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Un projet est constitué d’une liste ordonnée de couches. Les couches sont utilisées pour afficher des données extraites de sources de données spatiales.
Chaque couche est associée à une source de données spatiales.
Les couches vectorielles sont associées aux sources de données vectorielles et affichent des données vectorielles, tandis que les couches matricielles se rapportent aux sources de données matricielles.
La configuration des couches détermine l’apparence des données (style de la couche), les seuils de visibilité, l’information rattachée aux données spatiales (attributs), etc. Chaque couche possède ses propres paramètres de configuration pour l’étiquetage, les rapports, les thématiques, etc.
Les couches sont créées dans le projet auquel elles appartiennent.
Des permissions spécifiques peuvent être configurées pour chaque couche. Ainsi, certaines couches peuvent être accessibles uniquement à un sous-ensemble des utilisateurs autorisés à ouvrir le projet.
Les couches d’un projet peuvent être organisées selon une hiérarchie ou une structure arborescente logique. Ceci est utile lorsque vous travaillez avec des projets comportant un grand nombre de couches. L’information est alors mieux organisée. Dans les applications les utilisateurs peuvent contrôler en un seul clic la visibilité des couches appartenant à un même groupe. Consultez la section Organisation des couches pour plus d’information sur le sujet.
Il est possible de copier des couches d’un projet vers un autre ou même de partager des couches entre différents projets localisés sur le même ou sur un autre JMap Server. À partir de JMap Server Kathmandu, il est aussi possible de partager des couches avec la plateforme infonuagique JMap Cloud, développée par K2 Geospatial. Consultez la section Partage de couches pour plus d’information sur ce sujet.
L’interface de configuration d’une couche offre une vue d'ensemble des informations sur la couche et permet d'accéder aux fonctions de configuration de paramètres tels que le style, les étiquettes ou les rapports. Des onglets permettent aussi d'accéder aux mêmes fonctions.
L’interface de configuration des couches matricielles contient les sections Information générale, Paramètres de la couche, JMap Cloud et Limites de visibilité seulement ainsi que les onglets Général et Style.
La fenêtre de configuration d’un attribut contient trois onglets : Métadonnées, Statistiques et Échantillon de l’attribut.
L’onglet Statistiques offre des statistiques simples sur l’attribut. L’onglet Échantillon de l’attribut affiche la valeur de l’attribut pour un échantillon d’éléments de la couche.
Dans JMap, les étiquettes sont des textes rattachés aux éléments de carte. Elles sont utilisées pour afficher de l’information concernant les éléments sur la carte. Par exemple, vous pouvez utiliser les étiquettes afin d’afficher les noms de ville pour une couche de points représentant les villes.
Les étiquettes peuvent être placées manuellement en utilisant l’outil d’étiquetage ou encore elles peuvent être générées automatiquement par JMap au moment de l’affichage. La section de configuration des étiquettes peut varier légèrement selon le type d’éléments de la couche.
La figure suivante illustre un exemple d’étiquettes en courbe (gauche) et d’étiquettes avec cadre (droite).
La figure suivante illustre un exemple d’étiquettes avec un symbole en arrière‑plan.
L’étiquetage est configuré en spécifiant un texte qui définit le contenu de l’étiquette. Ce texte peut contenir des parties statiques, des parties variables (fonctions) et des programmes en JavaScript. Lors de l’affichage, les fonctions sont exécutées et remplacées par le résultat. Il peut s’agit par exemple de la fonction ElementValue(attrib)
(ou en version courte ev(attrib)
) qui sera remplacée par la valeur de l’attribut correspondant. Les programmes JavaScript peuvent être utilisés pour faire des opérations sur les valeurs des attributs. Le texte d’une étiquette peut s’étendre sur plusieurs lignes.
L’étiquetage automatique ajoute des étiquettes aux éléments de carte automatiquement, sans intervention de l’utilisateur. Pour chaque couche vectorielle, vous pouvez activer ou désactiver l’étiquetage automatique et définir des échelles à l’intérieur desquelles l’étiquetage automatique sera activé. Il est souvent utile de définir une limite d’échelle minimale pour l’étiquetage automatique afin d’éviter de surcharger la carte.
Toujours avec le souci d’éviter de surcharger la carte, trois outils vous permettent de contrôler l’ordre ou la priorité dans la position ou l’affichage des étiquettes : la position dynamique, la priorité par couche et la priorité par attribut.
Le style d’une couche définit la représentation graphique des éléments spatiaux sur la carte. Par exemple, le style d’une ligne est déterminé en fonction de son épaisseur, de sa couleur, de son type de trait, etc. Dans JMap, chaque couche peut posséder différents styles. Le style utilisé est fonction de plusieurs facteurs.
Différents styles peuvent être configurés pour différentes échelles. Par exemple, une couche peut posséder un style unique pour toutes les échelles tandis qu’une autre couche peut posséder un style pour les échelles supérieures à 1:20 000 et un autre style pour les échelles inférieures ou égales à 1:20 000.
Les couches possèdent également des styles de sélection. Ces styles sont utilisés pour afficher les éléments sélectionnés à différentes échelles. Les styles de sélection sont automatiquement générés à partir des styles des couches, mais ils peuvent être personnalisés pour chaque couche.
La présence de thématiques sur une couche aura prépondérance sur les styles de la couche.
Lorsqu’une thématique est active sur une couche, le style de chaque élément est déterminé par la valeur de ses attributs et les paramètres de la thématique. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
À partir de JMap Server Jakarta les couches polygonales avec une représentation en trois dimensions sont supportées dans les applications JMap NG. En effet, ce type de représentation d’une troisième dimension est appelé extrusion et il peut être configuré lors de la configuration du style de la couche. La section offre les détails de cette configuration.
Vous pouvez définir un ou plusieurs styles pour une couche.
Si une couche comporte plusieurs styles, chacun sera utilisé à l’intérieur d’un intervalle d’échelles donné.
Par défaut, un seul style existe pour chaque couche et couvre l’étendue complète des échelles.
L'onglet Style dans l'interface de configuration de la couche permet de gérer les styles de la couche.
Afin d’ajouter un nouveau style, appuyez sur Ajouter. Dans l’interface de configuration des styles, vous devez définir l’échelle maximale à partir de laquelle le nouveau style sera utilisé. L’échelle minimale sera automatiquement fixée à l’infini ou à l’échelle maximale du prochain style.
Afin de supprimer un style, sélectionnez‑le dans la liste et appuyez sur Supprimer.
Le style de l’échelle supérieure ne peut pas être supprimé.
Lorsque vous supprimez des styles, ceux qui restent seront ajustés afin couvrir l’étendue complète des échelles possibles.
Une fois que vous avez configuré un ou plusieurs styles, vous pouvez cliquer sur Nouveau modèle (situé à la droite de chaque style) afin de créer un nouveau modèle de style à partir d’un style de la couche. Le modèle de style sera automatiquement lié à la couche. Reportez‑vous à la section pour plus de détails à ce sujet.
Les utilisateurs des applications JMap Web et JMap NG, par leur part, peuvent sauver une carte en créant une carte personnalisée.
Lorsque l’administrateur JMap modifie un style d’une couche, les utilisateurs des applications JMap Pro, JMap Web et JMap NG qui travaillent avec des contextes peuvent ne pas voir les modifications de style faites par l’administrateur JMap. Pour forcer la mise à jour du style de la couche dans les contextes, cliquez sur Forcer la mise à jour… (situé à la droite de chaque style) pour que tous les contextes des applications JMap Pro et les cartes personnalisées de JMap Web et JMap NG qui contiennent la couche reflètent les modifications du style effectuées.
Vous pouvez utiliser un modèle de style existant ou configurer votre propre style. Si vous désirez utiliser un modèle, cliquez sur Utiliser un modèle de style…. Vous pouvez alors choisir d’utiliser le modèle par référence ou de le copier.
Si aucun modèle de style n’est utilisé, vous devez configurer les paramètres définissant le style. Pour ce faire, sélectionnez Style par défaut.
Les interfaces de configuration du style diffèrent selon le type d’élément (points, lignes, polygones, texte, etc.). Certains paramètres de style sont communs à beaucoup de types d’éléments, mais d’autres sont propres à certains types.
L’anticrénelage est une méthode servant à représenter des vecteurs parfaits et continus sur des dispositifs d’affichage imparfaits et discontinus afin que leur apparence soit aussi parfaite que possible. L’option d’anticrénelage est présente et activée par défaut dans toutes les sections de configuration du style de JMap Admin et permet d’améliorer l’apparence de vos cartes. L’anticrénelage réduit toutefois la performance lors de l’affichage (vous devez donc en faire une utilisation judicieuse).
La figure présente un exemple d’une bordure de polygone sans anticrénelage (gauche) et avec anticrénelage (droite).
La transparence partielle peut être utilisée pour tout élément de la carte. Un élément de la carte dont la valeur de transparence est de 0 % sera complètement opaque tandis qu’un élément possédant une valeur de 100 % sera invisible.
La figure présente un exemple de polygone avec une transparence de 50 % (gauche) et de 10 % (droite).
Chaque style d’une couche possède un style de sélection. Les styles de sélection sont utilisés pour représenter les éléments lorsqu’ils sont sélectionnés sur la carte. Par défaut, les styles de sélection sont générés automatiquement en utilisant les styles de base de la couche et la couleur de sélection par défaut du projet.
Pour de modifier le style de sélection, désélectionnez l’option Générer à partir du style par défaut et ajustez les paramètres de style au besoin.
Le style des couches polygonales offre la possibilité de configurer une représentation des polygones en 3 dimensions.
Dans l’interface de configuration des paramètres du style de la couche, dans la section Extrusion cochez la case Activer pour activer l’extrusion dans les applications JMap NG. Cette fonction est désactivée par défaut.
Appuyez sur Configurer pour ouvrir la fenêtre de configuration de l’extrusion.
Appuyez sur Supprimer pour effacer la configuration de l’extrusion.
En plus du style, vous pouvez aussi créer certaines représentations graphiques pour analyser la distribution des données ponctuelles.
Les regroupements de points (ou clustering) forment des agglomérations de points qui sont rapprochés les uns des autres à l’écran. Des symboles spéciaux représentent graphiquement ces regroupements sur la carte et affichent le nombre d’éléments qui les composent.
Les cartes de densité (ou heat maps) permettent de représenter graphiquement la répartition des concentrations d’un type d’objet ou d’événement sur le territoire. Plus la couleur d’une zone est intense, plus la concentration est élevée.
Les fonctions supportées par les étiquettes sont les mêmes que celles des infobulles. Pour plus d’information sur les fonctions, consultez la section .
Les utilisateurs des applications JMap Pro peuvent changer le style des couches et sauvegarder les modifications en créant des . Ils peuvent partager les contextes avec d’autres utilisateurs et les rendre publiques pour tous les utilisateurs qui accèdent à l’application.
Définition d’étiquette |
Définition d’étiquette | Le texte de l’étiquette.
Les parties statiques seront affichées telles quelles tandis que les fonctions Contrairement aux infobulles, les étiquettes ne prennent pas en charge le formatage HTML ni les hyperliens. Visualisez les exemples suivants :
Les étiquettes supportent aussi la programmation en JavaScript pour effectuer des opérations mathématiques et des opérations sur les chaînes de caractères en utilisant les valeurs des attributs. La fonction print est utilisée pour imprimer du contenu dans l’étiquette.
