuyer sur Exécuter afin d’exécuter la requête une fois. |
Champs de jointure |
Table | Sélectionnez la table qui contient le champ de jointure. |
Champ | Parmi les champs de la table sélectionnée, sélectionnez le champ qui servira à faire la jointure avec la couche. |
Attribut | Parmi les attributs de la couche, sélectionnez celui qui servira à faire la jointure avec les données de la base de données. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle de la ligne. |
Type de flèche | Spécifiez l’option à utiliser : Aucun : Aucune flèche. En avant : Placez une flèche sur la ligne pointant vers le dernier point de la ligne. En arrière : Placez une flèche sur la ligne pointant vers le premier point de la ligne. |
Position de la flèche | Si une flèche est utilisée, ce paramètre détermine la position relative de celle-ci. La valeur de 50 % place la flèche au centre de la ligne. |
Épaisseur de la ligne | Spécifiez l’épaisseur de la ligne, en pixels. |
Couleur de la ligne | Spécifiez la couleur de la ligne. |
Style du trait | Spécifiez le style du trait (pointillé, plein, avec bordure, etc.) utilisé pour dessiner la ligne. JMap fournit de nombreux styles de trait. |
Épaisseur de la bordure | Si la ligne comporte une bordure, spécifiez l’épaisseur de celle-ci. |
Couleur de la bordure | Si un trait de ligne comporte une bordure, spécifiez la couleur de celle-ci. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du polygone. |
Remplissage transparent | Sélectionnez cette option si vous désirez que l’intérieur du polygone soit entièrement transparent. |
Couleur de remplissage | Spécifiez la couleur de l’intérieur du polygone. |
Style du trait | Spécifiez le style du trait (pointillé, plein, avec bordure, etc.) utilisé pour dessiner la bordure du polygone. JMap fournit de nombreux styles de trait. |
Épaisseur de la bordure | Spécifiez l’épaisseur des bordures du polygone. |
Couleur de la bordure | Spécifiez la couleur de la bordure du polygone. |
Motif | Spécifiez le motif de remplissage à utiliser. JMap fournit de nombreux motifs. |
Couleur du motif | Si un motif est utilisé, spécifiez la couleur de celui‑ci. |
Motif de remplissage transparent | Si un motif de remplissage est utilisé, sélectionnez cette option si vous désirez que la trame de fond du motif soit entièrement transparente. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du texte. |
Police | Spécifiez la police utilisée pour afficher le texte. |
Gras | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte en gras. |
Italique | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte en italique. |
Souligné | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte souligné. |
Barré | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte barré. |
Contour | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte avec contour. La couleur du contour peut différer de celle du texte, ce qui facilite la lecture de la carte. |
Couleur de contour | Si vous utilisez du texte avec contour, spécifiez la couleur du contour. |
Couleur du texte | Spécifiez la couleur du texte. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle de l’image |
Base | Sélectionnez l’attribut numérique qui indique la hauteur du terrain sur lequel se situe le polygone. |
Hauteur | Sélectionnez l’attribut numérique qui indique la hauteur du polygone. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle des polygones extrudés. |
Distance | Distance minimale (en pixels) entre 2 points pour qu’ils forment un groupement. |
Éléments minimum | Le nombre minimal d’éléments requis pour créer un groupement. |
Symbole | Le symbole utilisé pour représenter un groupement sur la carte. |
Étiquette | Les paramètres de l’étiquette (police, couleur, etc.) pour l’affichage du nombre d’éléments dans un groupement. |
Rayon | Le rayon utilisé pour estimer l’intensité ou la densité autour de chaque point. |
Poids | Attribut numérique qui détermine le poids de chaque point dans le calcul de l’intensité ou de la densité. Plus le poids d’un point est élevé, plus la contribution du point est importante dans le calcul. Ce paramètre est optionnel. |
Opacité | Détermine le degré d’opacité pour l’affichage de la carte de densité. |
Intensité | Détermine l’intensité des couleurs en fonction d la concentration des points. Si l’intensité est moins élevée, il faudra un plus grand nombre de points pour produire des couleurs intenses. |
Afficher les points | Permet d’afficher les points de la couche sous la carte de densité. Les points seront cachés par la carte de densité si l’opacité est très élevée. |
Infobulle | Entrez le contenu de l’infobulle. Consultez les sections ci-dessous pour obtenir une explication de la syntaxe. |
Couleur de fond | Sélectionnez la couleur de fond de l’infobulle. |
Prévenir la duplication du texte | Sélectionnez cette option pour éviter qu’un même texte soit répété plusieurs fois dans une même bulle, ce qui peut se produire lorsque vous pointez vers beaucoup d’éléments de carte sur une même couche qui possèdent le même contenu d’infobulle (p. ex. segments de rue à une intersection). |
Échelle minimale | Activez cette option et entrez l’échelle minimale à partir de laquelle l’infobulle doit s’afficher. |
Échelle maximale | Activez cette option et entrez l’échelle maximale à partir de laquelle l’infobulle doit s’afficher. |
Exemple de repérage avec infobulle | Description |
| Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte la région définie par x=‑73, y = 45, largeur = 5, hauteur = 5. Ces données sont exprimées dans les unités de la carte. |
| Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom est égal à atwater. |
| Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom commence par la lettre a. |
| Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom est égal à atwater. La carte qui en résulte possède une échelle de 1 : 1000. |
| Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans une nouvelle carte appelée Résultat les éléments de la couche métros dont la valeur de l’attribut name est égal à atwater. Si une carte nommée Résultat existe déjà, elle est réutilisée. Si le nom de la carte était new, une nouvelle carte (avec un nom généré automatiquement) serait créée à chaque fois. |
Attribut |
Attribut | Sélectionnez l’attribut numérique lié à utiliser. |
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon | Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique. |
Créer une catégorie pour les valeurs nulles | Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique. |
Utiliser le point d’inflexion à | Sélectionnez cette option pour utiliser un point d’inflexion et spécifier la position de l’inflexion. |
Éditer le style de base | Utilisez ce lien afin de modifier le style de la couche sans quitter la section Thématiques. Le style de base est utilisé pour produire les styles des catégories. |
Type | Il existe 3 types de palettes : Séquentiel : Les couleurs forment un gradient de couleurs séquentielles (p. ex. du blanc au rouge). Divergent : Les couleur forment un gradient avec une couleur centrale (p. ex. du bleu au blanc au rouge). Il y a donc une emphase sur les catégories centrales. Qualitatif : Les couleurs ne suivent aucune séquence. |
Inverser l'ordre | Cochez cette case pour inverser l'ordre des couleurs de la palette. |
Appliquer à | Choisissez d’appliquer la palette aux différentes variables visuelles (p.ex. remplissage, bordure, etc.) disponibles, selon le type d’élément de la couche. |
Thématique diagramme circulaire |
Attributs | Sélectionnez un ou plusieurs attributs numériques. Chaque attribut sera représenté par une portion du diagramme circulaire. La taille du diagramme sera déterminée en fonction de la somme des valeurs de ces attributs. |