produit le résultat suivant : Area : 91935.7 km 231635.6 sq. mi |
Style d’étiquette |
Police | Sélectionnez la police à utiliser pour afficher les étiquettes. |
Taille | Sélectionnez la taille de la police. |
Gras, Italique, Souligné, Barré | Sélectionnez les attributs de la police. |
Contour | Sélectionnez cette option si vous désirez doter le texte de l’étiquette d’un contour, ce qui améliore la lisibilité des étiquettes sur la carte. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Couleur du texte | Sélectionnez la couleur du texte de l’étiquette. |
Couleur du contour | Si l’option Contour est sélectionnée, choisissez la couleur du contour. La couleur par défaut est le blanc. |
Étiquetage automatique | Sélectionnez cette option pour activer l’étiquetage automatique. |
Échelle minimale | Échelle minimale à partir de laquelle l’étiquetage automatique sera activé. |
Échelle maximale | Échelle maximale à partir de laquelle l’étiquetage automatique sera activé. |
Position étiquette | La position de l'étiquette par rapport à l'élément cartographique s'établit à partir d'une grille avec neuf positions possibles. Cette position peut être fixe ou dynamique. Fixe : l'étiquette s'affiche toujours à la position sélectionnée. C'est l'option par défaut. Dynamique : la position à laquelle l'étiquette s'affiche varie en fonction de la priorité relative établie pour chaque position de la grille. Cette fonction permet d'afficher le maximum d'étiquettes en évitant les conflits de chevauchement d'étiquettes. Les valeurs possibles sont : 0 Bloquée, 1 Élevée, 2 Moyenne et 3 Faible. La valeur par défaut de la position centrale est 1. En premier terme JMap tente de placer l'étiquette dans la position centrale. Si cette position est occupée par une autre étiquette, JMap place l'étiquette dans une autre position de valeur inférieure de priorité (Moyenne ou Faible) pour minimiser les conflits. Une fois définie les priorités relative dans la grille, cochez la case Placement dynamique pour activer la fonction. |
Décalage | Entrez un décalage en X et en Y afin de modifier la position du texte de l’étiquette. |
Priorité par couche | Ce paramètre permet d’assigner à la couche une priorité par rapport aux autres couches pour l’affichage de ses étiquettes. C’est une priorité relative inter-couches. Les valeurs disponibles, dans un gradient de priorité croissante, sont : Normale, Supérieure à la normale, Élevée, Très élevée, Maximale. Par exemple, les étiquettes d’une couche dont la priorité est Élevée s’affichent avant les étiquettes d’une couche dont la priorité est moindre (Normale ou Supérieure à la normale). |
Priorité par attribut | Ce paramètre permet d’attribuer une priorité d’affichage aux éléments d’une couche en fonction de la valeur d’un attribut. Il s’agit d’une priorité relative inter-éléments, c’est-à-dire entre les éléments d’une même couche. Par exemple, dans une couche du réseau routier dans laquelle les tronçons routiers sont catégorisés selon leur importance, les étiquettes des tronçons les plus importants ont une priorité d’affichage plus élevée que les étiquettes des tronçons moins importants. L’attribut peut être numérique ou alphanumérique et les valeurs doivent pouvoir être ordonnées de manière croissante ou décroissante. Cochez l’option pour sélectionner dans le menu déroulant l’attribut à utiliser pour la priorisation. L’icône permet d’établir si le gradient de priorité est dans le sens croissant ou décroissant des valeurs. |
Permettre le chevauchement | Permettre, pour une couche, que ses étiquettes se chevauchent et qu’elles chevauchent les étiquettes d’autres couches. Cette option a préséance sur le paramètre global du projet qui empêche le chevauchement des étiquettes. Elle peut s’avérer utile pour assurer que toutes les étiquettes d’une couche sont affichées. |
Éviter la duplication | Sélectionnez cette option pour éviter que le même texte d’étiquette soit affiché à plusieurs reprises. Cette option s’avère utile pour l’affichage des noms de rues. |
Filtrer les étiquettes numériques | Si l’étiquette contient à la fois du texte et des nombres, n’affichez que les valeurs numériques. Cette option s’avère utile lorsque vous désirez afficher uniquement les numéros d’autoroutes en utilisant un attribut contenant d’autre texte (p. ex. « Autoroute 40 » devient « 40 »). |
Orientés | Pour éléments de type ligne seulement. Sélectionnez cette option pour afficher le texte de l’étiquette le long des lignes. |
Suivre la courbe de la ligne | Pour éléments de type ligne seulement. Sélectionnez cette option si vous désirez que le texte de l’étiquette suive la forme des lignes courbes. |
Taille proportionnelle | Par défaut, le texte des étiquettes est toujours affiché dans la taille de police spécifiée, indépendamment de l’échelle de la carte. Utilisez cette option afin que la taille du texte de l’étiquette soit ajustée proportionnellement à l’échelle de la carte. Le texte sera affiché à la taille de police spécifiée lorsque la carte sera affichée à l’échelle de référence spécifiée. Lorsque l’échelle de la carte affichée changera, la taille du texte sera modifiée en conséquence. |
Symbole sous étiquette | Sélectionnez cette option afin de choisir un symbole à afficher sous le texte de l’étiquette. Notez que le texte de l’étiquette devrait pouvoir entrer à l’intérieur du symbole sélectionné. Cette option est principalement utilisée pour les indicateurs d’autoroutes contenant des numéros d’autoroutes. |
Cadre | Sélectionnez cette option pour entourer le texte de l’étiquette d’un cadre. Vous pouvez aussi sélectionner la couleur de la trame de fond du cadre ainsi que la couleur de sa bordure. |
Rotation | Activez cette option si vous voulez que les étiquettes aient une rotation. Attribut de l’angle : Vous pouvez sélectionner un attribut lié numérique qui contient l’angle de rotation du texte. Les étiquettes suivront cette rotation. Direction de la rotation : Si un attribut d’angle est utilisé, sélectionnez la direction de la rotation. |
Suivre la rotation de la carte | Cochez cette option afin de vous assurer que les étiquettes suivent la rotation de la carte, dans le cas où l’utilisateur définit une rotation de la carte. |
Suivre la position du symbole | Cochez cette option si vous désirez que les étiquettes suivent le symbole lorsqu’un décalage est appliqué à celui-ci. |
Placement dynamique | Cochez cette option pour permettre le positionnement dynamique des étiquettes. Cette option vous permet d’activer ou désactiver au besoin les caractéristiques du positionnement dynamique que vous avez configurée dans la section Position étiquette. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle de la ligne. |
Type de flèche | Spécifiez l’option à utiliser : Aucun : Aucune flèche. En avant : Placez une flèche sur la ligne pointant vers le dernier point de la ligne. En arrière : Placez une flèche sur la ligne pointant vers le premier point de la ligne. |
Position de la flèche | Si une flèche est utilisée, ce paramètre détermine la position relative de celle-ci. La valeur de 50 % place la flèche au centre de la ligne. |
Épaisseur de la ligne | Spécifiez l’épaisseur de la ligne, en pixels. |
Couleur de la ligne | Spécifiez la couleur de la ligne. |
Style du trait | Spécifiez le style du trait (pointillé, plein, avec bordure, etc.) utilisé pour dessiner la ligne. JMap fournit de nombreux styles de trait. |
Épaisseur de la bordure | Si la ligne comporte une bordure, spécifiez l’épaisseur de celle-ci. |
Couleur de la bordure | Si un trait de ligne comporte une bordure, spécifiez la couleur de celle-ci. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du polygone. |
Remplissage transparent | Sélectionnez cette option si vous désirez que l’intérieur du polygone soit entièrement transparent. |
Couleur de remplissage | Spécifiez la couleur de l’intérieur du polygone. |
Style du trait | Spécifiez le style du trait (pointillé, plein, avec bordure, etc.) utilisé pour dessiner la bordure du polygone. JMap fournit de nombreux styles de trait. |
Épaisseur de la bordure | Spécifiez l’épaisseur des bordures du polygone. |
Couleur de la bordure | Spécifiez la couleur de la bordure du polygone. |
Motif | Spécifiez le motif de remplissage à utiliser. JMap fournit de nombreux motifs. |
Couleur du motif | Si un motif est utilisé, spécifiez la couleur de celui‑ci. |
Motif de remplissage transparent | Si un motif de remplissage est utilisé, sélectionnez cette option si vous désirez que la trame de fond du motif soit entièrement transparente. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du texte. |
Police | Spécifiez la police utilisée pour afficher le texte. |
Gras | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte en gras. |
Italique | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte en italique. |
Souligné | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte souligné. |
Barré | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte barré. |
Contour | Sélectionnez cette option pour utiliser du texte avec contour. La couleur du contour peut différer de celle du texte, ce qui facilite la lecture de la carte. |
Couleur de contour | Si vous utilisez du texte avec contour, spécifiez la couleur du contour. |
Couleur du texte | Spécifiez la couleur du texte. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle de l’image |
Base | Sélectionnez l’attribut numérique qui indique la hauteur du terrain sur lequel se situe le polygone. |
Hauteur | Sélectionnez l’attribut numérique qui indique la hauteur du polygone. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle des polygones extrudés. |
Distance | Distance minimale (en pixels) entre 2 points pour qu’ils forment un groupement. |
Éléments minimum | Le nombre minimal d’éléments requis pour créer un groupement. |
Symbole | Le symbole utilisé pour représenter un groupement sur la carte. |
Étiquette | Les paramètres de l’étiquette (police, couleur, etc.) pour l’affichage du nombre d’éléments dans un groupement. |
Rayon | Le rayon utilisé pour estimer l’intensité ou la densité autour de chaque point. |
Poids | Attribut numérique qui détermine le poids de chaque point dans le calcul de l’intensité ou de la densité. Plus le poids d’un point est élevé, plus la contribution du point est importante dans le calcul. Ce paramètre est optionnel. |
Opacité | Détermine le degré d’opacité pour l’affichage de la carte de densité. |
Intensité | Détermine l’intensité des couleurs en fonction d la concentration des points. Si l’intensité est moins élevée, il faudra un plus grand nombre de points pour produire des couleurs intenses. |
Afficher les points | Permet d’afficher les points de la couche sous la carte de densité. Les points seront cachés par la carte de densité si l’opacité est très élevée. |
Métadonnées |
Type | Indique le type de données de l’attribut. |
Type SQL | Indique le type SQL de données de l’attribut. |
Indexé | Indique si l’attribut est indexé. |
Titre |
Modèle de format | Spécifiez un modèle de format pour l’affichage des éléments de la SDS. Le modèle doit suivre les normes Java. |
Symbole |
Taille | Spécifiez la taille du symbole. La valeur de 1 correspond à la taille d’origine du symbole ou de l’image. |
Taille proportionnelle | Sélectionnez cette option pour que la taille des symboles affichées varie proportionnellement avec l’échelle de la carte. Vous devez entrer l’échelle de référence à laquelle les symboles auront leur taille normale. |
Anticrénelage | Sélectionnez cette option afin d’activer l’anticrénelage. |
Transparence | Spécifiez la transparence partielle du symbole. |
Décalage du symbole en X/Y | Ajustez le point d’origine du symbole en décalant le symbole en X et en Y selon les valeurs spécifiées. Le point d’origine correspond à la coordonnée précise de l’élément ponctuel. |
Pivoter le symbole avec la carte | Sélectionnez cette option si, lors de la rotation de la carte, vous désirez que le symbole pivote aussi. Si vous ne sélectionnez pas cette option, le symbole conservera toujours son angle par défaut, peu importe la rotation de la carte. |
Rotation | Spécifiez la rotation devant être appliquée au symbole. |
Épaisseur de la bordure | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez l’épaisseur de la bordure du symbole vectoriel. |
Couleur de la bordure | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez la couleur des lignes du symbole vectoriel. |
Remplissage transparent | (Pour symboles vectoriels seulement) Sélectionnez cette option si vous désirez que l’intérieur du symbole vectoriel soit complètement transparent. |
Couleur de remplissage | (Pour symboles vectoriels seulement) Spécifiez la couleur de remplissage pour l’intérieur du symbole vectoriel. |
1 |
2 | Paramètres de la couche configurés lors de sa création. L’hyperlien vous permet d’accéder à la source des données spatiales qui contient les données de la couche. |
3 |
4 | Cache Informations sur le cache Mapbox de la couche. Indique si le cache est activé, s’une date d’échéance est définie, le nombre de tuiles mise en cache et des indicateurs d’utilisation. |
5 | JMap Cloud |
6 | Limites de visibilité, entre l’échelle maximale et minimale d’affichage des éléments de la couche. |
7 |
8 |
9 |
10 |
11 |
12 |
13 |
Les filtres dynamiques permettent d’afficher certains éléments de la couche qui correspondent aux critères de l’utilisateur.
Les applications de type JMap Pro, JMap NG et JMap Survey supportent les filtres dynamiques pour les couches qui se chargent par région ou par tuile. Les applications de type JMap Web supportent les filtres dynamiques pour les couches qui se chargent par région.
Les filtres dynamiques se définissent au moyen d’un attribut, d’un opérateur et des valeurs pour l’attribut. Les valeurs sont triées en ordre alphabétique. Un filtre peut être composé par plusieurs attributs. Les opérateurs varient en fonction du type d’attribut.
Les attributs de type texte offrent des opérateurs de correspondance complète ou partielle ainsi que de la présence de valeurs nulles. Jusqu’à 2048 valeurs uniques sont supportées en mode menu déroulant. Pour les attributs dont la quantité de valeurs uniques dépassent cette chiffre la sélection de valeurs se fait en les saisissant dans la plage.
Les attributs de type numérique offrent des opérateurs quantitatifs.
Les attributs de type date et timestamp offrent des opérateurs temporels et des calendriers pour le choix des dates. La date et heure courante est supporté pour tous les attributs date et timestamp avec tous les opérateurs.
Pour créer un filtre dynamique :
Dans l'onglet Filtres dynamiques de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur pour ajouter un attribut.
Sélectionnez un opérateur et les valeurs dans les plages appropriées. Vous pouvez ajouter autant d’attributs que vous souhaitez. Pour enlever un attribut du filtre, sélectionnez-le et cliquez sur .
Cochez la case Activé pour que le filtre dynamique soit active à l’ouverture d’une application.
Cliquez Sauvegarder pour garder le filtre.
Cliquez sur le nom du filtre pour ouvrir son interface et le modifier.
Égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est égale à une des valeurs sélectionnées par l’administrateur JMap.
Pas égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est différente des valeurs sélectionnées par l’administrateur JMap.
Plus grand que : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est supérieure à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus grand ou égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est supérieure ou égale à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus petit que : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est inférieure à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Plus petit ou égal à : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est inférieure ou égale à la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Contient : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type texte) contient la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap.
Ne contient pas : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type texte) ne contient pas la valeur sélectionnée par l’administrateur JMap. Cela revient à faire une requête avec la clause WHERE nom_attribut NOT LIKE '%value%'.
Est vide : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont l’attribut (de type texte) n’a pas de valeur.
N’est pas vide : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont l’attribut (de type texte) a une valeur.
Est nul : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) est nulle.
N’est pas nul : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (peu importe son type) n’est pas nulle.
Est entre : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est dans l’intervalle défini par les deux valeurs entrées par l’administrateur JMap.
N’est pas entre : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut (de type numérique ou date) est en dehors de l’intervalle défini par les deux valeurs entrées par l’administrateur JMap.
Derniers(ères) : Cet opérateur permet de filtrer les éléments d’une couche pour afficher ceux dont la valeur de l’attribut de type date se situe dans la période (exprimée en années, mois, semaine(s), jour(s), heure(s) entrée par l’administrateur JMap.
Intervalle : Ce type d’opérateur permet de filtrer les données d’une couche sur la base d’intervalles de temps définis à partir d’une date de début, d’une date de fin et d’une date de référence. L’utilisateur dispose ainsi d’un outil pour afficher des données qui varient dans le temps.
La couche doit contenir au moins deux attributs de type date et/ou timestamp, un des attributs étant la Date/Heure du début et l’autre la Date/Heure de fin. Les valeurs de ces dates peuvent être NULL, indiquant une date très éloignée dans le passé dans le cas de la Date de début ou une date très éloignée dans le futur dans le cas de la Date de fin.
Une date de référence est aussi nécessaire. Cette date peut être une date précise (passée ou future) ou une Date/Heure courante, qui indique l’instant présent.
Seuls les éléments de la couche dont la date de référence est comprise entre la date de début et la date de fin sont affichés dans la carte.
La figure illustre ce filtre.
Vous accédez à la section Permissions à partir du bouton Permissions de l'onglet Couches dans l'interface de configuration d'un projet ou à partir de l'interface de configuration d'une couche.
Cette section comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration pour la couche, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Utilisateur et groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Seuls les utilisateurs et groupes qui ont déjà la permission d’ouvrir le projet contenant la couche peuvent se voir attribuer des permissions relatives à cette couche.
Les permissions sur les couches sont divisées en deux catégories : les permissions administrateur et les permissions utilisateur.
La section des paramètres généraux d’une couche est disponible dans l'onglet Général de l'interface de configuration de la couche.
Les limites de visibilité sont utilisées pour gérer la visibilité d’une couche en fonction de l’échelle de la carte affichée. Ils sont particulièrement utiles lorsque vous voulez cacher les éléments d’une couche, en particulier lorsque la carte est affichée au-dessus (ou en dessous) d’une échelle donnée. Par exemple, il se peut que vous ne vouliez pas afficher la couche de rues locales lorsque vous regardez le territoire complet d’un pays. En utilisant les seuils, vous pourriez spécifier que les rues locales ne seront visibles qu’en consultant une carte avec une échelle supérieure à 1 : 100 000. Dans ce cas, vous spécifieriez une échelle minimale de 1 : 100 000, sans spécifier d’échelle maximale.
Le rafraîchissement dynamique de la couche permet de recharger automatiquement les données de la couche après un certain délai configurable, et ce, sans que l’utilisateur ait besoin de manipuler la carte. Cela peut être utile pour les couches dont les données changent régulièrement, comme les couches de données de suivi véhiculaire (AVL). Cela constitue une alternative à l’utilisation des couches par région pour avoir des données dynamiques.
Dans JMap, les infobulles servent à afficher de l’information sur les éléments pointés. Cette information comprend du texte, des valeurs d’attributs, des hyperliens, des images, etc. L’administrateur JMap détermine quelle information est affichée dans les bulles de chaque couche.
Le contenu des infobulles peut être formaté à l’aide de balises HTML et peut aussi contenir des programmes JavaScript.
L'onglet Infobulle de l'interface de configuration de la couche offre les outils pour configurer les infobulles.
Vous devez fournir le texte qui sera utilisé comme contenu de l’infobulle. Ce texte peut être composé de parties statiques (affichées telles quelles), de parties variables (fonctions remplacées par d’autres valeurs lors de l’affichage), de programmes JavaScript simples et de balises HTML. Par exemple, la fonction elementValue(city)
sera remplacée à l’affichage par la valeur de l’attribut city de l’élément pointé.
La syntaxe des infobulles est composée de diverses fonctions qui vont déterminer le contenu des bulles. Les fonctions ainsi que leurs paramètres ne sont généralement pas sensibles à la casse. Par exemple, ev(city)
est équivalent à Ev(CITY)
.
Le tableau suivant explique les différentes fonctions disponibles :
Il est possible de formater le contenu de la bulle à l’aide de balises HTML simples. Les bulles ne supportent pas les balises avancées telles que <DIV>
ni les CSS. Les balises HTML supportées et couramment utilisées dans les infobulles sont les suivantes :
<B>, <I>, <U>, <A>, <IMG>, <TABLE>, <BR>
Vous pouvez insérer des hyperliens dans les bulles. Ceux-ci sont cliquables et permettent d’ouvrir des pages HTML ou d’ouvrir ou télécharger des fichiers.
Les infobulles comportent une fonction pour localiser des coordonnées ou des éléments d’une carte en utilisant une syntaxe spéciale d’URL. Un hyperlien est affiché dans la bulle, et lorsqu’il est cliqué, la carte repère la région ou les éléments spécifiés. Cette fonction est disponible dans JMap Pro seulement.
Vous pouvez spécifier une URL qui affichera le contenu d’une page HTML dans l’infobulle (seulement supportée dans les applications JMap Pro). La bulle sera occupée à 100% par la page HTML. La syntaxe est la suivante :
$URL{http://awebsite.com}
L’URL spécifiée peut être statique ou peut provenir d’un attribut. Elle peut aussi utiliser les valeurs d’attribut en tant que paramètres, comme dans l’exemple ci‑dessous :
$URL{http://awebsite.com?param1=ev(ATTRIB_A)¶m2=ev(ATTRIB_B)}
La figure illustre un exemple de contenu HTML dans une infobulle, référencé au moyen d’une URL.
Les sections Formulaires d'attributs d'une couche, Formulaires de base de données et Formulaires de requêtes par attribut, décrivent les étapes de création des formulaires et sous-formulaires. Les exemples cités font référence aux tables de la figure suivante :
Ces formulaires sont utilisés pour saisir les valeurs des attributs d’une couche éditable.
Il ne peut y avoir qu’un seul formulaire de saisie des attributs par couche.
L’utilisateur doit posséder les permissions nécessaires pour modifier les valeurs des attributs d’une couche. Voir la section Permissions des couches pour plus d’informations à ce sujet.
Pour créer un formulaire de saisie des attributs d’une couche, dans la section Formulaire de l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Entrez un nom pour le nouveau formulaire. Vous devez ensuite choisir le type de formulaire à créer, Attributs de la couche, et appuyez sur Sauvegarder. Vous êtes dans l'interface de configuration du formulaire que vous venez de créer.
Par la suite, appuyez sur le bouton Disposition du formulaire pour ouvrir le designer de formulaires et ajouter des composantes.
Chaque composante du formulaire doit être associée à un attribut de la couche.
La composante présente la valeur de l’attribut et la valeur est mise à jour quand l’utilisateur ferme le formulaire et sauvegarde les modifications. Voir la section Designer de formulaires pour plus d’informations.
Le bouton Permissions du formulaire s'affiche dans son interface de configuration.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration du formulaire, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Gestion des comptes utilisateur et des groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Les permissions disponibles sont :
Certaines nécessitent la configuration de paramètres spécifiques au niveau de la couche.
L'interface de configuration de la couche présente des onglets pour chacune des extensions qui doivent être configurées à ce niveau.
Une fois les paramètres de l'extension configurés, appuyez sur Sauvegarder.
La configuration de formulaires d'une couche concerne le design du formulaire et l'établissement de règles de validation.
L’interface de design de formulaires permet de définir le contenu et la disposition des formulaires utilisés pour la saisie d’attributs et les recherches.
Chaque formulaire est structuré sous la forme d’une grille dont le nombre de colonnes et de rangées est paramétrable. Il est possible d’ajouter ou d’insérer des rangées et des colonnes à tout moment. Toutes les rangées vides au bas du formulaire et toutes les colonnes vides à droite du formulaire seront éliminées automatiquement à la sauvegarde du formulaire.
Chaque cellule de la grille peut contenir une composante du formulaire (étiquette, champ de saisie de texte, liste de valeurs, etc.) mais chaque composante peut aussi s’étendre en largeur sur plusieurs cellules.
Chaque formulaire peut être composé d’une ou de plusieurs sections. L’utilisateur peut passer d’une section à l’autre dans le formulaire. Cela est particulièrement utile si le formulaire est long ou complexe.
L’image suivante montre les principales parties du designer de formulaires.
La plupart des composantes du formulaire doivent être associées soit à un attribut d’une couche, à un champ d’une base de données ou à un critère de recherche, selon le type de formulaire créé. Les exceptions sont les composantes Étiquette, Photo et Groupe.
Chaque type de composante possède sa propre fenêtre de paramètres. Ces paramètres permettent de contrôler le comportement et l’apparence de la composante. Le tableau suivant décrit certains paramètres qui sont communs à plusieurs composantes. Voir plus bas pour une description complète des composantes disponibles.
Voici un exemple de disposition des composantes d’un formulaire :
Le tableau suivant décrit les différentes composantes disponibles pour la création des formulaires ainsi que leurs paramètres spécifiques. Notez que certaines composantes ne sont pas disponibles pour la création des requêtes par attributs.
Par exemple, si dans la base de données un champ de type texte a une longueur de 50 caractères, la composante correspondante de type Texte du formulaire doit avoir un nombre maximal de caractères de 50.
Certaines fonctions permettent d’initialiser les composantes des formulaires. En voici la liste.
Seules les applications JMap Pro, JMap NG et JMap Survey prennent en compte les règles de validation des composantes. Ces règles sont ignorées dans les applications JMap Web.
Les règles que vous définissez au niveau des composantes permettent notamment de :
Rendre un champ “read-only” (lecture seule) ou “required” (obligatoire) en fonction des valeurs d’autres champs du formulaire.
Calculer les valeurs de certains champs.
Les règles au niveau des composantes, permettent trois types d’expressions :
Les formulaires d’attributs d’une couche et les formulaires et sous-formulaires des bases de données vous permettent de définir des règles de validation globale du formulaire, basées sur plusieurs champs.
Les règles valident les valeurs des champs du côté client, c’est à dire, les valeurs que les utilisateurs des applications JMap entrent dans les formulaires. La validation a lieu lors de la sauvegarde du formulaire, qui ne se fait pas si les règles ne sont pas respectées.
Seules les applications JMap Pro, JMap NG et JMap Survey prennent en compte les règles de validation des formulaires. Ces règles sont ignorées dans les applications JMap Web.
Pour configurer les règles d’un formulaire ou d’un sous-formulaire, ouvrez l’interface de configuration du formulaire ou sous-formulaire qui vous intéresse :
À partir de l'interface de configuration d'un formulaire, appuyez sur le bouton Règles. L’interface affiche un tableau des règles configurées pour le formulaire.
Appuyez sur Créer pour créer une nouvelle règle ou appuyez sur le nom d'une règle pour l'éditer. La fenêtre des paramètres s’affiche.
Appuyez sur Sauvegarder.
Vous pouvez créer plusieurs règles pour un même formulaire.
Vous pouvez modifier le titre de l’attribut. L’icône vous permet de fournir le titre en plusieurs langues.
Cet article offre des détails sur le sujet : .
Sélectionnez le symbole à utiliser pour représenter les éléments. Le symbole peut être soit un symbole vectoriel ou une image. Les symboles vectoriels sont fournis avec JMap et comportent des caractéristiques spéciales. Ils peuvent être redimensionnés sans distorsion. Leur couleur de remplissage et leur bordure peuvent être modifiées. Par contre, ils ne peuvent pas être personnalisés aisément. JMap offre de bibliothèques d’images, notamment du format SVG, accessibles sous l’onglet Images. Vous pouvez aussi fournir vos propres librairies d’images. Leur qualité diminuera si elles sont redimensionnées, à moins que vous utilisiez des images en format SVG. Afin de fournir vos propres images, placez‑les dans le répertoire : JMAP_HOME/JMapAdmin/icons Les formats d’image pris en charge sont les suivants : SVG, GIF, PNG et JPEG. Si des sous-répertoires sont créés, ils seront visibles lorsque vous naviguerez dans le répertoire des images. Vous pouvez donc organiser votre bibliothèque d’images. Vous pouvez aussi téléverser de nouvelles images en appuyant sur depuis la fenêtre de sélection de symboles. La taille maximale des images est de 100 Mo.
Informations générales configurées lors de la création de la couche. Le bouton permet d’accéder directement à l’interface de configuration des paramètres de la section.
Attributs liés Cette section présente une liste des attributs liés à la couche. Cliquez sur le pour ouvrir la fenêtre de configuration de ses propriétés. Le bouton permet de mettre à jour les statistiques des attributs.
Appuyez sur pour mettre à jour le cache ou sur pour le supprimer.
Cette section permet de partager la couche dans la plateforme infonuagique JMap Cloud. La section offre des détails sur cette fonction.
Section qui présente les thématiques de la couche. Cliquez sur le nom de la thématique pour accéder à son interface de configuration.
Section qui présente les informations sur les étiquettes.
Section qui décrit l’infobulle configurée pour la couche.
Section qui présente les informations sur les rapports configurés pour la couche.
Section qui présente les informations sur les formulaires configurés pour la couche. Cliquez sur le nom du formulaire pour accéder à son interface de configuration.
Ces boutons permettent d’éditer la configuration de la couche ou de la supprimer ainsi qu'accéder à la section des .
Des onglets correspondent aux sections , , , , , , et .
Les qui nécessitent la configuration des paramètres au niveau de la couche ajoutent des onglets.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Si vous configurez un vous devez vous assurer que les paramètres d’une composante du formulaire sont compatibles avec les caractéristiques du champ correspondant dans la base de données.
Vous pouvez définir des règles de validation pour chaque composante, afin de diminuer les erreurs lorsque les utilisateurs des applications JMap entrent des valeurs pour la composante. Des règles peuvent être aussi créées au niveau du formulaire et des sous-formulaires. La section présente ce sujet.
JMap utilise , un langage de programmation qui permet d’élaborer la syntaxe des règles et les valider car il offre des bibliothèques d’évaluation des expressions logiques dans tous les langages. Vous pouvez élaborer des expressions logiques, mathématiques ou de chaînes de caractères.
Nom
Le nom de la couche. Les noms donnés aux couches d’un même projet doivent être uniques. Par défaut, le nom de la source de données spatiales associée est utilisé.
Description
(Optionnel) Texte décrivant la couche. Ce texte est visible par les utilisateurs dans les applications JMap par infobulle sur le nom de la couche.
Publiée
Détermine si la couche est publiée ou non. Reportez‑vous à la section Publication des couches pour plus de détails à ce sujet.
Visible
Détermine si la couche est visible ou non lorsque le projet est ouvert. Les utilisateurs peuvent rendre les couches visibles ou invisibles dans les applications JMap.
Sélectionnable
Détermine si les éléments de la couche peuvent être sélectionnés ou non à l’ouverture du projet. Les utilisateurs peuvent modifier les options de sélection dans les applications JMap. Par défaut, les éléments des nouvelles couches que vous créez sont non sélectionnables.
Inclure dans une vue d’ensemble
Détermine si la couche apparaîtra dans la vue d’ensemble de la carte, s’il y en a une. Cette vue d’ensemble facilite la navigation dans la carte.
Listée
Détermine si la couche apparaîtra dans la section des couches des applications JMap. Une couche non listée apparaît de façon normale sur la carte.
Échelle minimale
L’échelle minimale pour que la couche soit visible. Permet de rendre la couche invisible lorsqu’on s’éloigne trop.
Échelle maximale
L’échelle maximale pour que la couche soit visible. Permet de rendre la couche invisible lorsqu’on s’approche trop.
Non modifiable
(S’applique uniquement à JMap Pro) Détermine si les utilisateurs ont le droit de modifier ces valeurs. La modification de ces échelles du côté JMap Pro pour des couches contenant un nombre élevé d’éléments pourrait engendrer de très longues requêtes utilisant beaucoup de ressources ou même engendrer une réaction anormale de l’application JMap Pro ou de JMap Server.
Dynamique
Sélectionnez cette option pour activer le rafraîchissement dynamique.
Délai de rafraîchissement
Spécifiez le délai entre chaque rafraîchissement.
Infobulle
Entrez le contenu de l’infobulle. Consultez les sections ci-dessous pour obtenir une explication de la syntaxe.
Couleur de fond
Sélectionnez la couleur de fond de l’infobulle.
Prévenir la duplication du texte
Sélectionnez cette option pour éviter qu’un même texte soit répété plusieurs fois dans une même bulle, ce qui peut se produire lorsque vous pointez vers beaucoup d’éléments de carte sur une même couche qui possèdent le même contenu d’infobulle (p. ex. segments de rue à une intersection).
Échelle minimale
Activez cette option et entrez l’échelle minimale à partir de laquelle l’infobulle doit s’afficher.
Échelle maximale
Activez cette option et entrez l’échelle maximale à partir de laquelle l’infobulle doit s’afficher.
Fonction
Description
elementValue(attrib) ou ev(attrib) attrib : le nom d’un attribut
Remplacé par la valeur de l’attribut lié dont le nom est passé en paramètre, pour l’élément pointé. Par exemple, ev(id)
sera remplacé par la valeur de l’attribut id de l’élément.
elementId()
Remplacé par l’identifiant de l’élément.
polygonArea()
Remplacé par l’aire d’un élément pointé de type polygonal.
lineLength()
Remplacé par la longueur d’un élément pointé de type linéaire.
centroid()
Remplacé par la coordonnée du centroïde géométrique de la géométrie de l’élément.
format(attrib, format) attrib : le nom d’un attribut de type date ou numérique format : le format de date ou de nombre souhaité
Remplacé par une date ou un nombre formaté selon un format précis.
Exemple
format(date_insp, dd/MM/yyyy)
où date_insp est le nom d’un attribut contenant une date et dd/MM/yyyy est le format de date souhaité, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java java.text.SimpleDateFormat.
Exemple
format(attrib, ##0,00)
où attrib est le nom d’un attribut contenant un nombre et ##0,00 est le format de nombre souhaité, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java java.text.DecimalFormat.
ifNull(attrib, value) attrib : le nom de l’attribut à tester value : la valeur à afficher si attrib est nulle
Remplacé par la valeur value seulement si la valeur de l’attribut attrib est nulle. Si la valeur de l’attribut est non nulle, rien n’est affiché.
Exemple
ifNull(temp, N/A)
Affiche N/A si la valeur de l’attribut temp est nulle.
Exemple
ifNull(attrib_a, attrib_b)
Affiche la valeur de l’attribut attrib_b si la valeur de attrib_a est nulle.
ifNotNull(attrib, value) attrib : le nom de l’attribut à tester value : la valeur à afficher si attrib est non nulle
Remplacé par la valeur value seulement si la valeur de l’attribut attrib est non nulle. Si la valeur de l’attribut est nulle, rien n’est affiché.
Exemple
ifNotNull(land_value, $)
Affiche seulement si la valeur de land_value est non nulle.
subString(attrib, startIx, endIx) attrib : le nom de l’attribut pour lequel on veut extraire une partie startIx : position de départ dans la chaîne de caractère sendIx : position de fin dans la chaîne de caractères
Remplacé par une partie de la valeur (comme chaîne de caractères) de l’attribut attrib, entre la position startIx et la position endIx.