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon | Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non présentes dans l’échantillon des valeurs ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique. |
Ignorer les valeurs négatives | Sélectionnez cette option pour ignorer les valeurs négatives. |
Style du diagramme circulaire |
Taille du diagramme | Sélectionnez les tailles minimale et maximale. La taille du diagramme sera déterminée par interpolation entre ces deux valeurs. |
Épaisseur de la bordure | Afin de tracer une bordure autour du graphique, sélectionnez une épaisseur de bordure non égale à zéro. |
Angle de départ | Sélectionnez une des orientations à utiliser pour l’angle de départ du diagramme. La première portion du diagramme circulaire débutera à l’angle spécifié. |
Dessiner l’ombre | Sélectionnez cette option afin de dessiner une ombre pour les diagrammes circulaires. |
Étiquettes | Sélectionnez le type d’étiquette (ou aucun) pour indiquer la valeur ou le pourcentage relatif de chaque portion du diagramme circulaire. |
Couleurs | Sélectionnez la couleur de chaque portion du diagramme circulaire. |
Intervalles égaux | Les intervalles seront de taille égale entre les valeurs minimale et maximale (p. ex. 0-10,10-20, 20-30). |
Nombre d’éléments égaux | Les limites des intervalles seront calculées de façon à ce qu’un nombre égal d’éléments se retrouve dans chaque catégorie. |
Écart‑type | Les limites des intervalles seront calculées de façon à ce que la valeur moyenne tombe au milieu des catégories et que la taille des intervalles de chaque catégorie soit égale à l’écart‑type calculé. |
Intervalle défini | La taille de l’intervalle est définie par l’utilisateur et constante pour toutes les catégories. La valeur minimale constitue le point de départ, puis l’intervalle défini est ajouté pour chaque catégorie. |
Intervalles par pourcentage | L’intervalle pour chaque catégorie est exprimé sous forme de pourcentage de l’intervalle total des valeurs (p. ex. 4 catégories avec 20 %, 20 %, 35 % et 25 %). Le total doit être égal à 100 %. |
Intervalles personnalisés | Toutes les limites des intervalles sont définies par l’utilisateur. |
Titre de la légende | Entrez un titre pour la légende. |
Sous-titre de la légende | Entrez un sous-titre pour la légende. |
Légende dynamique | Pour les thématiques de classification seulement. Cochez cette option pour rendre la légende dynamique. Une telle légende est constamment rafraîchie pour ne montrer que les classes qui sont visibles sur la carte affichée. |
Symboles dans la légende | Pour les thématiques de quantités proportionnelles seulement. Sélectionnez la quantité de symboles qui vous désirez afficher dans la légende. Le minimum est 2 symboles indiquant les valeurs extrêmes. |
Fonctions |
username() | Remplacé par le code utilisateur de l’utilisateur. |
fullname() | Remplacé par le nom complet de l’utilisateur. |
date() | Remplacé par la date courante. |
datetime() | Remplacé par la date et l’heure courantes. |
uuid() | Remplacé par un identifiant unique universel (UUID). |
Requis | Vous pouvez entrer une expression booléenne qui indique les cas dans lesquels le champ est obligatoire. C’est à dire que si l’expression que vous entrez est respectée (elle est vraie), le champ est obligatoire. L’expression implique des valeurs d’autres champs du formulaire. Exemple
Cette expression pour le champ MATERIAL, indique que lorsque l’utilisateur entre la valeur “done” dans le champ STATUT, il doit entrer une valeur pour le champ MATERIAL pour pouvoir sauvegarder et fermer le formulaire. Note : Cette expression est exclusive au paramètre Requis de la composante. Si vous cochez le paramètre Requis, ce champ est toujours obligatoire et la plage Requis pour définir une expression logique, n’est pas disponible. Si vous ne cochez pas le paramètre Requis et définissez une règle, le champ devient obligatoire seulement lorsque la règle est respectée. |
Lecture seule | Vous pouvez entrer une expression booléenne qui indique les cas dans lesquels le champ est en mode lecture seule. C’est à dire que si l’expression que vous entrez est respectée, le champ est en lecture seule. L’expression implique des valeurs d’autres champs du formulaire. Note : Cette expression est exclusive avec le paramètre Lecture seule de la composante. Si vous cochez le paramètre Lecture seule, ce champ est toujours obligatoire et la plage Lecture seule pour définir une expression logique, n’est pas disponible. Si vous ne cochez pas le paramètre Lecture seule et définissez une règle, le champ devient obligatoire seulement lorsque la règle est respectée. |
Calculée | Vous pouvez entrer une expression mathématique ou de chaînes de caractères pour calculer la valeur du champ. Le résultat de cette règle devient la valeur du champ. Exemple
Cette expression calcule la valeur du champ CIRCONFÈRENCE à partir de la valeur du champ DIAMETER. |
Nom | Entrez un nom unique pour la thématique. Ce nom pourra être vu par les utilisateurs. |
Description | Vous pouvez fournir une description pour la thématique. |
Type | Sélectionnez le type de thématique à créer. Les étapes suivantes dépendent du type de thématique. |
Titre | Le titre du rapport. |
Extraire les données de |
Modèle (simple) | Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un seul élément de la carte |
Modèle (multiple) | Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un ensemble d’éléments de la carte. |
Format | HTML : Le rapport est généré sous la forme d’une page web. Des outils permettent d’exporter le contenu du rapport et de l’imprimer. S’il s’agit d’un rapport pour plusieurs éléments de la carte, il est alors possible de trier le contenu du rapport en cliquant sur les entêtes des colonnes. PDF : Le rapport est généré en format PDF. Ce format est mieux adapté pour l’impression car il possède une meilleure mise en page. Par contre, le contenu du rapport est plus statique qu’avec le format HTML. |
Titre | Le titre du rapport. |
Extraire les données de |
Modèle (simple) |
Modèle (multiple) |
Titre | Le titre du rapport. |
URL du rapport | Entrez l’URL qui permettra d’ouvrir le rapport externe. Il est probable que vous deviez passer certains paramètres dans l’URL du rapport pour identifier les éléments pour lesquels on souhaite ouvrir un rapport. Les valeurs des paramètres proviennent généralement des attributs liés des éléments de la carte. Une syntaxe spéciale est utilisée pour le formatage des paramètres. Par exemple, si votre rapport doit être appelé par cette URL : http://myserver/reports/myreport?id=3, si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera : http://myserver/reports/myreport?id=%0 Mais si votre rapport peut inclure des informations sur une sélection multiple d’éléments de la carte, la syntaxe des paramètres peut prendre une des 2 formes différentes. Si votre rapport doit être appelé par cette URL :
http://myserver/reports/myreport?id=3,4,5,
et si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera :
http://myserver/reports/myreport?%param[%0,’id’,’,’]
Cette syntaxe utilise l’expression |
%n | Remplacée par la valeur d’attribut lié correspondante pour l’élément. Par exemple, %0 fait référence au premier attribut lié, %1 au deuxième, et ainsi de suite. |
%f | Remplacée par une date ou un nombre formaté. |
%p | Remplacée par le nom du projet en cours. |
%u | Remplacée par le nom de l’utilisateur actuellement connecté. |
%s | Remplacée par l’identifiant de la session en cours. |
%h | Remplacée par le nom de l’hôte ou l’adresse de l’instance JMap Server à laquelle le client est connecté. |