Exemple
subString(name, 0, 5)
Remplacé par les 5 premiers caractères de la valeur de l’attribut name. Si cette dernière est Montréal, alors l’infobulle affichera Montr.
encode(attrib, encoding) attrib : le nom de l’attribut à encoder encoding : le nom de l’encodage
Remplacé par la valeur de l’attribut attrib, une fois encodée avec l’encodage de caractères spécifié (UTF-8, CP437, ISO 8859-1, etc).
Exemple
encode(name, UTF-8)
Remplacé par la valeur de l’attribut name encodée en caractères UTF-8.
<script> code JavaScript </script>
Exécute le code JavaScript qui est à l’intérieur des balises. Dans le code JavaScript, les valeurs des attributs des éléments sont accessibles par la fonction elementValue()
ou ev()
.
Des opérations mathématiques ou sur les chaînes de caractères peuvent être effectuées sur les valeurs des attributs. Pour afficher du contenu dans la bulle, le script doit faire appel à la fonction print()
.
Exemple
<script>
print ( ev(population) / ev(area) );
</script>
Calcule et affiche le résultat la valeur de l’attribut population divisé par la valeur de l’attribut area.
Exemple
<script>
var KM_IN_MI = 0.621371;
var dist_mi = ev(km) * KM_IN_MI;
print(ev(osm_name));
print(dist_mi.toFixed(1) + " mi");
</script>
Convertit la distance en kilomètres contenue dans la valeur de l’attribut km en une distance en milles. Affiche la valeur de l’attribut osm_name et la distance en milles avec un chiffre décimal.
<a href=“download:file URL”>some text</a>
JMap supporte une syntaxe spéciale d’hyperlien qui permet à l’utilisateur de télécharger un fichier en cliquant sur le lien. Le fichier à télécharger peut provenir d’une URL de type http: ou file:.
Exemple
<a href="download:http://someserver/123/report.pdf">Télécharger</a>
Affiche une lien qui permet de télécharger le fichier report.pdf du web.
Exemple
<a href="download:file://D:/123/report.pdf">Télécharger</a>
Affiche une lien qui permet de télécharger le fichier report.pdf d’un dossier du système de fichiers Windows.
photosAsThumbnails()
Remplacé par des versions réduites des images attachées à l’élément. L’utilisateur peut cliquer sur une image réduite pour ouvrir l’image pleine grandeur.
photosAsThumbnails(title)
photosAsThumbnails(date)
photosAsThumbnails(title,date)
Avec ces options, le titre et/ou la date seront affichées avec chaque miniature de photo. Il est très important de ne pas ajouter des espaces entre title, la virgule et date.
projectName()
Remplacé par le nom du projet en cours.
userName()
Remplacé par le code utilisateur de l’utilisateur actuellement connecté.
sessionId()
Remplacé par l’identifiant de la session en cours.
host()
Remplacé par le nom de l’hôte ou l’adresse de l’instance JMap Server à laquelle l’application est connectée.
port()
Remplacé par le numéro du port (http ou direct) de l’instance JMap Server à laquelle l’application est connectée.
date()
Remplacé par la date et l’heure actuelles.
Exemple de repérage avec infobulle
Description
<a href="locate:region;-73;45;5;5">Localiser</a>
Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte la région définie par x=‑73, y = 45, largeur = 5, hauteur = 5. Ces données sont exprimées dans les unités de la carte.
<a href="locate:object;métros;nom;'atwater'">Localiser</a>
Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom est égal à atwater.
<a href="locate:object;métros;nom;'a%'">Localiser</a>
Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom commence par la lettre a.
<a href="locate:object;métros;nom;'atwater';1000">Localiser</a>
Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans la même carte les éléments sur la couche métros dont l’attribut nom est égal à atwater. La carte qui en résulte possède une échelle de 1 : 1000.
<a href="locate:object;métros;nom;'atwater':target=Résultat">Localiser</a>
Affiche un hyperlien Localiser. Lorsque cliqué, cet hyperlien repère dans une nouvelle carte appelée Résultat les éléments de la couche métros dont la valeur de l’attribut name est égal à atwater. Si une carte nommée Résultat existe déjà, elle est réutilisée. Si le nom de la carte était new, une nouvelle carte (avec un nom généré automatiquement) serait créée à chaque fois.
Modifier des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour modifier des valeurs des attributs de la couche.
Fonctions |
username() | Remplacé par le code utilisateur de l’utilisateur. |
fullname() | Remplacé par le nom complet de l’utilisateur. |
date() | Remplacé par la date courante. |
datetime() | Remplacé par la date et l’heure courantes. |
uuid() | Remplacé par un identifiant unique universel (UUID). |
Requis | Vous pouvez entrer une expression booléenne qui indique les cas dans lesquels le champ est obligatoire. C’est à dire que si l’expression que vous entrez est respectée (elle est vraie), le champ est obligatoire. L’expression implique des valeurs d’autres champs du formulaire. Exemple
Cette expression pour le champ MATERIAL, indique que lorsque l’utilisateur entre la valeur “done” dans le champ STATUT, il doit entrer une valeur pour le champ MATERIAL pour pouvoir sauvegarder et fermer le formulaire. Note : Cette expression est exclusive au paramètre Requis de la composante. Si vous cochez le paramètre Requis, ce champ est toujours obligatoire et la plage Requis pour définir une expression logique, n’est pas disponible. Si vous ne cochez pas le paramètre Requis et définissez une règle, le champ devient obligatoire seulement lorsque la règle est respectée. |
Lecture seule | Vous pouvez entrer une expression booléenne qui indique les cas dans lesquels le champ est en mode lecture seule. C’est à dire que si l’expression que vous entrez est respectée, le champ est en lecture seule. L’expression implique des valeurs d’autres champs du formulaire. Note : Cette expression est exclusive avec le paramètre Lecture seule de la composante. Si vous cochez le paramètre Lecture seule, ce champ est toujours obligatoire et la plage Lecture seule pour définir une expression logique, n’est pas disponible. Si vous ne cochez pas le paramètre Lecture seule et définissez une règle, le champ devient obligatoire seulement lorsque la règle est respectée. |
Calculée | Vous pouvez entrer une expression mathématique ou de chaînes de caractères pour calculer la valeur du champ. Le résultat de cette règle devient la valeur du champ. Exemple
Cette expression calcule la valeur du champ CIRCONFÈRENCE à partir de la valeur du champ DIAMETER. |
Contenu de l’infobulle
Affichage
City : ev(CITY)
Exemple simple de texte statique avec la valeur d’un attribut.
City: ev(CITY)
(ev(COUNTRY))
Exemple contenant des parties statiques et l’affichage de 2 valeurs d’attributs, sur 2 lignes.
<b>ev(STATION_NAME)</b>
<a href="ev(URL)">Site web</a>
Exemple de formatage de base employant des balises HTML de même qu’un hyperlien où l’URL provient de la valeur de l’attribut URL.
<b>ev(DESCRIPTION)</b>
<img src="ev(IMAGE_URL)" height="175" width="234" />
Exemple de balise d’image HTML qui prend l’URL de l’image de la valeur de l’attribut IMAGE_URL.
Area :
ev(AREA_KM2) km2
<script>
var SQ_KM_IN_SQ_MI = 2.58998811;
var area_sq_mi = ev(AREA_KM2) / SQ_KM_IN_SQ_MI;
print(area_sq_mi.toFixed(1) + " sq. mi");
</script>
Exemple de balise
<table style="border:3px solid black; border-radius:5px; background: #1fc8db; color:white">
<thead> <tr> <th style="padding: 5px" class="">Name</th> <th style="padding: 5px" class="actions">FirstName</th> </tr>
</thead>
<tbody> <tr> <td style="padding: 5px" class="">Gratton</td> <td style="padding: 5px" class="actions">Bob</td> </tr>
</tbody>
</table>
Exemple de formatage avec attribut de style.
1 | Faites glisser une composante vers une cellule du formulaire. Toutes les cellules disponibles sont mises en surbrillance. |
2 |
3 | Accédez aux différentes sections à partir de ces onglets. |
4 |
5 |
6 |
7 |
Attribut | Sélectionnez l’attribut de la couche, ou la variable de la requête, auquel cette composante est associée. C’est cet attribut ou cette variable que la composante du formulaire va renseigner. |
Requis |
Lecture seule | Activez cette option pour que la composante soit en mode lecture seule. L’utilisateur ne pourra pas modifier le contenu. Cette option devrait être utilisée pour une composante ayant une valeur par défaut. |
Étendu | Par défaut, chaque composante n’occupe qu’une cellule. Pour une composante étendue en largeur sur plusieurs cellules, entrez le nombre de cellules sur lesquelles la composante doit s’étendre. Les cellules occupées par une composante étendue sont marquées Étendu. |
Infobulle | Ce texte est affiché dans une infobulle quand l’utilisateur survole cette composante avec le pointeur de la souris. |
Étiquette (préfixe) | Entrez un texte statique à afficher en haut de la composante. |
Étiquette (suffixe) | Entrez un texte statique à afficher à droite de la composante. |
Largeur (pixels) | Spécifiez la largeur en pixels du champ de saisie de la composante, excluant l’étiquette en suffixe. La valeur par défaut est 100. La largeur de chaque colonne du formulaire prendra automatiquement la largeur de la composante la plus large. |
Valeur par défaut |
Étiquette |
Texte | Champ de saisie d’une valeur alphanumérique. Le champ associé doit être de type alphanumérique ou numérique. Masque de saisie : Un masque de saisie peut être utilisé afin de contrôler le format de la valeur saisie. Multiligne : (Champs alphanumériques seulement) Si cette option est activée, le champ de saisie sera affiché sur plusieurs lignes de texte, ce qui facilite la saisie de textes plus longs. Nombre maximal de caractères : (Champs alphanumériques seulement) Détermine la longueur maximale du texte qu’un utilisateur peut saisir. Cela doit respecter les contraintes du champ de la base de données qui contient les données. Validation de la plage : (Champs numériques seulement) Permet de définir une plage de valeurs acceptées (par ex. de 0 à 100). |
Liste (choix unique) | Liste de valeurs dont seulement une valeur peut être sélectionnée. Le champ associé doit être de type alphanumérique ou numérique. Les valeurs de la liste peuvent être fournies dans plusieurs langues, si votre projet supporte plus d’une langue. La liste peut être dynamique, c’est-à-dire que son contenu peut être modifié dynamiquement en fonction de la sélection d’une valeur dans une autre liste. Par exemple, sur la sélection d’un pays dans une liste, une autre liste se rafraîchit dynamiquement pour afficher uniquement les villes du pays sélectionné. Attribut parent Si la liste doit être dynamique, sélectionnez l’attribut parent. Pour lier la liste B (enfant) à la liste A (parent), vous devez d’abord sélectionner l’attribut parent pour la liste B (attribut associé à la liste A). Sur un changement de la valeur sélectionnée dans la liste A, le contenu de la liste B sera mis à jour. Les valeurs de la liste B sont déterminées par la relation entre ses valeurs et les valeurs de l’attribut parent. Si la liste B possède une seule valeur, celle-ci est sélectionnée automatiquement. Exemple Liste de pays, disponible en anglais et en français. Cette liste n’est pas dynamique. Elle est associée à un attribut COUNTRY.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom du pays en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom du pays en français. Il n’y a pas de valeur parent puisque la liste n’est pas dynamique (n’a pas de liste parent). Exemple Liste de villes, disponible en anglais et en français. Cette liste est dynamique. Son attribut parent est COUNTRY associé à la liste précédente. Elle présente la liste des villes pour le pays sélectionné dans la liste parent.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom de la ville en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom de la ville en français. Le champ PARENT_VALUE contient la valeur parent. Attention : Il est nécessaire que la requête SQL d’une liste enfant inclue le champ qui permet de faire la relation avec les valeurs parent. L’exemple précédent utilise select pour inclure tous les champs dans les requêtes. Note : Parfois, les valeurs à présenter dans une liste proviennent d’une table associée à une source de données spatiales stockée dans la base de données System de JMap Server. Dans ces cas, il n’est pas possible de connaître le nom de la table physique. Pour pallier cette situation, vous pouvez utiliser une technique simple : au lieu du nom de la table, écrivez l’ID de la couche précédé de l’acronyme “DS”, entouré de symboles Exemple
Autre Il est possible que d’autres sources soient disponibles pour fournir les valeurs et les étiquettes. Si c’est le cas, vous pouvez sélectionner cette option et choisir la source dans la liste des sources disponibles. |
Liste (choix multiples) | Liste de valeurs dont une ou plusieurs valeurs peuvent être sélectionnées. Le champ associé doit être de type alphanumérique. |
Case à cocher | Permet de renseigner le champ associé pour lequel il existe seulement 2 valeurs possibles. Les 2 valeurs possibles doivent être spécifiées et être des chaînes de caractères (p. ex. vrai ou faux) ou numériques (p.ex. 0 ou 1). Si le champ associé est de type booléen, vous devez obligatoirement utiliser les valeurs true et false. Valeur coché : Valeur à enregistrer si la case est cochée. Valeur non coché : Valeur à enregistrer si la case n’est pas cochée. |
Calendrier | Permet de sélectionner une date. L’attribut de la couche, ou le champ utilisé pour la requête, doit être de type date, datetime ou timestamp. Format de date : C’est le format dans lequel la composante calendrier affichera la date sélectionnée. Si l’utilisateur saisit la date manuellement, il devra aussi utiliser ce format (p. ex. dd/MM/yyyy, yy/MM/dd H:ss, etc.). |
Photo (Non disponible pour les formulaires de requêtes par attributs) | Cette composante permet à l’utilisateur d’insérer des images dans un formulaire et dans un sous-formulaire. Elle permet à l’utilisateur de JMap Survey de prendre des photos avec la caméra intégrée à l’appareil. Elle permet à l’utilisateur de JMap Pro, de JMap Web ou de JMap NG de sélectionner des images existantes et de les insérer dans le formulaire ou dans le sous-formulaire. Cette composante ne peut pas être présente plus d’une fois dans un même formulaire ou sous-formulaire. Pour le formulaire des attributs d’une couche, les photos peuvent être stockées dans la base de données System de JMap Server (aucune configuration n’est alors requise) ou dans une base de données externe. Lorsque que cette composante est ajoutée à un formulaire de base de données, les photos doivent être stockées dans une base de données externe. Vous devez alors définir tous les paramètres requis pour le stockage des photos. Stockage des photos : Choisissez l’option JMap pour stocker les photos dans la base de données System de JMap (seulement disponible pour les formulaires des attributs d’une couche). Les photos sélectionnées par les utilisateurs sont copiées dans le répertoire JMAP_HOME\db\documents, et la relation entre l’élément de la couche et la photo est ajoutée à la table JMAP_DOCUMENTS de la base de données System. Choisissez l’option Externe pour le stockage dans la base de données ou le répertoire de votre choix. La relation entre l’élément de la couche et la photo est stockée dans la table et la base de données de votre choix. Si vous choisissez Externe, vous devez spécifier l’ensemble de la configuration qui suit. Effacer les photos avec l’élément : Sélectionnez cette option pour que les photos associées à un élément soient supprimées automatiquement si l’élément est effacé. Cette option n’est pas activée par défaut. Base de données: Sélectionnez la base de données où les photos doivent être stockées. Cette base de données doit être préalablement configurée dans JMap Admin. Table : Sélectionnez la table qui va contenir les informations sur les photos. Cette table doit avoir la structure suivante. Le nom de la table et les noms des champs peuvent varier. Note : Les champs Titre de la photo et Commentaire de la photo sont des nouveautés de JMap Server Istanbul. Si vous mettez à jour votre serveur JMap Server Hanoï à JMap Server Lima, pour permettre aux utilisateurs des applications JMap d’ajouter un titre et un commentaire aux photos vous devez éditer les formulaires pour sélectionner les champs de la table qui contiendront le titre et le commentaire des photos respectivement. |
Arbre | Cette composante présente une arborescence de valeurs à N niveaux. L’utilisateur peut sélectionner une valeur dans l’arbre, feuille ou branche. Cette valeur sera stockée dans l’attribut associé. L’attribut associé doit être de type alphanumérique. Les valeurs de l’arbre peuvent être fournies dans plusieurs langues, si votre projet supporte plus d’une langue. L’arbre présente une structure de données parent-enfant, tout comme les listes dynamiques liées entre elles. Contrairement aux listes dynamiques, l’arbre est associé à un seul attribut. Les valeurs de l’arbre peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou provenir d’une autre source : Valeurs Entrez les valeurs dans l’espace prévu en construisant la structure de l’arbre. Pour chaque valeur entrée, vous pouvez définir son parent (ou la racine de l’arbre). Obtenir valeurs d’une base de données Vous devez sélectionner la base de données de laquelle vous souhaitez obtenir les valeurs. Ensuite, entrez une requête SQL qui sera exécutée pour obtenir les valeurs à partir d’une table avec relation parent-enfant. L’exemple qui suit utilise la table MY_TABLE. Exemple Arbre contenant des pays (niveau 1) et des villes (niveau 2), disponible en anglais et en français.