%o | Remplacée par le numéro du port (http ou direct) de l’instance JMap Server à laquelle le client est connecté. |
%t | Remplacée par l’heure actuelle (date et heure). |
Symbole |
Taille | Spécifiez la taille du symbole. La valeur de 1 correspond à la taille d’origine du symbole ou de l’image. |
Taille proportionnelle | Sélectionnez cette option pour que la taille des symboles affichées varie proportionnellement avec l’échelle de la carte. Vous devez entrer l’échelle de référence à laquelle les symboles auront leur taille normale. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du symbole. |
Décalage du symbole en X/Y | Ajustez le point d’origine du symbole en décalant le symbole en X et en Y selon les valeurs spécifiées. Le point d’origine correspond à la coordonnée précise de l’élément ponctuel. |
Pivoter le symbole avec la carte | Sélectionnez cette option si, lors de la rotation de la carte, vous désirez que le symbole pivote aussi. Si vous ne sélectionnez pas cette option, le symbole conservera toujours son angle par défaut, peu importe la rotation de la carte. |
Rotation | Spécifiez la rotation devant être appliquée au symbole. |
Épaisseur de la bordure | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez l’épaisseur de la bordure du symbole vectoriel. |
Couleur de la bordure | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez la couleur des lignes du symbole vectoriel. |
Remplissage transparent | (Pour symboles vectoriels seulement) Sélectionnez cette option si vous désirez que l’intérieur du symbole vectoriel soit complètement transparent. |
Couleur de remplissage | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez la couleur de remplissage pour l’intérieur du symbole vectoriel. |
Fonction | Description |
elementValue(attrib) ou ev(attrib) attrib : le nom d’un attribut | Remplacé par la valeur de l’attribut lié dont le nom est passé en paramètre, pour l’élément pointé. Par exemple, |
elementId() | Remplacé par l’identifiant de l’élément. |
polygonArea() | Remplacé par l’aire d’un élément pointé de type polygonal. |
lineLength() | Remplacé par la longueur d’un élément pointé de type linéaire. |
centroid() | Remplacé par la coordonnée du centroïde géométrique de la géométrie de l’élément. |
format(attrib, format) attrib : le nom d’un attribut de type date ou numérique format : le format de date ou de nombre souhaité | Remplacé par une date ou un nombre formaté selon un format précis. Exemple
Exemple
|
ifNull(attrib, value) attrib : le nom de l’attribut à tester value : la valeur à afficher si attrib est nulle | Remplacé par la valeur value seulement si la valeur de l’attribut attrib est nulle. Si la valeur de l’attribut est non nulle, rien n’est affiché. Exemple
Affiche N/A si la valeur de l’attribut temp est nulle. Exemple
Affiche la valeur de l’attribut attrib_b si la valeur de attrib_a est nulle. |
ifNotNull(attrib, value) attrib : le nom de l’attribut à tester value : la valeur à afficher si attrib est non nulle | Remplacé par la valeur value seulement si la valeur de l’attribut attrib est non nulle. Si la valeur de l’attribut est nulle, rien n’est affiché. Exemple
Affiche seulement si la valeur de land_value est non nulle. |
subString(attrib, startIx, endIx) attrib : le nom de l’attribut pour lequel on veut extraire une partie startIx : position de départ dans la chaîne de caractère sendIx : position de fin dans la chaîne de caractères | Remplacé par une partie de la valeur (comme chaîne de caractères) de l’attribut attrib, entre la position startIx et la position endIx. Exemple
Remplacé par les 5 premiers caractères de la valeur de l’attribut name. Si cette dernière est Montréal, alors l’infobulle affichera Montr. |
encode(attrib, encoding) attrib : le nom de l’attribut à encoder encoding : le nom de l’encodage | Remplacé par la valeur de l’attribut attrib, une fois encodée avec l’encodage de caractères spécifié (UTF-8, CP437, ISO 8859-1, etc). Exemple
Remplacé par la valeur de l’attribut name encodée en caractères UTF-8. |
<script> code JavaScript </script> | Exécute le code JavaScript qui est à l’intérieur des balises. Dans le code JavaScript, les valeurs des attributs des éléments sont accessibles par la fonction Exemple
Calcule et affiche le résultat la valeur de l’attribut population divisé par la valeur de l’attribut area. Exemple
Convertit la distance en kilomètres contenue dans la valeur de l’attribut km en une distance en milles. Affiche la valeur de l’attribut osm_name et la distance en milles avec un chiffre décimal. |
<a href=“download:file URL”>some text</a> | JMap supporte une syntaxe spéciale d’hyperlien qui permet à l’utilisateur de télécharger un fichier en cliquant sur le lien. Le fichier à télécharger peut provenir d’une URL de type http: ou file:. Exemple
Affiche une lien qui permet de télécharger le fichier report.pdf du web. Exemple
Affiche une lien qui permet de télécharger le fichier report.pdf d’un dossier du système de fichiers Windows. |
photosAsThumbnails() | Remplacé par des versions réduites des images attachées à l’élément. L’utilisateur peut cliquer sur une image réduite pour ouvrir l’image pleine grandeur.
Avec ces options, le titre et/ou la date seront affichées avec chaque miniature de photo. Il est très important de ne pas ajouter des espaces entre title, la virgule et date. |
projectName() | Remplacé par le nom du projet en cours. |
userName() | Remplacé par le code utilisateur de l’utilisateur actuellement connecté. |
sessionId() | Remplacé par l’identifiant de la session en cours. |
host() | Remplacé par le nom de l’hôte ou l’adresse de l’instance JMap Server à laquelle l’application est connectée. |
port() | Remplacé par le numéro du port (http ou direct) de l’instance JMap Server à laquelle l’application est connectée. |
date() | Remplacé par la date et l’heure actuelles. |
Contenu de l’infobulle | Affichage |
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Exemple de formatage avec attribut de style. |
Catégories |
Catégories | Entrez le nombre désiré de catégories. |
Intervalles |
Enlever les catégories en double | Il arrive parfois que plusieurs catégories possèdent exactement les mêmes limites de valeurs. Sélectionnez cette option pour éviter d’avoir des catégories identiques. Cette situation peut se produire lorsque vous avez de très petits ensembles de données ou si les limites sont arrondies à de grands nombres. |
Arrondir à | Sélectionnez la valeur à utiliser pour arrondir les limites des intervalles de catégories. Il est souvent plus utile d’arrondir les limites que d’utiliser des nombres très précis (p. ex. arrondissement des populations de pays au million près). |
Attribut |
Attribut | Sélectionnez l’attribut lié à utiliser. Cet attribut peut être numérique ou alphanumérique. |
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon | Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique. |
Créer une catégorie pour les valeurs nulles | Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique. |
Catégories |
Triez les catégories en ordre ascendant ou descendant. |
Style |
Style de base | Vous pouvez sélectionner le style de base de la thématique. |
Palette de couleurs | Sélectionner Vous permet de sélectionner une palette de couleurs prédéfinie. |
Style valeur nulle | Vous permet de sélectionner le style pour le catégorie valeur nulle (les éléments de la couche présentant une valeur nulle pour l’attribut). |
Valeur | Vous permet de filtrer une valeur de catégorie. C’est utile lorsque vous aves une thématique avec des nombreuses catégories. |
Style |
Attribut |
Attribut | Sélectionnez l’attribut lié à utiliser. Cet attribut peut être numérique ou alphanumérique. |
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon | Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique. |
Créer une catégorie pour les valeurs nulles | Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique. |
Catégories |
Valeurs |
Triez les catégories en ordre ascendant ou descendant. |
Style |
Style de base | Vous pouvez sélectionner le style de base de la thématique. |
Palette de couleurs | Sélectionner Vous permet de sélectionner une palette de couleurs prédéfinie. |
Style valeur nulle | Vous permet de sélectionner le style pour le catégorie valeur nulle (les éléments de la couche présentant une valeur nulle pour l’attribut). |
Valeur | Vous permet de filtrer une valeur de catégorie. C’est utile lorsque vous aves une thématique avec des nombreuses catégories. |
Style |
1 | Faites glisser une composante vers une cellule du formulaire. Toutes les cellules disponibles sont mises en surbrillance. |
2 |
3 | Accédez aux différentes sections à partir de ces onglets. |
4 |
5 |
6 |
7 |
Attribut | Sélectionnez l’attribut de la couche, ou la variable de la requête, auquel cette composante est associée. C’est cet attribut ou cette variable que la composante du formulaire va renseigner. |
Requis |
Lecture seule | Activez cette option pour que la composante soit en mode lecture seule. L’utilisateur ne pourra pas modifier le contenu. Cette option devrait être utilisée pour une composante ayant une valeur par défaut. |
Étendu | Par défaut, chaque composante n’occupe qu’une cellule. Pour une composante étendue en largeur sur plusieurs cellules, entrez le nombre de cellules sur lesquelles la composante doit s’étendre. Les cellules occupées par une composante étendue sont marquées Étendu. |
Infobulle | Ce texte est affiché dans une infobulle quand l’utilisateur survole cette composante avec le pointeur de la souris. |
Étiquette (préfixe) | Entrez un texte statique à afficher en haut de la composante. |
Étiquette (suffixe) | Entrez un texte statique à afficher à droite de la composante. |
Largeur (pixels) | Spécifiez la largeur en pixels du champ de saisie de la composante, excluant l’étiquette en suffixe. La valeur par défaut est 100. La largeur de chaque colonne du formulaire prendra automatiquement la largeur de la composante la plus large. |
Valeur par défaut |
Étiquette |
Texte | Champ de saisie d’une valeur alphanumérique. Le champ associé doit être de type alphanumérique ou numérique. Masque de saisie : Un masque de saisie peut être utilisé afin de contrôler le format de la valeur saisie. Multiligne : (Champs alphanumériques seulement) Si cette option est activée, le champ de saisie sera affiché sur plusieurs lignes de texte, ce qui facilite la saisie de textes plus longs. Nombre maximal de caractères : (Champs alphanumériques seulement) Détermine la longueur maximale du texte qu’un utilisateur peut saisir. Cela doit respecter les contraintes du champ de la base de données qui contient les données. Validation de la plage : (Champs numériques seulement) Permet de définir une plage de valeurs acceptées (par ex. de 0 à 100). |
Liste (choix unique) | Liste de valeurs dont seulement une valeur peut être sélectionnée. Le champ associé doit être de type alphanumérique ou numérique. Les valeurs de la liste peuvent être fournies dans plusieurs langues, si votre projet supporte plus d’une langue. La liste peut être dynamique, c’est-à-dire que son contenu peut être modifié dynamiquement en fonction de la sélection d’une valeur dans une autre liste. Par exemple, sur la sélection d’un pays dans une liste, une autre liste se rafraîchit dynamiquement pour afficher uniquement les villes du pays sélectionné. Attribut parent Si la liste doit être dynamique, sélectionnez l’attribut parent. Pour lier la liste B (enfant) à la liste A (parent), vous devez d’abord sélectionner l’attribut parent pour la liste B (attribut associé à la liste A). Sur un changement de la valeur sélectionnée dans la liste A, le contenu de la liste B sera mis à jour. Les valeurs de la liste B sont déterminées par la relation entre ses valeurs et les valeurs de l’attribut parent. Si la liste B possède une seule valeur, celle-ci est sélectionnée automatiquement. Exemple Liste de pays, disponible en anglais et en français. Cette liste n’est pas dynamique. Elle est associée à un attribut COUNTRY.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom du pays en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom du pays en français. Il n’y a pas de valeur parent puisque la liste n’est pas dynamique (n’a pas de liste parent). Exemple Liste de villes, disponible en anglais et en français. Cette liste est dynamique. Son attribut parent est COUNTRY associé à la liste précédente. Elle présente la liste des villes pour le pays sélectionné dans la liste parent.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom de la ville en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom de la ville en français. Le champ PARENT_VALUE contient la valeur parent. Attention : Il est nécessaire que la requête SQL d’une liste enfant inclue le champ qui permet de faire la relation avec les valeurs parent. L’exemple précédent utilise select pour inclure tous les champs dans les requêtes. Note : Parfois, les valeurs à présenter dans une liste proviennent d’une table associée à une source de données spatiales stockée dans la base de données System de JMap Server. Dans ces cas, il n’est pas possible de connaître le nom de la table physique. Pour pallier cette situation, vous pouvez utiliser une technique simple : au lieu du nom de la table, écrivez l’ID de la couche précédé de l’acronyme “DS”, entouré de symboles Exemple
Autre Il est possible que d’autres sources soient disponibles pour fournir les valeurs et les étiquettes. Si c’est le cas, vous pouvez sélectionner cette option et choisir la source dans la liste des sources disponibles. |
Liste (choix multiples) | Liste de valeurs dont une ou plusieurs valeurs peuvent être sélectionnées. Le champ associé doit être de type alphanumérique. |
Case à cocher | Permet de renseigner le champ associé pour lequel il existe seulement 2 valeurs possibles. Les 2 valeurs possibles doivent être spécifiées et être des chaînes de caractères (p. ex. vrai ou faux) ou numériques (p.ex. 0 ou 1). Si le champ associé est de type booléen, vous devez obligatoirement utiliser les valeurs true et false. Valeur coché : Valeur à enregistrer si la case est cochée. Valeur non coché : Valeur à enregistrer si la case n’est pas cochée. |
Calendrier | Permet de sélectionner une date. L’attribut de la couche, ou le champ utilisé pour la requête, doit être de type date, datetime ou timestamp. Format de date : C’est le format dans lequel la composante calendrier affichera la date sélectionnée. Si l’utilisateur saisit la date manuellement, il devra aussi utiliser ce format (p. ex. dd/MM/yyyy, yy/MM/dd H:ss, etc.). |