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Table (Non disponible pour les formulaires de requêtes par attributs) | Permet de gérer des données provenant de bases de données pour lesquelles il existe une relation 1 à N avec les éléments de la couche. Exemple Une couche de points représente des bornes incendies dans JMap (Assets) et une base de données contient des données sur les inspections réalisées sur ces bornes incendies. Pour chaque borne incendie, il peut y avoir 0, 1 ou plusieurs inspections réalisées. Dans le formulaire des attributs de la couche de bornes incendies (formulaire Assets ), la table permet d’afficher les données d’inspection relatives à une borne incendie, où chaque ligne de la table correspond à une inspection. Selon les permissions accordées, la table permet aussi d’ajouter, de modifier et d’effacer des données d’inspection. Des sous-formulaires peuvent être imbriqués dans un formulaire ou un sous-formulaire. Dans l’exemple, chaque inspection peut avoir 0, 1, ou plusieurs interventions associées. La table dans ce cas, permet d’afficher les données des interventions effectuées lors de chaque inspection. La table est toujours associée à un sous-formulaire. Ce sous-formulaire définit la manière en que se fait l’accès aux données externes et permet d’en faire la saisie. Le sous-formulaire doit être préalablement créé avant de pouvoir configurer la table. Sous-formulaire : Sélectionnez un sous-formulaire existant qui permettra de renseigner les valeurs liées à la table. Champs : Permet de gérer les champs affichés dans la table. Ces champs sont ceux du sous-formulaire associé à la table. Il est possible de modifier le titre des champs, leur ordre d’affichage, ainsi que leur visibilité dans la table. Il est possible aussi de modifier le format des champs de type numérique et date. Les paramètres de la table permettent de définir les champs des données externes qui seront visibles dans la table et leur ordre. |
Groupe | Cette composante sert à grouper ensemble des composantes du formulaire. Un cadre avec titre sera dessiné autour des composantes appartenant au même groupe. Insérez cette composante dans une cellule d’une rangée vide pour débuter un nouveau groupe. Cette composante s’étend automatiquement sur toutes les cellules de la rangée. Elle ne peut pas être insérée sur une rangée qui comporte déjà d’autres composantes. |
Nom | Inscrivez un nom pour la règle. |
Expression | Exemple
Cette expression indique que lorsque la valeur du champ STATUT est “done”, les champs MATERIAL, INSP_DATE et DIAMETER doivent être initialisés (leur valeur ne peut pas être nulle ou 0). Note Actuellement JMap ne peux pas valider des expressions qui contiennent des champs de type date. |
Message | Entrez le message d’erreur qui s’affiche lorsque l’expression logique n’est pas respectée. Vous pouvez entrer le message en plusieurs langues. Exemple
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Accéder à distance
Permet à un utilisateur d’accéder à cette couche par une connexion JMap Server à JMap Server. Cette permission doit être accordée au compte utilisateur utilisé pour établir la connexion sécurisée entre deux JMap Server. Pour plus d’information à ce sujet, consultez la section Connexions JMap Server à JMap Server.
Visualiser cette couche
Permet à un utilisateur de visualiser une couche dans les applications JMap.
Par défaut, l’utilisateur Everyone (tout le monde qui a la permission d’ouvrir le projet) a la permission de visualiser toute nouvelle couche. Pour restreindre l’accès à cette couche, vous devez retirer cette permission à Everyone et l’ajouter uniquement aux utilisateurs voulus.
Ajouter des éléments
Permet à un utilisateur d’ajouter des nouveaux éléments sur la couche et de saisir les valeurs des attributs à l’aide du formulaire associé à la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible.
Modifier des éléments
Permet à un utilisateur de modifier les géométries des éléments (déplacer, ajouter/enlever des nœuds, etc.) existants sur la couche. Permet également à l’utilisateur de modifier les valeurs des attributs à l’aide du formulaire associé à la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible.
Effacer des éléments
Permet à un utilisateur d’effacer des éléments existants sur la couche. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible.
Modifier les valeurs des attributs
Permet à un utilisateur d’ouvrir le formulaire des attributs des éléments de la couche et de modifier leurs valeurs. La couche doit permettre l’édition pour que cette permission soit disponible.
Copier des données
Permet à l’utilisateur de JMap Pro de copier les données de la couche vers une autre couche ou de les exporter à l’aide de l’extension JMap Exportation.
Options
Éditer seulement ses propres éléments
Permet à l’utilisateur d’une application JMap de modifier les géométries, les valeurs des attributs ou encore d’effacer seulement les éléments qu’il a créé dans la couche. L’utilisateur ne peut pas éditer les éléments de la couche qui ont été créés par les autres utilisateurs.
La cartographie thématique consiste à produire des cartes pour exprimer des informations relatives à un thème en particulier, par exemple : des polygones représentant les secteurs d’une ville, colorés différemment selon le taux de criminalité de chaque secteur, des points représentant des villes affichées à l’aide de symboles dont la taille varie en fonction de la population dans la ville, et ainsi de suite.
Dans JMap, vous pouvez créer des cartes thématiques en utilisant les attributs liés d’une couche. Selon les valeurs de leurs attributs, les éléments cartographiques seront alors affichés différemment. En utilisant JMap Admin, vous pouvez créer autant de cartes thématiques que vous le désirez, et vous pouvez aussi créer de nombreuses thématiques en utilisant la même couche.
Les applications JMap NG et JMap Survey ne supportent pas des thématiques avec des valeurs nulles (NULL). Les éléments qui présentent une valeur NULL ne s’affichent pas dans ces applications. Pour régler ce problème, vous pouvez remplacer la valeur NULL par NA, ND ou une autre valeur.
Dans JMap, il existe deux grandes catégories de types de thématiques : les classifications et les quantités proportionnelles.
Afin de créer une thématique, appuyez sur Créer dans l'onglet Thématiques de l'interface de configuration de la couche.
Les thématiques qui utilisent une classification séparent les éléments de la carte dans un nombre fini de catégories (aussi appelées classes), chacune possédant un style qui lui est propre. Lorsqu’un élément de la carte faisant partie d’une telle thématique est affiché, il utilise le style de la catégorie à laquelle il appartient pour s’afficher à l’écran.
Les thématiques par styles gradués utilisent une gradation d’une ou plusieurs variables visuelles afin de représenter les éléments des différentes catégories, par exemple : la couleur de remplissage des polygones qui vire progressivement du blanc au rouge, la taille des symboles de point qui change graduellement de 1 à 5, la largeur de ligne des éléments qui augmente graduellement de 1 à 4, etc. Dans tous les cas, il y a un nombre fini de catégories, et chaque élément de la couche appartient à une de ces catégories. Seul un attribut numérique peut être utilisé pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner l’attribut numérique à utiliser, définir le nombre de catégories, sélectionner la méthode de calcul de l’intervalle et définir les styles des catégories.
Il existe plusieurs méthodes pour calculer les intervalles de valeurs pour les catégories de ce type de thématique. Reportez‑vous à la section Méthodes de calcul des intervalles pour plus de détails à ce sujet.
La section suivante permet de définir les styles des catégories. Il existe 2 possibilités : la création de styles personnalisés ou l’utilisation des palettes de couleurs prédéfinies.
Vous devez définir les styles de début et de fin en spécifiant les variables de style qui vont varier (p. ex. épaisseur de ligne, taille du symbole, couleur de remplissage, etc.). Les styles de catégories sont alors générés par interpolation entre les styles de début et de fin. Vous pouvez facultativement utiliser un troisième style afin de créer un point d’inflexion. Si une inflexion est définie, les styles générés passeront à travers le point d’inflexion à la position spécifiée dans le pourcentage. L’interface est différente selon le type d’élément de la couche.
Au lieu de définir manuellement les styles, vous pouvez sélectionner une palette de couleurs pour générer les styles des catégories de la thématique.
Les thématiques de symboles gradués affichent des symboles superposés sur les éléments qu’elles qualifient. Les tailles des symboles varient en fonction d’un nombre fini de catégories basé sur un attribut numérique. Les symboles peuvent être utilisés avec tout type d’élément de carte. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Il existe plusieurs méthodes pour calculer l’intervalle des valeurs pour les catégories de ce type de thématique. Reportez‑vous à la section Méthodes de calcul des intervalles pour plus de détails à ce sujet.
Le processus de création est le même que pour la création de thématiques par styles gradués décrit plus haut.
Les thématiques par valeurs individuelles représentent tous les éléments possédant la même valeur d’un attribut avec le même style. Ce type de thématique n’utilise pas une plage de valeurs pour chaque catégorie, mais plutôt une valeur spécifique. Le nombre maximal de valeurs uniques différentes est de 512. Si votre couche possède davantage de valeurs différentes, vous ne serez pas en mesure de créer ce type de thématique sur cette couche. Les attributs numériques et alphanumériques peuvent être utilisés avec ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, il vous suffit essentiellement de sélectionner l’attribut à utiliser et de suivre les étapes de l’assistant de configuration des thématiques :
Les thématiques par valeurs individuelles personnalisées sont semblables aux thématiques par valeurs individuelles, cependant elles vous permettent de définir vos propres valeurs au lieu de vous limiter aux valeurs déjà présentes dans les données. Ceci peut s’avérer utile lorsque vous créez des thématiques en utilisant un ensemble de données qui ne contient pas toutes les valeurs possibles connues pour un attribut. Lorsque de nouvelles données sont ajoutées ultérieurement à cet ensemble de données, les nouvelles valeurs seront gérées adéquatement par ce type de thématique.
Le processus de création est semblable à celui pour la création de thématiques par valeurs individuelles, sauf que vous avez l’option de modifier la liste de valeurs individuelles en ajoutant, en enlevant ou en modifiant les catégories :
Les thématiques qui utilisent des quantités proportionnelles représentent des éléments de carte en utilisant une variation continue d’une variable visuelle (p. ex. taille d’un symbole, couleur de remplissage, etc.) en fonction d’un attribut numérique ou d’un ensemble d’attributs.
Les thématiques par symboles proportionnels dessinent des symboles circulaires superposés sur le centre des éléments qu’ils qualifient. Les tailles des symboles sont déterminées par interpolation entre les valeurs minimales et maximales de l’attribut. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner l’attribut numérique à utiliser et définir les styles de début et de fin. La taille et la couleur du symbole seront déterminées par interpolation entre les valeurs de début et de fin.
Les thématiques par diagrammes circulaires affichent des diagrammes circulaires au centre des éléments qu’ils qualifient. Ce type de thématique fonctionne avec un ou plusieurs attributs numériques. Chaque partie du diagramme (morceau de la « tarte ») est associée à un attribut différent. La taille du diagramme est proportionnelle à la somme des valeurs des attributs. Seuls des attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Afin de créer une nouvelle thématique de ce type, vous devez sélectionner un ou plusieurs attributs numériques à utiliser et définir le style du diagramme.
Les thématiques par diagrammes à barres affichent des diagrammes à barres au centre des éléments qu’ils qualifient. Ce type de thématique fonctionne avec un ou plusieurs attributs numériques. Chaque barre du diagramme est associée à un attribut différent. La taille du diagramme est proportionnelle à la somme des valeurs des attributs. Seuls les attributs numériques peuvent être utilisés pour ce type de thématique.
Le processus de création est semblable à celui pour la création de thématiques par diagrammes circulaires décrit plus haut.
Plusieurs méthodes de calcul différentes peuvent être employées pour calculer les intervalles de valeurs des catégories de thématiques utilisant des classifications. Le tableau suivant décrit ces méthodes.
Une fois la thématique créée, vous êtes dirigé vers l’interface qui présente les caractéristiques générales de la thématique et qui vous permet de spécifier la légende, de donner des titres aux classes, d’éditer la thématique ou de la supprimer.
Dans le cas des thématiques de classification, vous pouvez désélectionner des classes qui vous ne souhaitez pas afficher et vous pouvez aussi donner un titre à chaque classe.
Les thématiques activées s’affichent automatiquement lorsque la couche est affichée dans les applications JMap. Les thématiques désactivées sont toujours disponibles, mais ne sont pas affichées par défaut. Elles doivent être activées par l’utilisateur afin d’être affichées. Dans JMap Admin, la section des thématiques vous permet d’activer et de désactiver des thématiques.
Dans les applications JMap Survey les couches s’affichent avec les thématiques activées par défaut. La légende des thématiques n’est pas affichée. Les utilisateurs ne peuvent pas changer l’apparence de la couche.
Dans les applications JMap, les thématiques apparaissent dans l’ordre défini dans JMap Admin. Il est important de définir l’ordre adéquatement car certaines thématiques peuvent en masquer d’autres complètement si elles sont placées sur le dessus. Utilisez le menu Modifier depuis la liste des thématiques pour modifier l’ordre des thématiques.
Vous pouvez supprimer une thématique en la sélectionnant et appuyant sur Supprimer.
Dans JMap, chaque couche d’un projet prend ses données d’une source de données spatiales. Ainsi, avant qu’une couche ne puisse être créée, la source de données pour la couche doit exister (consultez la section Création de sources de données spatiales pour plus de détails à ce sujet).
Pour créer une nouvelle couche dans un projet, appuyez sur Créer dans le menu Ajouter de l'onglet Couches de l'interface de configuration du projet.
Notez que par défaut, la nouvelle couche possédera le même nom que la source de données. Le nom peut être changé plus tard.
Les étapes suivantes diffèrent pour les couches vectorielles et matricielles. Notez que la création d’une couche matricielle diffère aussi pour chaque type de source de données matricielles. Passez directement à la section qui s’applique.