Photo (Non disponible pour les formulaires de requêtes par attributs) | Cette composante permet à l’utilisateur d’insérer des images dans un formulaire et dans un sous-formulaire. Elle permet à l’utilisateur de JMap Survey de prendre des photos avec la caméra intégrée à l’appareil. Elle permet à l’utilisateur de JMap Pro, de JMap Web ou de JMap NG de sélectionner des images existantes et de les insérer dans le formulaire ou dans le sous-formulaire. Cette composante ne peut pas être présente plus d’une fois dans un même formulaire ou sous-formulaire. Pour le formulaire des attributs d’une couche, les photos peuvent être stockées dans la base de données System de JMap Server (aucune configuration n’est alors requise) ou dans une base de données externe. Lorsque que cette composante est ajoutée à un formulaire de base de données, les photos doivent être stockées dans une base de données externe. Vous devez alors définir tous les paramètres requis pour le stockage des photos. Stockage des photos : Choisissez l’option JMap pour stocker les photos dans la base de données System de JMap (seulement disponible pour les formulaires des attributs d’une couche). Les photos sélectionnées par les utilisateurs sont copiées dans le répertoire JMAP_HOME\db\documents, et la relation entre l’élément de la couche et la photo est ajoutée à la table JMAP_DOCUMENTS de la base de données System. Choisissez l’option Externe pour le stockage dans la base de données ou le répertoire de votre choix. La relation entre l’élément de la couche et la photo est stockée dans la table et la base de données de votre choix. Si vous choisissez Externe, vous devez spécifier l’ensemble de la configuration qui suit. Effacer les photos avec l’élément : Sélectionnez cette option pour que les photos associées à un élément soient supprimées automatiquement si l’élément est effacé. Cette option n’est pas activée par défaut. Base de données: Sélectionnez la base de données où les photos doivent être stockées. Cette base de données doit être préalablement configurée dans JMap Admin. Table : Sélectionnez la table qui va contenir les informations sur les photos. Cette table doit avoir la structure suivante. Le nom de la table et les noms des champs peuvent varier. Note : Les champs Titre de la photo et Commentaire de la photo sont des nouveautés de JMap Server Istanbul. Si vous mettez à jour votre serveur JMap Server Hanoï à JMap Server Lima, pour permettre aux utilisateurs des applications JMap d’ajouter un titre et un commentaire aux photos vous devez éditer les formulaires pour sélectionner les champs de la table qui contiendront le titre et le commentaire des photos respectivement. |
Arbre | Cette composante présente une arborescence de valeurs à N niveaux. L’utilisateur peut sélectionner une valeur dans l’arbre, feuille ou branche. Cette valeur sera stockée dans l’attribut associé. L’attribut associé doit être de type alphanumérique. Les valeurs de l’arbre peuvent être fournies dans plusieurs langues, si votre projet supporte plus d’une langue. L’arbre présente une structure de données parent-enfant, tout comme les listes dynamiques liées entre elles. Contrairement aux listes dynamiques, l’arbre est associé à un seul attribut. Les valeurs de l’arbre peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou provenir d’une autre source : Valeurs Entrez les valeurs dans l’espace prévu en construisant la structure de l’arbre. Pour chaque valeur entrée, vous pouvez définir son parent (ou la racine de l’arbre). Obtenir valeurs d’une base de données Vous devez sélectionner la base de données de laquelle vous souhaitez obtenir les valeurs. Ensuite, entrez une requête SQL qui sera exécutée pour obtenir les valeurs à partir d’une table avec relation parent-enfant. L’exemple qui suit utilise la table MY_TABLE. Exemple Arbre contenant des pays (niveau 1) et des villes (niveau 2), disponible en anglais et en français.
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Table (Non disponible pour les formulaires de requêtes par attributs) | Permet de gérer des données provenant de bases de données pour lesquelles il existe une relation 1 à N avec les éléments de la couche. Exemple Une couche de points représente des bornes incendies dans JMap (Assets) et une base de données contient des données sur les inspections réalisées sur ces bornes incendies. Pour chaque borne incendie, il peut y avoir 0, 1 ou plusieurs inspections réalisées. Dans le formulaire des attributs de la couche de bornes incendies (formulaire Assets ), la table permet d’afficher les données d’inspection relatives à une borne incendie, où chaque ligne de la table correspond à une inspection. Selon les permissions accordées, la table permet aussi d’ajouter, de modifier et d’effacer des données d’inspection. Des sous-formulaires peuvent être imbriqués dans un formulaire ou un sous-formulaire. Dans l’exemple, chaque inspection peut avoir 0, 1, ou plusieurs interventions associées. La table dans ce cas, permet d’afficher les données des interventions effectuées lors de chaque inspection. La table est toujours associée à un sous-formulaire. Ce sous-formulaire définit la manière en que se fait l’accès aux données externes et permet d’en faire la saisie. Le sous-formulaire doit être préalablement créé avant de pouvoir configurer la table. Sous-formulaire : Sélectionnez un sous-formulaire existant qui permettra de renseigner les valeurs liées à la table. Champs : Permet de gérer les champs affichés dans la table. Ces champs sont ceux du sous-formulaire associé à la table. Il est possible de modifier le titre des champs, leur ordre d’affichage, ainsi que leur visibilité dans la table. Il est possible aussi de modifier le format des champs de type numérique et date. Les paramètres de la table permettent de définir les champs des données externes qui seront visibles dans la table et leur ordre. |
Groupe | Cette composante sert à grouper ensemble des composantes du formulaire. Un cadre avec titre sera dessiné autour des composantes appartenant au même groupe. Insérez cette composante dans une cellule d’une rangée vide pour débuter un nouveau groupe. Cette composante s’étend automatiquement sur toutes les cellules de la rangée. Elle ne peut pas être insérée sur une rangée qui comporte déjà d’autres composantes. |
Nom | Inscrivez un nom pour la règle. |
Expression | Exemple
Cette expression indique que lorsque la valeur du champ STATUT est “done”, les champs MATERIAL, INSP_DATE et DIAMETER doivent être initialisés (leur valeur ne peut pas être nulle ou 0). Note Actuellement JMap ne peux pas valider des expressions qui contiennent des champs de type date. |
Message | Entrez le message d’erreur qui s’affiche lorsque l’expression logique n’est pas respectée. Vous pouvez entrer le message en plusieurs langues. Exemple
|
Ces formulaires sont utilisés pour saisir les valeurs des attributs d’une couche éditable.
Il ne peut y avoir qu’un seul formulaire de saisie des attributs par couche.
L’utilisateur doit posséder les permissions nécessaires pour modifier les valeurs des attributs d’une couche. Voir la section Permissions des couches pour plus d’informations à ce sujet.
Pour créer un formulaire de saisie des attributs d’une couche, dans la section Formulaire de l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Entrez un nom pour le nouveau formulaire. Vous devez ensuite choisir le type de formulaire à créer, Attributs de la couche, et appuyez sur Sauvegarder. Vous êtes dans l'interface de configuration du formulaire que vous venez de créer.
Par la suite, appuyez sur le bouton Disposition du formulaire pour ouvrir le designer de formulaires et ajouter des composantes.
Chaque composante du formulaire doit être associée à un attribut de la couche.
La composante présente la valeur de l’attribut et la valeur est mise à jour quand l’utilisateur ferme le formulaire et sauvegarde les modifications. Voir la section Designer de formulaires pour plus d’informations.
Le bouton Permissions du formulaire s'affiche dans son interface de configuration.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration du formulaire, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Gestion des comptes utilisateur et des groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Les permissions disponibles sont :
Les formulaires de bases de données sont utilisés pour gérer des données stockées dans des bases de données externes à JMap Server. Ils permettent de modifier les données existantes, d’ajouter des nouvelles données et d’effacer des données.
Il est possible de créer plusieurs formulaires de bases de données pour une même couche.
Chaque formulaire de bases de données comporte ses propres permissions pour contrôler quels utilisateurs peuvent modifier les données.
Ces formulaires peuvent être utilisés pour gérer des données avec une relation 1 à 1 avec les données d’une couche. Dans ce cas, un enregistrement est ajouté quand un élément est créé, et l’enregistrement est normalement effacé quand l’élément est effacé.
Ils peuvent aussi être utilisés pour gérer des données avec une relation 1 à N avec les données de la couche. Dans ce cas, le formulaire est un type spécial appelé sous-formulaire et est toujours associé avec une composante table d’un formulaire. Voir la section Sous-formulaires pour plus d’information à ce sujet.
La configuration de ce type de formulaires est une fonction avancée de JMap et nécessite l’écriture de requêtes SQL pour l’extraction, l’ajout, la modification et l’effacement des données.
Pour créer un formulaire de saisie des attributs d’une couche, dans l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Vous devez entrer un nom pour le nouveau formulaire. Vous devez ensuite choisir le type Base de données, et sélectionner la base de données qui contient les données à utiliser dans les formulaires.
À l’étape suivante, une fenêtre permet d’entrer les requêtes SQL du formulaire. Ces requêtes servent à extraire, ajouter, modifier et effacer des données.
La requête SELECT est obligatoire tandis que les autres sont optionnelles.
Les utilisateurs des applications JMap peuvent effectuer seulement les opérations pour lesquelles vous fournissez une requête SQL.
La configuration des requêtes SQL utilise une syntaxe spécialisée. En règle générale, chaque ligne de cette syntaxe doit se terminer par un point-virgule (;). La syntaxe n’est pas sensible à la casse.
Le tableau suivant explique en détail le fonctionnement de cette syntaxe.
Les sous-formulaires sont des formulaires de base de données qui sont ouverts à partir d’une composante Table présente dans un autre formulaire. Ils servent normalement à gérer des données qui ont une relation 1 à N avec les éléments de la couche. Ils pourraient servir, par exemple, pour la gestion des données d’inspection sur des actifs (N inspections peuvent être associées au même objet). Ils se configurent de manière similaire aux autres formulaires de base de données.
Pour créer un sous-formulaire, dans la section Sous formulaire de l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Vous devez entrer un nom pour le nouveau sous-formulaire et sélectionner la base de données qui contient les données à utiliser dans les formulaires.
À l’étape suivante, vous devez configurer les requêtes SQL du sous-formulaire, tel qu’expliqué plus haut pour la création d’un formulaire de base de données.
Plusieurs niveaux de sous-formulaires peuvent être imbriqués dans un sous-formulaire. Ils servent à gérer des données qui ont une relation 1 à N avec les enregistrements du sous-formulaire. Ils peuvent servir, par exemple, pour la gestion des données des interventions qui découlent d’une inspection effectuée à un actif (N interventions peuvent être associées à 1 inspection).
Un sous-formulaire imbriqué est ouvert à partir d’une composante Table présente dans le sous-formulaire auquel il se rattache.
La création d’un sous-formulaire imbriqué suit les mêmes étapes de la création de sous-formulaires. Des exemples des requêtes sont présentés dans la section Création de formulaires de base de données.
La figure présente un aperçu des sous-formulaires imbriqués de l’exemple dans l’application JMap Pro.
Le bouton Permissions du formulaire s'affiche dans son interface de configuration.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration du formulaire, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Gestion des comptes utilisateur et des groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Les permissions disponibles sont décrites dans le tableau suivant.
Couche courante : Obtenir les données du rapport directement dans les attributs de la couche. Voir . Base de données externe : Obtenir les informations du rapport d’une base de données externe, connectée à JMap. La base de données doit contenir un champ permettant de faire le lien avec un attribut de la couche. Voir .
Couche courante : Obtenir les données du rapport directement dans les attributs de la couche. Voir . Base de données externe : Obtenir les informations du rapport d’une base de données externe, connectée à JMap. La base de données doit contenir un champ permettant de faire le lien avec un attribut de la couche. Voir .
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un seul élément de la carte. Deux modèles sont disponibles : inforequest.rpttemplate : Modèle de base qui contient une table disposée verticalement. inforequestMap.rpttemplate : Semblable au modèle de base mais contient aussi une carte géographique. Voir .
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un ensemble d’éléments de la carte. Deux modèles sont disponibles : selectionreport.rpttemplate : Modèle de base qui contient une table disposée horizontalement. selectionreportMap.rpttemplate : Semblable au modèle de base mais contient aussi une carte géographique. Voir .
Si votre rapport doit être appelé par cette URL :
http://myserver/reports/myreport?id=3,id=4,id=5
et si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera :
http://myserver/reports/myreport?%param[%0,’id’]
Cette syntaxe utilise l’expression %param[Indice attribut, nom du paramètre]
. Il est aussi possible d’inclure d’autres variables pour la composition de l’URL, telles que %f
, %p
, %u
, %h
, etc.
Voir la section pour plus d’information à ce sujet.
Deux formats sont possibles :
%f[%n^D^dd/MM/yyyy]
où %n correspond à un attribut contenant une date, D indique que nous désirons afficher une date formatée et dd/MM/yyyy est la suite du format, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java .
%f[%n^N^##0,00]
où %n correspond à un attribut contenant un nombre, N indique que nous désirons afficher un nombre formaté, et ##0,00 est la suite du format, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java .
Sélectionnez le symbole à utiliser pour représenter les éléments. Le symbole peut être soit un symbole vectoriel ou une image. Les symboles vectoriels sont fournis avec JMap et comportent des caractéristiques spéciales. Ils peuvent être redimensionnés sans distorsion. Leur couleur de remplissage et leur bordure peuvent être modifiées. Par contre, ils ne peuvent pas être personnalisés aisément. JMap offre de bibliothèques d’images, notamment du format SVG, accessibles sous l’onglet Images. Vous pouvez aussi fournir vos propres librairies d’images. Leur qualité diminuera si elles sont redimensionnées, à moins que vous utilisiez des images en format SVG. Afin de fournir vos propres images, placez‑les dans le répertoire : JMAP_HOME/JMapAdmin/icons Les formats d’image pris en charge sont les suivants : SVG, GIF, PNG et JPEG. Si des sous-répertoires sont créés, ils seront visibles lorsque vous naviguerez dans le répertoire des images. Vous pouvez donc organiser votre bibliothèque d’images. Vous pouvez aussi téléverser de nouvelles images en appuyant sur depuis la fenêtre de sélection de symboles. La taille maximale des images est de 100 Mo.
où date_insp est le nom d’un attribut contenant une date et dd/MM/yyyy est le format de date souhaité, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java .
où attrib est le nom d’un attribut contenant un nombre et ##0,00 est le format de nombre souhaité, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java .
Sélectionnez la méthode utilisée pour déterminer les bornes des intervalles de valeurs. Consultez pour plus d’information.
Vous permet de définir un style pour chaque catégorie. Vous pouvez utiliser un .
Saisissez la valeur de la catégorie que vous souhaitez ajouter. Appuyez sur pour ajouter la catégorie.
Vous permet de définir un style pour chaque catégorie. Vous pouvez utiliser un .