Le mode de chargement détermine la façon dont les données vectorielles sont gérées par JMap Server et peut grandement influencer les performances générales.
Deux modes de chargement par tuile sont disponibles : automatique et manuel. Vous pouvez éditer la configuration de la couche en tout temps et modifier le mode de chargement.
En règle générale, les paramètres avancés qui suivent ne doivent pas être modifiés.
Pour créer une couche matricielle à partir d’une source de données spatiales WMS, vous devez indiquer à JMap Server quelles données doivent être chargées à partir du serveur WMS.
Le serveur WMS publie la liste de toutes les couches qu’il peut servir ainsi que leurs propriétés. L’interface de création de couches WMS vous permet de sélectionner les couches à inclure dans la couche WMS que vous souhaitez créer.
JMap Server propose deux modes de connexion au serveur WMS : Direct et Serveur.
Le mode Direct implique que l'application JMap Server communique directement avec le service WMS qui lui retourne l'image. Les applications de type Pro, Web, NG et Survey supportent cette option.
Le mode Serveur implique que l'application demande à JMap Server de communiquer avec le service WMS et de lui retourner l’image. Si l’application ne supporte pas cette option, l’option Direct est utilisée automatiquement. Les applications de type Pro et Web supportent cette option.
Vous pouvez ajouter une couche à un projet en l’important à partir d’un projet qui a été exporté d’un autre serveur JMap. La section Exportation et importation offre des détails sur l’exportation et l’importation de ressources d’un serveur JMap Server.
L’importation d’une couche dans un projet implique également la création dans JMap Server d’une source de données qui contient les données de la couche importée.
Lorsque vous appuyez sur Ajouter / Importer… l’Assistant d’importation vous guide pour importer une ou plusieurs couches à partir du projet dans lequel elles se trouvent :
Pour commencer le processus sélectionnez le Fichier d’importation. Appuyez sur Parcourir pour accéder à l’Explorateur de fichiers.
Sélectionnez le fichier .properties qui contient le projet dont vous souhaitez importer les couches.
Appuyez sur Suivant.
Sélectionnez le Projet qui contient la couche que vous souhaitez importer.
Sélectionnez les Couches à importer.
Appuyez sur Suivant.
Si le projet dans lequel vous importez la couche contient une couche avec le même nom que celle qui vous importez, sélectionnez le critère à appliquer pour résoudre le conflit entre couches : Créer une nouvelle couche avec un nom différent, Remplacer la couche existante ou Utiliser la couche existante.
Appuyez sur Suivant.
Si le serveur JMap Server dans lequel vous importez la couche contient une source de données spatiales avec le même nom que la source de données de la couche que vous êtes en train d’importer, sélectionnez le critère pour résoudre le conflit entre sources de données : Créer une nouvelle source de données spatiales avec un nom différent, Remplacer la source de données spatiales existante ou Utiliser la source de données spatiales existante.
Appuyez sur Suivant.
Un résumé liste le nombre de ressources importées du projet : couches, bases de données, connexions à distance, sources de données spatiales, modèles de style, modèles de métadonnées.
Appuyez sur Importer. La couche est ajoutée dans le projet et une nouvelle source de données spatiales est créée dans JMap Server.
Une couche doit être publiée pour être accessible aux utilisateurs.
Une couche qui n’est pas publiée ne fait pas partie des applications qui diffusent le projet, et les utilisateurs ne peuvent aucunement la visualiser ou y accéder.
Lorsqu’une nouvelle couche est créée, elle n’est pas publiée par défaut, ce qui vous permet d’exécuter différentes tâches de configuration sur celle‑ci avant de la rendre disponible aux utilisateurs. Par exemple, il est important de configurer les seuils de visibilité en fonction de l’échelle de façon adéquate avant que la couche ne puisse être affichée aux utilisateurs.
Après la création d’une couche, vous devez appuyer sur le bouton Publier dans la page des détails de la couche.
Vous pouvez aussi publier une sélection de couches, à partir de l'onglet Couches de l'interface de configuration du projet. Dès qu'une couche est sélectionnée le bouton Publier devient actif.
Il peut aussi être utile d’annuler la publication d’une couche existante afin de la rendre indisponible aux utilisateurs sans toutefois la supprimer.
Les rapports d’information sont utilisés pour afficher des informations descriptives concernant les éléments de la couche. Ces rapports peuvent afficher des attributs extraits de la source de données spatiales de la couche ou encore des informations extraites d’autres bases de données. Chaque couche peut comporter zéro, un ou plusieurs rapports. Les rapports d’information sont présentés sous forme de pages Web ou de documents en format PDF.
L'onglet Rapports de l'interface de configuration de la couche offre les outils pour configurer les rapports.
L'onglet présente un tableau des rapports configurés pour la couche. Dans les applications JMap, les rapports sont présentés dans cet mème ordre. Il est possible de changer l’ordre à l’aide du menu Modifier.
Pour créer un nouveau rapport d’information, appuyez sur Créer.
Pour effacer des rapports, sélectionnez-les dans le tableau et appuyez sur Supprimer.
Il existe trois types de rapports : De base, Avancé et Personnalisé.
Les rapports de base sont générés sous forme de pages web. Ils contiennent des fonctions d’exportation en format Excel et d’impression. Les tables contenant les valeurs peuvent être triées en cliquant sur les entêtes des colonnes. Il est aussi possible de configurer les noms des champs à afficher dans les rapports.
Les rapports de type avancé sont basés sur l’outil de rapport BIRT (http://www.eclipse.org/birt/). Un modèle de rapport par défaut est fourni avec JMap. Il est aussi possible d’utiliser l’application BIRT report Designer afin de créer des rapports personnalisés, ou encore de modifier le modèle fourni pour l’adapter à vos besoins (ajouter un logo, changer les couleurs, etc.). Pour plus d’information sur le développement de rapports, consultez le site web de BIRT (http://www.eclipse.org/birt).
Les rapports peuvent être générés en format HTML ou en format PDF. Ils supportent aussi l’intégration d’une carte géographique.
Avec les rapports de type avancé, il est possible de choisir le modèle de rapport à utiliser. Deux modèles sont livrés par défaut avec JMap, soit un modèle de rapport de base et un modèle de rapport avec une carte géographique intégrée. Chacun de ces modèles est aussi disponible en 2 versions : pour un seul élément et pour une sélection d’éléments multiples.
Vous pouvez créer vos propres modèles de rapports en vous basant sur les modèles existants, et les ajouter à ceux de JMap. Il vous sera alors possible de sélectionner vos modèles pour la configuration de rapports.
Les fichiers de modèles (.rpttemplate) de rapports sont placés dans le répertoire JMAP_HOME/applications/templates/reports. Vos modèles doivent être placés dans le sous-répertoire single ou multiple, selon qu’ils sont en version élément simple ou éléments multiples.
Les rapports de type personnalisé sont des rapports externes à JMap qu’il est possible d’appeler au moyen d’une URL. Ces rapports peuvent provenir d’outils de rapports (p.e. Crystal Reports, Jaspersoft, etc.) ou encore de simples pages web.
Une syntaxe spéciale permet de formater les paramètres à passer pour l’ouverture du rapport.
Les rapports de types de base et avancé peuvent prendre leurs données dans les attributs de la couche ou dans une base de données externe connectée à JMap.
Sélectionner l’option Couche courante afin de créer un rapport simple qui n’interroge que les attributs de la couche (voir plus bas pour l’option Base de données externe). Sélectionner ensuite les attributs à inclure dans le rapport en utilisant les cases à cocher. Seuls les attributs sélectionnés seront présentés à l’utilisateur. Les autres seront exclus du rapport. Finalement, il est possible spécifier des titres pour les attributs. Ceux-ci seront affichés à l’utilisateur au lieu des noms réels des attributs.
Sélectionner l’option Base de données externe afin d’indiquer à JMap qu’il faut présenter des informations provenant d’une autre base de données, et non pas de la couche. Cette option permet d’interroger toute base de données possédant un champ qui correspond à un des attributs de la couche.
Pour les rapports prenant leurs données dans une base de données externe, il est possible de définir les titres champs à afficher dans le rapport, au lieu des noms des champs de la base de données. Appuyez sur Titres pour définir ces titres.
Les formulaires sont utilisés dans JMap pour les requêtes par attributs afin de saisir les paramètres de recherche, pour la saisie des données attributaires des couches éditables et pour la gestion de données stockées dans des bases de données, toujours en relation avec les éléments d’une couche. Il existe aussi un type de formulaires appelé sous-formulaire, accessible à partir d’un autre formulaire.
L’administrateur JMap conçoit les formulaires à l’aide du designer de formulaires et les utilisateurs peuvent ensuite les utiliser dans les applications JMap Pro, Web, NG et Survey. Selon les permissions accordées, les utilisateurs pourront utiliser les formulaires de saisie de données pour visualiser, ajouter, modifier ou effacer des données.
Si aucun formulaire n’est créé pour la saisie des attributs des éléments d’une couche , JMap génère un formulaire par défaut. Il s’agit d’un formulaire simple qui présente tous les attributs disponibles. Il est généralement beaucoup plus avantageux de créer un formulaire adapté aux besoins spécifiques des utilisateurs des applications.
Les sections suivantes expliquent en détails le processus de création des formulaires ainsi que la fonction de chaque type de formulaire.
Les formulaires de bases de données sont utilisés pour gérer des données stockées dans des bases de données externes à JMap Server. Ils permettent de modifier les données existantes, d’ajouter des nouvelles données et d’effacer des données.
Il est possible de créer plusieurs formulaires de bases de données pour une même couche.
Chaque formulaire de bases de données comporte ses propres permissions pour contrôler quels utilisateurs peuvent modifier les données.
Ces formulaires peuvent être utilisés pour gérer des données avec une relation 1 à 1 avec les données d’une couche. Dans ce cas, un enregistrement est ajouté quand un élément est créé, et l’enregistrement est normalement effacé quand l’élément est effacé.
Ils peuvent aussi être utilisés pour gérer des données avec une relation 1 à N avec les données de la couche. Dans ce cas, le formulaire est un type spécial appelé sous-formulaire et est toujours associé avec une composante table d’un formulaire. Voir la section Sous-formulaires pour plus d’information à ce sujet.
La configuration de ce type de formulaires est une fonction avancée de JMap et nécessite l’écriture de requêtes SQL pour l’extraction, l’ajout, la modification et l’effacement des données.
Pour créer un formulaire de saisie des attributs d’une couche, dans l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Vous devez entrer un nom pour le nouveau formulaire. Vous devez ensuite choisir le type Base de données, et sélectionner la base de données qui contient les données à utiliser dans les formulaires.
À l’étape suivante, une fenêtre permet d’entrer les requêtes SQL du formulaire. Ces requêtes servent à extraire, ajouter, modifier et effacer des données.
La requête SELECT est obligatoire tandis que les autres sont optionnelles.
Les utilisateurs des applications JMap peuvent effectuer seulement les opérations pour lesquelles vous fournissez une requête SQL.
La configuration des requêtes SQL utilise une syntaxe spécialisée. En règle générale, chaque ligne de cette syntaxe doit se terminer par un point-virgule (;). La syntaxe n’est pas sensible à la casse.
Le tableau suivant explique en détail le fonctionnement de cette syntaxe.
Les sous-formulaires sont des formulaires de base de données qui sont ouverts à partir d’une composante Table présente dans un autre formulaire. Ils servent normalement à gérer des données qui ont une relation 1 à N avec les éléments de la couche. Ils pourraient servir, par exemple, pour la gestion des données d’inspection sur des actifs (N inspections peuvent être associées au même objet). Ils se configurent de manière similaire aux autres formulaires de base de données.
Pour créer un sous-formulaire, dans la section Sous formulaire de l'onglet Formulaires de l'interface de configuration de la couche, appuyez sur Créer.
Vous devez entrer un nom pour le nouveau sous-formulaire et sélectionner la base de données qui contient les données à utiliser dans les formulaires.
À l’étape suivante, vous devez configurer les requêtes SQL du sous-formulaire, tel qu’expliqué plus haut pour la création d’un formulaire de base de données.
Plusieurs niveaux de sous-formulaires peuvent être imbriqués dans un sous-formulaire. Ils servent à gérer des données qui ont une relation 1 à N avec les enregistrements du sous-formulaire. Ils peuvent servir, par exemple, pour la gestion des données des interventions qui découlent d’une inspection effectuée à un actif (N interventions peuvent être associées à 1 inspection).
Un sous-formulaire imbriqué est ouvert à partir d’une composante Table présente dans le sous-formulaire auquel il se rattache.
La création d’un sous-formulaire imbriqué suit les mêmes étapes de la création de sous-formulaires. Des exemples des requêtes sont présentés dans la section Création de formulaires de base de données.
La figure présente un aperçu des sous-formulaires imbriqués de l’exemple dans l’application JMap Pro.
Le bouton Permissions du formulaire s'affiche dans son interface de configuration.
La section Permissions comporte deux onglets : Permissions et Propriétaires. Les propriétaires sont les seuls à pouvoir gérer les permissions d’administration du formulaire, gérer la liste des propriétaires et la supprimer.
Les utilisateurs et groupes disponibles sont configurés dans la section JMap Server de JMap Admin. Reportez‑vous à la section Gestion des comptes utilisateur et des groupes pour plus d’informations sur la gestion des utilisateurs dans JMap.
Les permissions disponibles sont décrites dans le tableau suivant.
JMap permet de partager des couches entre des projets d’un même serveur ou provenant de serveurs distants qui sont connectés. Le partage de couches permet de faire une gestion plus efficace des données (moins de redondance, gains de temps) en réutilisant des couches existantes, plutôt qu’en créant de nouvelles couches dans chaque projet.
Lorsque les couches originales sont modifiées, les changements sont automatiquement visibles dans tous les projets qui ont des couches par référence qui pointent vers ces couches partagées.
Les couches par référence ne peuvent pas être modifiées directement, excepté pour quelques paramètres de base. Seule la couche originale partagée peut être modifiée.
À partir de la version Kathmandu, JMap Server peut partager ou synchroniser des couches avec la plateforme-service infonuagique JMap Cloud développée par K2 Geospatial. Ainsi les couches de JMap Server avec leur configuration peuvent être consommées par des utilisateurs d'applications de JMap Cloud.
La synchronisation s’effectue seulement dans le sens de JMap Server vers JMap Cloud.
La figure illustre le partage de couches entre projets d’un même serveur JMap et de serveurs JMap distincts. Les propriétés de la couche Rivers ne peuvent pas être modifiées dans les projets 1 et 3. La couche originale est celle du projet 2.
Pour partager des couches entre les projets d’un même JMap Server, aucune action n’est requise. Les couches sont accessibles librement de n’importe quel projet sur le même serveur. Voir la section Accès à des couches partagées pour plus d’information.
Pour partager des couches d’un projet en vue d’y accéder depuis un autre JMap Server, vous devez attribuer à un utilisateur une permission spéciale d’accès à distance pour ces couches. Pour ce faire, accédez à l'onglet Couches du projet pour lequel vous souhaitez partager des couches.
Sélectionnez une ou plusieurs couches.
Appuyez sur Permissions.
Sélectionnez la permission Accéder à distance.
Le compte utilisé doit correspondre au compte utilisateur qui a servi pour établir la connexion vers ce JMap Server. S’il s’agit d’un groupe, celui-ci doit contenir le compte en question.