Appuyez sur pour créer une nouvelle section, pour effacer une section existante ou pour renommer une section. Appuyez sur pour réinitialiser tout le formulaire.
Appuyez sur les boutons et pour insérer des rangées ou des colonnes vides aux endroits correspondants.
Le symbole indique que la composante est en mode lecture seule.
Le symbole indique que la valeur est requise.
Le bouton permettent de modifier les paramètres de la composante. Le bouton permet de supprimer la composante du formulaire.
Détermine si le champ est requis. L’utilisateur ne pourra pas soumettre le formulaire tant que tous les champs requis ne seront pas renseignés. Pour rendre certains champs optionnels, vous devez désélectionner cette option. Les champs requis sont identifiés par un dans le designer de formulaires.
Optionnellement, entrez une valeur par défaut pour initialiser le champ de saisie. Il est possible d’utiliser certaines pour initialiser la valeur par défaut d’une composante.
Texte statique à afficher dans le formulaire. L’alignement du texte (gauche, droite, centre) peut être spécifié, de même que le style de la police de caractères pour l’affichage du texte. Il est possible d’utiliser certaines dans le texte de l’étiquette.
Les valeurs de la liste peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou provenir d’une autre source : Valeurs Entrez les valeurs dans l’espace prévu en spécifiant pour chaque cas, la valeur parent (seulement si la liste est dynamique), la valeur à utiliser dans la base de données et l’étiquette à afficher dans la liste. C’est la valeur qui est utilisée comme donnée. L’étiquette ne sert que pour l’affichage à l’utilisateur. Dans le cas où la valeur et l’étiquette sont les mêmes, entrez la même valeur 2 fois. Si la liste n’est pas dynamique, laissez la valeur parent vide. Obtenir valeurs d’une base de données Vous devez sélectionner la base de données de laquelle vous souhaitez obtenir les valeurs. Ensuite, entrez une requête SQL qui sera exécutée pour obtenir les valeurs parent (seulement si la liste est dynamique), les valeurs et les étiquettes à afficher. Normalement, les étiquettes devraient être uniques et triées. Les exemples qui suivent utilisent la table MY_TABLE.
La valeur enregistrée dans le champ est la liste des choix sélectionnés, séparés par des virgules (,). Les valeurs de la liste peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou d’une autre source. Voir Liste (choix unique) pour plus d’informations. Voir la section dans Requêtes de sélection par attributs pour les détails de configuration de la requêtte.
Le champ de type BLOB n’est pas requis si le stockage des photos se fait sur disque et non dans la base de données. Voir l’option Persistance des photos pour plus de détails. Champ ID de photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra l’identifiant numérique unique de la photo. Champ ID de l’élément : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra l’attribut identifiant de l’élément de la couche. Cet attribut s’appelle l’attribut clé et est sélectionné lors de la création de la source de données spatiales associée à la couche. Champ du nom du fichier : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le nom du fichier des photos. Champ titre de la photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le titre de la photo. Champ commentaire de la photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le commentaire de la photo. Ce champ contient 255 caractères. Persistance des photos : Choisissez l’option Base de données pour enregistrer les photos directement dans la base de données, dans un champ de type BLOB présent dans la table. Vous devez alors sélectionner le champ de type BLOB. Choisissez l’option Disque pour enregistrer les images dans un dossier du système de fichiers du serveur. Vous devez alors entrer le dossier des photos qui contiendra les fichiers des photos.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom du pays ou de la ville en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom du pays ou de la ville en français. Le champ PARENT_VALUE contient le parent. Avec cette configuration, JMap va construire l’arbre suivant :
La figure suivante illustre le design du formulaire Assets avec la composante Table qui permet d’afficher les données d’inspections, saisies au moyen du sous-formulaire Inspections.
La figure suivante illustre le design du sous-formulaire Inspections avec les composantes Table qui permettent d’afficher les données des interventions et des inspecteurs, saisies au moyen des sous-formulaires imbriqués Interventions et Inspectors.
Pour plus d’information sur l’utilisation des données externes avec les formulaires de JMap, consultez la section .
Entrez l’expression logique qui définit la règle. La syntaxe est celle de . Vous pouvez entrer des expressions logiques et/ou mathématiques. L’expression doit être respectée pour que le formulaire puisse être validé et fermé. C’est à dire que l’utilisateur d’une application JMap (Pro, Survey, NG) doit entrer les données correctes pour les champs concernés par l’expression pour que celle-ci soit respectée (s’avère vraie) et le formulaire puisse être sauvegardé et fermé.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Modifier des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour modifier des valeurs des attributs de la couche.
ev(attrib) ou elementValue(attrib)
Fonction qui retourne la valeur de l’attribut spécifié en paramètre, pour un élément.
Exemple
ev(city)
Retourne la valeur de l’attribut city de l’élément.
fv(field) ou formValue(field)
Fonction qui retourne la valeur présente dans le formulaire, pour le champ spécifié en paramètre. Le nom du champ doit obligatoirement comporter le nom de la table en préfixe.
Exemple
fv(table.name)
Retourne la valeur saisie dans la composante du formulaire associée au champ TABLE.NAME de la base de données.
ei() ou elementId()
Cette fonction retourne l’identifiant de l’élément. Il peut s’agir du champ jmap_id ou d’un autre champ, tel que configuré dans la source de données spatiales.
$variable
Permet de créer et d’initialiser des variables qui peuvent ensuite être utilisées dans les différentes expressions. Dans le cas de la requête INSERT d’un formulaire, il est obligatoire de créer une variable qui contient l’identifiant unique de l’enregistrement inséré.
Exemple
$city = EV(city);
Crée une variable $city
initialisée avec la valeur de l’attribut CITY de l’élément.
nti(table, field) ou nextTableId(table, field)
Fonction qui retourne la prochaine valeur à utiliser comme identifiant numérique pour la table et le champ spécifiés en paramètres. Le champ spécifié doit exister dans la table spécifiée, et doit être un champ numérique de type entier. La fonction détermine la valeur maximale présente dans la table et retourne cette valeur incrémentée de 1 (max + 1). Cette fonction est utile lors de l’ajout d’un nouvel enregistrement dans la base de données quand la table comporte un identifiant numérique unique.
Exemple
$id = nextTableId(inspections, inspection_id);
Crée et initialise une variable $id avec la valeur du prochain identifiant INSPECTION_ID de la table INSPECTIONS. Si la valeur maximale présente est 100, la valeur retournée est 101.
Base de données
Sélectionnez la base de données contenant les données qui doivent être gérées par le formulaire.
Requête SELECT
Requête SQL qui obtient les données pour peupler les champs du formulaire. Tous les champs qui sont retournés par cette requête peuvent être utilisés pour la configuration des composantes du formulaire et aussi à l’intérieur des autres requêtes définies dans le formulaire en utilisant la fonction fv()
.
La requête doit comporter une condition pour faire la liaison entre un attribut de la couche et un champ de la base de données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
SELECT * FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = EI();
Dans cet exemple, tous les champs de la table ASSET_INFO sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du formulaire.
Le champ ASSET_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la couche ASSETS en utilisant la fonction ei()
.
Si la fonction ei()
retourne une valeur en format texte, pour visualiser la valeur vous devez entourer l’expression d’apostrophes :
SELECT * FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = 'EI()';
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
SELECT * FROM INSPECTION WHERE ASSET_ID = EI();
Dans cet exemple, tous les champs de la table INSPECTION sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ ASSET_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la couche ASSETS en utilisant la fonction ei()
.
Si la fonction ei()
retourne une valeur en format texte, pour visualiser la valeur vous devez entourer l’expression d’apostrophes :
SELECT * FROM INSPECTION WHERE ASSET_ID = 'EI()';
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
SELECT * FROM INSPECTOR WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION_ID);
Dans cet exemple, tous les champs de la table INSPECTOR sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ INSPECTION_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la table INSPECTION en utilisant la fonction fv(field)
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions :
SELECT * FROM INTERVENTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION_ID);
Dans cet exemple, tous les champs de la table INTERVENTION sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ INSPECTION_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la table INSPECTION en utilisant la fonction fv(field)
.
Champ d’identifiant
La requête SELECT doit obligatoirement inclure un champ d’identification unique (numérique ou alphanumérique). Sélectionnez le champ qui doit servir d’identifiant unique.
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à 1) ASSET_INFO.ASSET_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire Inspections INSPECTION.INSPECTION_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Inspectors INSPECTOR.INSPECTOR_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Interventions INTERVENTION.INTERVENTION_ID
Requête INSERT
Requête SQL qui fait l’insertion de nouvelles données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre l’ajout d’enregistrements à la base de données. Il est obligatoire de définir une variable qui contient la valeur de l’identifiant unique pour le nouvel enregistrement.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
$id = ei();
INSERT INTO ASSET_INFO (ASSET_ID, ASSET_YEAR, BRAND, ASSET_HEIGHT) VALUES (EI(), FV(ASSET_INFO.ASSET_YEAR), FV(ASSET_INFO.BRAND), FV(ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT));
Dans cet exemple, les données du formulaire sont insérées dans la table ASSET_INFO lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs ASSET_INFO.ASSET_YEAR, ASSET_INFO.BRAND et ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT proviennent des valeurs saisies dans le formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur de la variable ASSET_INFO.ASSET_ID provient de la fonction ei()
.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
$id = nti(INSPECTION, INSPECTION_ID);
INSERT INTO INSPECTION (INSPECTION_ID, ASSET_ID, INSP_DATE, INSP_COMMENT) VALUES ($id, EI(), FV(INSPECTION.INSP_DATE), FV(INSPECTION.INSP_COMMENT));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INSPECTION.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INSPECTION lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSP_DATE et INSP_COMMENT proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INSPECTION_ID provient de la variable $id
. La valeur du champ ASSET_ID provient de la fonction ei()
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
$id = nti(INSPECTOR, INSPECTOR_ID);
INSERT INTO INSPECTOR (INSPECTOR_ID, INSPECTION_ID, CONTACT_INFO, TEAM) VALUES ($id, FV(INSPECTOR.INSPECTION_ID), FV(INSPECTOR.CONTACT_INFO), FV(INSPECTOR.TEAM));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INSPECTOR.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INSPECTOR lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSPECTION_ID, CONTACT_INFO et TEAM proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INSPECTOR_ID provient de la variable $id
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
$id = nti(INTERVENTION, INTERVENTION_ID);
INSERT INTO INTERVENTION (INTERVENTION_ID, INSPECTION_ID, WORK_ORDER, FOLLOW_UP) VALUES ($id, FV(INSPECTION_ID), FV(INTERVENTION.WORK_ORDER), FV(INTERVENTION.FOLLOW_UP));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INTERVENTION.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INTERVENTION lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSPECTION_ID, WORK_ORDER et FOLLOW_UP proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INTERVENTION_ID provient de la variable $id
.
Valeur de l’identifiant unique
Sélectionnez la variable qui contient la valeur de l’identifiant unique du nouvel enregistrement inséré dans la table. Celle-ci doit être définie avec la requête INSERT. Pour que vos données s’enregistrent dans la base de données (les photos, par exemple), vous devez définir et sélectionner cette variable.
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à 1)
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire Inspections
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Inspectors
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Interventions
$id
Requête UPDATE
Requête SQL qui fait la mise à jour des données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre les mises à jour des données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
UPDATE ASSET_INFO SET ASSET_YEAR = FV(ASSET_INFO.ASSET_YEAR), BRAND = FV(ASSET_INFO.BRAND), ASSET_HEIGHT = FV(ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT) WHERE ASSET_ID = FV(ASSET_INFO.ASSET_ID);
Dans cet exemple les données du formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table ASSET_INFO lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs ASSET_YEAR, BRAND et ASSET_HEIGHT proviennent des valeurs saisies dans le formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE permet de mettre à jour l’enregistrement qui contient l’identifiant unique de l’élément, ASSET_ID, en utilisant aussi la fonction fv(field)
.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
UPDATE INSPECTION SET INSP_DATE = FV(INSPECTION.INSP_DATE), INSP_COMMENT = FV(INSPECTION.INSP_COMMENT) WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INSPECTION lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs INSP_DATE et INSP_COMMENT sont mises à jour et elles proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field).
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
UPDATE INSPECTOR SET CONTACT_INFO = FV(INSPECTOR.CONTACT_INFO), TEAM = FV(INSPECTOR.TEAM) WHERE INSPECTOR_ID = FV(INSPECTOR.INSPECTOR_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INSPECTOR lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs du champ CONTACT_INFO est mise à jour et elle provient de la valeur saisie dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
UPDATE INTERVENTION SET WORK_ORDER = FV(INTERVENTION.WORK_ORDER), FOLLOW_UP = FV(INTERVENTION.FOLLOW_UP) WHERE INTERVENTION_ID = FV(INTERVENTION.INTERVENTION_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INTERVENTION lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs WORK_ORDER et FOLLOW_UP sont mises à jour et elles proviennent de la valeur saisie dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Requête DELETE
Requête SQL qui fait l’effacement des données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre d’effacer des données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
DELETE FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = FV(ASSET_INFO.ASSET_ID);
Dans cet exemple l’enregistrement correspondant à la valeur de l’attribut ASSET_ID de l’élément est effacé de la table ASSET_INFO, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant de l’élément.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
DELETE FROM INSPECTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID); DELETE FROM INTERVENTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID); DELETE FROM INSPECTOR WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID);
Dans cet exemple l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’inspection est effacé de la table en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Les enregistrements des sous-formulaires imbriqués INTERVENTION et INSPECTOR correspondant à l’identifiant unique de l’inspection sont aussi effacés de la table lorsque l’inspection est effacée.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
DELETE FROM INSPECTOR WHERE INSPECTOR_ID = FV(INSPECTOR.INSPECTOR_ID);
Dans cet exemple, l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’inspecteur est effacé de la table, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
DELETE FROM INTERVENTION WHERE INTERVENTION_ID = FV(INTERVENTION.INTERVENTION_ID);
Dans cet exemple, l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’intervention est effacé de la table, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Ajouter des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour ajouter de nouvelles données dans la base de données.
Modifier des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour modifier des données existantes dans la base de données.
Effacer des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour effacer des données existantes dans la base de données.