Une fois les couches ainsi partagées, elles peuvent être sélectionnées à partir du JMap Server distant et insérées dans les projets de ce serveur. Voir la section Accès à des couches partagées pour plus d’information.
Pour arrêter le partage des couches, simplement retirer la permission Accéder à distance sur ces couches.
Pour accéder à des couches d’autres projets sur le même JMap Server, ou à des couches partagées sur d’autres JMap Server :
Dans l'onglet Couches du projet auquel vous souhaitez ajouter les couches, appuyez sur Ajouter et ensuite sur Dupliquer / Référencer.
Sélectionnez le serveur JMap Server à partir duquel vous souhaitez dupliquer ou référencer des couches. Si vous choisissez Serveur local, vous pourrez sélectionner les projets et les couches du serveur local, sans que celles-ci soient partagées. Les autres serveurs dans la liste sont les JMap Server pour lesquels il existe une connexion JMap Server à JMap Server. Voir la section Connexions JMap Server à JMap Server pour plus d’information sur la création de connexions JMap Server à JMap Server.
Sélectionnez le projet qui contient les couches que vous souhaitez dupliquer ou référencer. Une fois le projet sélectionné, la liste des couches disponibles s’affiche.
Sélectionnez les couches que vous souhaitez dupliquer ou référencer et déplacez-les vers la liste de droite.
Sélectionnez l’option Dupliquer ou l’option Référencer.
Si vous choisissez l’option Dupliquer, les couches sélectionnées seront dupliquées vers votre projet. Elles seront des copies conformes des couches originales mais il n’y aura plus de lien entre les copies et les originales.
Vous pourrez modifier les copies des couches, sans affecter les couches originales.
Si vous effacez une couche dupliquée, la couche originale n’est pas affectée. Si vous effacez la couche originale, les couches dupliquées ne sont pas affectées.
Les couches dupliquées utilisent la même source de données spatiales que la couche originale. Si cette source de données est modifiée ou effacée, cela affectera les couches dupliquées.
Les permissions de la couche originale sont copiées dans la couche dupliquée.
Si vous choisissez l’option Référencer, les couches originales seront accédées par référence. Cela signifie qu’un lien direct sera maintenu entre les couches de votre projet et les couches originales.
Vous ne pourrez pas modifier ces couches dans votre projet. Si les couches originales sont modifiées, les changements seront visibles partout où des références vers ces couches existent, après un court délai.
Si vous effacez une couche par référence, la couche originale n’est pas affectée. Si vous effacez la couche originale, les couches par référence vont cesser de fonctionner et devront être effacées manuellement.
Les permissions de la couche originale sont copiées dans la couche par référence.
Les permissions des deux couches, originale et référencée sont indépendantes.
Vous pouvez modifier les permissions de la couche référencée et celles de la couche originale ne sont pas modifiées. Vous pouvez modifier les permissions de la couche originale, celles de la couche référencée ne sont pas modifiées.
Vous pouvez partager une ou plusieurs couches avec la plateforme infonuagique JMap Cloud. Vous pouvez le faire à partir de l'interface de configuration d'une couche ou à partir de l'onglet Couches du projet.
Au préalable vous devez vous connecter à JMap Cloud. La section Paramètres de JMap Server offre les détails sur ce sujet. Si cette étape n’est pas complétée, un message l’indique.
Dans la section JMap Cloud :
Sélectionnez les couches que vous souhaitez synchroniser avec JMap Cloud et :
Appuyez sur le bouton Sync avec JMap Cloud.... Si toutes les couches sont déjà synchronisées avec JMap Cloud, elles sont directement mises à jour dans JMap Cloud. Si au moins une des couches n’est pas copiée ou synchronisée avec JMap Cloud, une fenêtre s’ouvre vous offrant plusieurs options quant aux actions à exécuter (copier ou synchroniser les couches) et au projet destination (créer un nouveau projet ou utiliser un projet existant) :
Copier les couches : Cette fonction crée une copie des couches (configuration et données) et de leurs sources de données spatiales dans JMap Cloud. Aucun lien JMap Server → JMap Cloud n’est créé. Si les couches sont mises à jour sur JMap Server, les données ne sont pas synchronisées avec JMap Cloud. Synchroniser les couches : Cette fonction crée une copie des couches (configuration et données) et de leurs sources de données spatiales dans JMap Cloud. Un lien JMap Server → JMap Cloud est créé. S’il y a une mise à jour des couches sur JMap Server, les données sont synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. Créer un nouveau projet : Indiquez le nom du projet qui sera créé en JMap Cloud pour recevoir les couches. Utiliser un projet existant : Sélectionnez le projet sur JMap Cloud dans lequel les couches sont copiées ou synchronisées.
Appuyez sur pour créer une nouvelle section, pour effacer une section existante ou pour renommer une section. Appuyez sur pour réinitialiser tout le formulaire.
Appuyez sur les boutons et pour insérer des rangées ou des colonnes vides aux endroits correspondants.
Le symbole indique que la composante est en mode lecture seule.
Le symbole indique que la valeur est requise.
Le bouton permettent de modifier les paramètres de la composante. Le bouton permet de supprimer la composante du formulaire.
Détermine si le champ est requis. L’utilisateur ne pourra pas soumettre le formulaire tant que tous les champs requis ne seront pas renseignés. Pour rendre certains champs optionnels, vous devez désélectionner cette option. Les champs requis sont identifiés par un dans le designer de formulaires.
Optionnellement, entrez une valeur par défaut pour initialiser le champ de saisie. Il est possible d’utiliser certaines pour initialiser la valeur par défaut d’une composante.
Texte statique à afficher dans le formulaire. L’alignement du texte (gauche, droite, centre) peut être spécifié, de même que le style de la police de caractères pour l’affichage du texte. Il est possible d’utiliser certaines dans le texte de l’étiquette.
Les valeurs de la liste peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou provenir d’une autre source : Valeurs Entrez les valeurs dans l’espace prévu en spécifiant pour chaque cas, la valeur parent (seulement si la liste est dynamique), la valeur à utiliser dans la base de données et l’étiquette à afficher dans la liste. C’est la valeur qui est utilisée comme donnée. L’étiquette ne sert que pour l’affichage à l’utilisateur. Dans le cas où la valeur et l’étiquette sont les mêmes, entrez la même valeur 2 fois. Si la liste n’est pas dynamique, laissez la valeur parent vide. Obtenir valeurs d’une base de données Vous devez sélectionner la base de données de laquelle vous souhaitez obtenir les valeurs. Ensuite, entrez une requête SQL qui sera exécutée pour obtenir les valeurs parent (seulement si la liste est dynamique), les valeurs et les étiquettes à afficher. Normalement, les étiquettes devraient être uniques et triées. Les exemples qui suivent utilisent la table MY_TABLE.
La valeur enregistrée dans le champ est la liste des choix sélectionnés, séparés par des virgules (,). Les valeurs de la liste peuvent être entrées manuellement, provenir d’une base de données ou d’une autre source. Voir Liste (choix unique) pour plus d’informations. Voir la section dans Requêtes de sélection par attributs pour les détails de configuration de la requêtte.
Le champ de type BLOB n’est pas requis si le stockage des photos se fait sur disque et non dans la base de données. Voir l’option Persistance des photos pour plus de détails. Champ ID de photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra l’identifiant numérique unique de la photo. Champ ID de l’élément : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra l’attribut identifiant de l’élément de la couche. Cet attribut s’appelle l’attribut clé et est sélectionné lors de la création de la source de données spatiales associée à la couche. Champ du nom du fichier : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le nom du fichier des photos. Champ titre de la photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le titre de la photo. Champ commentaire de la photo : Sélectionnez le champ de la table qui contiendra le commentaire de la photo. Ce champ contient 255 caractères. Persistance des photos : Choisissez l’option Base de données pour enregistrer les photos directement dans la base de données, dans un champ de type BLOB présent dans la table. Vous devez alors sélectionner le champ de type BLOB. Choisissez l’option Disque pour enregistrer les images dans un dossier du système de fichiers du serveur. Vous devez alors entrer le dossier des photos qui contiendra les fichiers des photos.
Dans cet exemple, le champ ITEM_VALUE contient la valeur, le champ ITEM_LABEL_EN contient le nom du pays ou de la ville en anglais et le champ ITEM_LABEL_FR contient le nom du pays ou de la ville en français. Le champ PARENT_VALUE contient le parent. Avec cette configuration, JMap va construire l’arbre suivant :
La figure suivante illustre le design du formulaire Assets avec la composante Table qui permet d’afficher les données d’inspections, saisies au moyen du sous-formulaire Inspections.
La figure suivante illustre le design du sous-formulaire Inspections avec les composantes Table qui permettent d’afficher les données des interventions et des inspecteurs, saisies au moyen des sous-formulaires imbriqués Interventions et Inspectors.
Pour plus d’information sur l’utilisation des données externes avec les formulaires de JMap, consultez la section .
Entrez l’expression logique qui définit la règle. La syntaxe est celle de . Vous pouvez entrer des expressions logiques et/ou mathématiques. L’expression doit être respectée pour que le formulaire puisse être validé et fermé. C’est à dire que l’utilisateur d’une application JMap (Pro, Survey, NG) doit entrer les données correctes pour les champs concernés par l’expression pour que celle-ci soit respectée (s’avère vraie) et le formulaire puisse être sauvegardé et fermé.
Appuyez sur pour sauvegarder les paramètres.
Appuyez sur pour sauvegarder les paramètres.
Une liste des utilisateurs et groupes ayant des permissions s’affiche dans l'onglet Permissions. Appuyez sur afin d’ajouter de nouveaux utilisateurs ou groupes.
Dans l’interface de gestion des permissions, sélectionnez le compte utilisateur, ou le groupe, à qui attribuer la permission d’accès à distance (vous pouvez ajouter des comptes utilisateurs et des groupes en appuyant sur ).
Appuyez sur . Une fenêtre s’ouvre vous offrant plusieurs options quant aux actions à exécuter (copier ou synchroniser la couche), au projet destination (créer un nouveau projet ou utiliser un projet existant) et à la couche destination (créer une nouvelle couche ou écraser une couche existante). Copier la couche : Cette fonction crée une copie de la couche (configuration et données) et de sa source de données spatiales dans JMap Cloud. Aucun lien JMap Server → JMap Cloud n’est créé. Si la couche est mise à jour sur JMap Server, les données ne sont pas synchronisées avec JMap Cloud. Synchroniser la couche : Cette fonction crée une copie de la couche (configuration et données) et de sa source de données spatiales dans JMap Cloud. Un lien JMap Server → JMap Cloud est créé. S’il y a une mise à jour de la couche sur JMap Server, les données sont synchronisées automatiquement avec JMap Cloud. Créer un nouveau projet : Indiquez le nom du projet que sera créé en JMap Cloud pour recevoir la couche. Utiliser un projet existant : Sélectionnez le projet sur JMap Cloud dans lequel la couche sera copiée ou synchronisée. Créer une nouvelle couche : Indiquez le nom de la couche que sera créée en JMap Cloud. Écraser la couche existante : Si vous avez sélectionné un projet existant dans JMap Cloud, sélectionnez la couche que recevra les données et la configuration de la couche que vous copiez ou synchronisez.
Sélectionnez les options qui vous conviennent et appuyez sur OK. État indique l'étape de réalisation de la tâche. Lorsque la couche est synchronisée avec JMap Cloud les informations suivantes s'affichent : Id : Identifiant de la couche dans JMap Cloud. Projet : Le nom du projet dans JMap Cloud. Dernière mise à jour : indique la dernière fois que la couche a été synchronisée. Synchronisation automatique : Indique si cette méthode est utilisée. Une fois que la couche est synchronisée avec JMap Cloud, l’icône apparaît dans la table des couches du projet, dans la colonne JMap Cloud.
Appuyez sur si vous souhaitez supprimer le lien JMap Server → JMap Cloud pour la couche. Il n’est plus possible de synchroniser la couche. La couche de JMap Cloud n’est pas supprimée.
Appuyez sur pour relancer la synchronisation de la couche.
Sélectionnez l’option qui vous convient et appuyez sur OK. Lorsque la synchronisation est finie, les couches affichent l’icône dans la colonne JMap Cloud de la table de couches du projet.
Attribut
Attribut
Sélectionnez l’attribut numérique lié à utiliser.
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon
Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique.
Créer une catégorie pour les valeurs nulles
Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique.
Catégories
Catégories
Entrez le nombre désiré de catégories.
Intervalles
Sélectionnez la méthode utilisée pour déterminer les bornes des intervalles de valeurs. Consultez Méthodes de calcul des intervalles pour plus d’information.
Enlever les catégories en double
Il arrive parfois que plusieurs catégories possèdent exactement les mêmes limites de valeurs. Sélectionnez cette option pour éviter d’avoir des catégories identiques. Cette situation peut se produire lorsque vous avez de très petits ensembles de données ou si les limites sont arrondies à de grands nombres.
Arrondir à
Sélectionnez la valeur à utiliser pour arrondir les limites des intervalles de catégories. Il est souvent plus utile d’arrondir les limites que d’utiliser des nombres très précis (p. ex. arrondissement des populations de pays au million près).
Utiliser le point d’inflexion à
Sélectionnez cette option pour utiliser un point d’inflexion et spécifier la position de l’inflexion.
Éditer le style de base
Utilisez ce lien afin de modifier le style de la couche sans quitter la section Thématiques. Le style de base est utilisé pour produire les styles des catégories.
Type
Il existe 3 types de palettes : Séquentiel : Les couleurs forment un gradient de couleurs séquentielles (p. ex. du blanc au rouge). Divergent : Les couleur forment un gradient avec une couleur centrale (p. ex. du bleu au blanc au rouge). Il y a donc une emphase sur les catégories centrales. Qualitatif : Les couleurs ne suivent aucune séquence.
Inverser l'ordre
Cochez cette case pour inverser l'ordre des couleurs de la palette.
Appliquer à
Choisissez d’appliquer la palette aux différentes variables visuelles (p.ex. remplissage, bordure, etc.) disponibles, selon le type d’élément de la couche.
Thématique diagramme circulaire
Attributs
Sélectionnez un ou plusieurs attributs numériques. Chaque attribut sera représenté par une portion du diagramme circulaire. La taille du diagramme sera déterminée en fonction de la somme des valeurs de ces attributs.
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon
Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non présentes dans l’échantillon des valeurs ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique.
Ignorer les valeurs négatives
Sélectionnez cette option pour ignorer les valeurs négatives.
Style du diagramme circulaire
Taille du diagramme
Sélectionnez les tailles minimale et maximale. La taille du diagramme sera déterminée par interpolation entre ces deux valeurs.
Épaisseur de la bordure
Afin de tracer une bordure autour du graphique, sélectionnez une épaisseur de bordure non égale à zéro.
Angle de départ
Sélectionnez une des orientations à utiliser pour l’angle de départ du diagramme. La première portion du diagramme circulaire débutera à l’angle spécifié.
Dessiner l’ombre
Sélectionnez cette option afin de dessiner une ombre pour les diagrammes circulaires.
Étiquettes
Sélectionnez le type d’étiquette (ou aucun) pour indiquer la valeur ou le pourcentage relatif de chaque portion du diagramme circulaire.
Couleurs
Sélectionnez la couleur de chaque portion du diagramme circulaire.
Intervalles égaux
Les intervalles seront de taille égale entre les valeurs minimale et maximale (p. ex. 0-10,10-20, 20-30).
Nombre d’éléments égaux
Les limites des intervalles seront calculées de façon à ce qu’un nombre égal d’éléments se retrouve dans chaque catégorie.
Écart‑type
Les limites des intervalles seront calculées de façon à ce que la valeur moyenne tombe au milieu des catégories et que la taille des intervalles de chaque catégorie soit égale à l’écart‑type calculé.
Intervalle défini
La taille de l’intervalle est définie par l’utilisateur et constante pour toutes les catégories. La valeur minimale constitue le point de départ, puis l’intervalle défini est ajouté pour chaque catégorie.
Intervalles par pourcentage
L’intervalle pour chaque catégorie est exprimé sous forme de pourcentage de l’intervalle total des valeurs (p. ex. 4 catégories avec 20 %, 20 %, 35 % et 25 %). Le total doit être égal à 100 %.
Intervalles personnalisés
Toutes les limites des intervalles sont définies par l’utilisateur.
Titre de la légende
Entrez un titre pour la légende.
Sous-titre de la légende
Entrez un sous-titre pour la légende.
Légende dynamique
Pour les thématiques de classification seulement. Cochez cette option pour rendre la légende dynamique. Une telle légende est constamment rafraîchie pour ne montrer que les classes qui sont visibles sur la carte affichée.
Symboles dans la légende
Pour les thématiques de quantités proportionnelles seulement. Sélectionnez la quantité de symboles qui vous désirez afficher dans la légende. Le minimum est 2 symboles indiquant les valeurs extrêmes.
Sélection de la source de données spatiales
Sélectionnez la source de données spatiales qui fournira les données de la couche. Sélectionnez une source de données vectorielles pour créer une couche vectorielle ou sélectionnez une source de données matricielles afin de créer une couche matricielle.
Nom
Entrez un nom pour votre nouvelle couche. Ce nom doit être unique. Par défaut, la couche prend le même nom que la source de données sélectionnée.
Description
(Optionnel) Entrez une description pour la nouvelle couche. Celle-ci sera utilisée à des fins administratives.
Type de géométrie
Type de géométrie
Si la source de données peut fournir plus d’un type, sélectionnez le type de géométrie unique pour la couche.
Fabrique d’élément
Fabrique d’élément
Certaines extensions de JMap fonctionnent avec de couches composées d’éléments complexes, intégrés par plusieurs géométries distinctes. Les sources de données spatiales associées à l’extension permettent de définir les éléments complexes. Lorsque une telle source de données spatiales est sélectionnée pour la création d’une couche, cette étape permet de sélectionner l’option appropriée pour configurer les éléments complexes de la couche. Sélectionnez l’option Default factory pour les couches composées par un seul type de géométrie. Cette étape est absente lorsque la source de données spatiales ne permet pas de définir des éléments complexes.
Attributs
Attributs liés
Par défaut, lorsque des éléments d’une couche (points, lignes, polygones, etc.) sont servis par JMap Server, les attributs des éléments (ou données descriptives) ne le sont pas, car les attributs ne sont pas « liés » aux éléments. La liaison des attributs associe les données des attributs aux éléments de la couche.
Seuls les attributs liés peuvent être utilisés pour les fonctions suivantes : étiquetage, infobulles, cartographie thématique et affichage des attributs dans l’explorateur d’éléments ou de sélection. Sélectionnez et ajoutez les attributs à la liste de droite afin de les lier à la couche. Les autres attributs demeureront disponibles pour d’autres fonctions, telles que les requêtes par attributs et les rapports d’information. Notez que le nombre d’attributs liés à une incidence sur l’utilisation du réseau et de la mémoire ainsi que sur la taille des tuiles vectorielles Mapbox et peut donc réduire les performances globales. En principe, les attributs ne devraient être liés que lorsque qu’ils sont requis.
Angle de la géométrie (couches de points seulement)
Attribut de l’angle
Cette section n’est disponible que pour les couches de points. Dans cette section, sélectionnez un attribut numérique qui contient des angles de rotation pour les symboles représentant les points de la couche. Si vous sélectionnez un attribut de l’angle, les symboles seront affichés avec une rotation suivant la valeur de cet attribut.
Unité de mesure angulaire
Choisissez l’unité de rotation à appliquer : degrés ou radiants.
Direction
Choisissez la direction de la rotation. Les valeurs des angles peuvent être interprétées dans le sens horaire ou antihoraire.
Origine de la rotation
Choisissez l’origine de la rotation appliquée : Géographique (nord) ou Arithmétique (est).
Mode de chargement
Charger par tuile (automatique)
Les données sont chargées par zones rectangulaires (tuiles) définies par une grille fixe prédéterminée qui couvre toutes les données de la couche. La structuration des données de la couche en tuiles permet une gestion plus efficace des données, pour le transfert sur le réseau, la gestion de la mémoire et le stockage en cache.
Lorsque vous appuyez sur Terminer à la fin de la configuration, JMap effectue le calcul pour déterminer la configuration optimale de la grille et le tuilage se fait en fonction de cette configuration. Ce mode offre la meilleure performance, car une fois qu’une tuile est extraite d’une source de données, elle peut être mise en cache pendant un certain temps et être ainsi réutilisée efficacement.
Il s’agit du mode recommandé pour la plupart des applications.
Charger par tuile (manuel)
Les données sont chargées par zones rectangulaires (tuiles) définies par une grille fixe prédéterminée qui couvre toutes les données de la couche. Dans cette option, vous configurez le tuilage manuellement. La valeur par défaut est 1 x 1. Vous pouvez la modifier. Prenez note qu'une mauvaise configuration de la grille peut entraîner une diminution des performances du système ou un problème de fonctionnement.
Charger par région
Les données sont chargées par régions aléatoires, selon les actions de navigation sur la carte faites par l’utilisateur. Chaque fois que la couche doit être affichée dans l’application, une nouvelle demande est envoyée à JMap Server, et les données sont à nouveau extraites à partir de la source de données spatiales.
Ce mode est très dynamique puisqu’il n’utilise aucun cache, et les utilisateurs peuvent voir les changements apportés aux données à chacune des manipulations de la carte (zoom, déplacement, etc.). Notez toutefois que ce mode est beaucoup plus exigeant pour JMap Server, et s’il n’est pas utilisé correctement, il peut affecter la performance générale du système. Ce mode doit être utilisé pour les données qui sont dynamiques. Typiquement, ce sont des données qui sont dans une base de données relationnelles et qui peuvent être modifiées de manière aléatoire. C’est le cas pour les couches éditables par JMap.
Avancé (optionnel)
Transformation
Appliquer une translation : Effectuer une translation de chaque géométrie de la couche de X unités horizontalement et Y unités verticalement. Les données d’origine ne sont pas affectées. Généraliser les géométries : Généraliser (simplifier) les géométries en utilisant la tolérance spécifiée. Pour une géométrie donnée, tous les nœuds qui sont plus rapprochés les uns des autres que la tolérance sont éliminés. De plus, tous les nœuds qui sont situés sur une même ligne droite sont éliminées. Les données d’origine ne sont pas affectées. Réduire la précision (meilleure performance) : Utiliser la compression des données pour de meilleures performances. Dans certains cas exceptionnels, cette option peut réduire la précision des données de façon perceptible. À partir de JMap Dakar cette option est décochée par défaut pour les nouvelles couches afin d’éviter des problèmes de performance. Les couches configurées dans les versions antérieures de JMap ne sont pas affectées.
Mise en cache
Cette section vous permet de définir des règles relatives à la mise en cache sur le serveur pour les données vectorielles et leurs attributs. Ceci améliore la performance, car une fois que des données sont mises en cache, JMap Server n’a pas besoin de les charger de nouveau à partir de la source de données. Activer la mise en cache serveur pour cette couche : Choisissez cette option pour activer ou désactiver la mise en cache serveur pour cette couche. Reconstruire après la mise à jour de la source de données : Si la mise en cache est activée, cette option indique à JMap Server de vider et reconstruire le cache pour cette couche lorsque la source de données spatiales correspondante est mise à jour. Le fait de construire le cache à l’avance aide à prévenir les délais pour les utilisateurs. La construction du cache peut prendre un certain temps, selon la quantité de données présentes. Échéance du cache : Cette option indique à JMap Server de ne pas conserver les données en cache au-delà de la période de temps spécifiée. Lorsque l’échéance est atteinte, les données sont chargées de nouveau à partir de la source de données. Ceci s’avère surtout utile pour les sources de données spatiales qui obtiennent leurs données à partir de serveurs de données spatiales auxquels JMap Server est connecté (Oracle Spatial/Locator, géodatabases ESRI, PostGIS, MySQL Spatial etc.). Mettre à jour après “Terminer” : Sélectionnez cette option afin que le cache soit immédiatement construit pour cette couche. La construction du cache peut prendre un certain temps, selon la quantité de données présentes.
Filtre de base
Conditions SQL : Des conditions SQL sont utilisées afin de filtrer les éléments de la source de données spatiales. Seuls les éléments qui satisfont les conditions SQL se retrouveront sur la couche. Ainsi, vous pouvez créer de nombreuses couches affichant différentes données en utilisant la même source de données spatiales. Les conditions SQL sont interprétées directement par le système de base de données, donc la syntaxe ressemble à celle d’une clause WHERE en SQL. Cependant, vous devez toujours indiquer le nom de la table dans la base de données dans la clause. Le mot‑clé WHERE n’est pas requis.
Exemple de syntaxe
WORLD_CITIES.JMAP_ID < 100
où WORLD_CITIES est le nom de la table.
Si vous indiquez seulement JMAP_ID < 100 la couche ne s’affiche pas.
Format d’image
Sélectionnez le format d’image à utiliser pour les transferts d’images entre JMap Server et les applications JMap Pro. Pour les photos aériennes, JPEG donne généralement les meilleurs résultats.
Paramètres du format d’image
Uniquement utilisé avec le format d’image JPEG pour spécifier le facteur de qualité (1 signifie une qualité excellente et une faible compression tandis que 0 signifie une basse qualité et une forte compression). Faites des essais afin de trouver la valeur qui correspond à vos besoins. La valeur 0.5 constitue généralement un bon compromis. Exemple
quality=0.6
Couleur de fond
Indique à JMap Server la couleur de fond des images. Cette couleur sera appliquée à toute région ne contenant pas de données.
Utiliser la couleur de fond comme couleur de transparence
Indique à JMap Server d’utiliser la couleur de fond comme couleur transparente. La transparence permet de placer les images de la carte par‑dessus d’autres couches sans que celles‑ci soient entièrement cachées.
Couche
Sélectionnez la couche du serveur WMTS que vous souhaitez utiliser pour créer la couche. Seules les couches dont la projection est la même que celle du projet sont sélectionnables.
Style
Sélectionnez le style de la couche.
Titre
Le titre du rapport.
Extraire les données de
Couche courante : Obtenir les données du rapport directement dans les attributs de la couche. Voir Couche courante. Base de données externe : Obtenir les informations du rapport d’une base de données externe, connectée à JMap. La base de données doit contenir un champ permettant de faire le lien avec un attribut de la couche. Voir Base de données externe.
Modèle (simple)
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un seul élément de la carte
Modèle (multiple)
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un ensemble d’éléments de la carte.
Attributs
Titre
Texte à afficher dans le rapport au lieu du nom de l’attribut.
Format
HTML : Le rapport est généré sous la forme d’une page web. Des outils permettent d’exporter le contenu du rapport et de l’imprimer. S’il s’agit d’un rapport pour plusieurs éléments de la carte, il est alors possible de trier le contenu du rapport en cliquant sur les entêtes des colonnes. PDF : Le rapport est généré en format PDF. Ce format est mieux adapté pour l’impression car il possède une meilleure mise en page. Par contre, le contenu du rapport est plus statique qu’avec le format HTML.
Titre
Le titre du rapport.
Extraire les données de
Couche courante : Obtenir les données du rapport directement dans les attributs de la couche. Voir Couche courante. Base de données externe : Obtenir les informations du rapport d’une base de données externe, connectée à JMap. La base de données doit contenir un champ permettant de faire le lien avec un attribut de la couche. Voir Base de données externe.
Modèle (simple)
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un seul élément de la carte. Deux modèles sont disponibles : inforequest.rpttemplate : Modèle de base qui contient une table disposée verticalement. inforequestMap.rpttemplate : Semblable au modèle de base mais contient aussi une carte géographique. Voir Modèles de rapports de type avancé.
Modèle (multiple)
Modèle de rapport utilisé pour les rapports sur un ensemble d’éléments de la carte. Deux modèles sont disponibles : selectionreport.rpttemplate : Modèle de base qui contient une table disposée horizontalement. selectionreportMap.rpttemplate : Semblable au modèle de base mais contient aussi une carte géographique. Voir Modèles de rapports de type avancé.
Titre
Le titre du rapport.
URL du rapport
Entrez l’URL qui permettra d’ouvrir le rapport externe. Il est probable que vous deviez passer certains paramètres dans l’URL du rapport pour identifier les éléments pour lesquels on souhaite ouvrir un rapport. Les valeurs des paramètres proviennent généralement des attributs liés des éléments de la carte. Une syntaxe spéciale est utilisée pour le formatage des paramètres.
Par exemple, si votre rapport doit être appelé par cette URL : http://myserver/reports/myreport?id=3, si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera : http://myserver/reports/myreport?id=%0
Mais si votre rapport peut inclure des informations sur une sélection multiple d’éléments de la carte, la syntaxe des paramètres peut prendre une des 2 formes différentes.
Si votre rapport doit être appelé par cette URL :
http://myserver/reports/myreport?id=3,4,5,
et si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera :
http://myserver/reports/myreport?%param[%0,’id’,’,’]
Cette syntaxe utilise l’expression %param[Indice attribut, nom du paramètre, séparateur]
.
Si votre rapport doit être appelé par cette URL :
http://myserver/reports/myreport?id=3,id=4,id=5
et si l’attribut 0 contient les valeurs du paramètre, la syntaxe à utiliser sera :
http://myserver/reports/myreport?%param[%0,’id’]
Cette syntaxe utilise l’expression %param[Indice attribut, nom du paramètre]
. Il est aussi possible d’inclure d’autres variables pour la composition de l’URL, telles que %f
, %p
, %u
, %h
, etc.
Voir la section Variables supportées pour plus d’information à ce sujet.
%n
Remplacée par la valeur d’attribut lié correspondante pour l’élément. Par exemple, %0 fait référence au premier attribut lié, %1 au deuxième, et ainsi de suite.
%f
Remplacée par une date ou un nombre formaté.
Deux formats sont possibles :
%f[%n^D^dd/MM/yyyy]
où %n correspond à un attribut contenant une date, D indique que nous désirons afficher une date formatée et dd/MM/yyyy est la suite du format, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java java.text.SimpleDateFormat.
%f[%n^N^##0,00]
où %n correspond à un attribut contenant un nombre, N indique que nous désirons afficher un nombre formaté, et ##0,00 est la suite du format, tel qu’indiqué dans la documentation de la classe Java java.text.NumberFormat.
%p
Remplacée par le nom du projet en cours.
%u
Remplacée par le nom de l’utilisateur actuellement connecté.
%s
Remplacée par l’identifiant de la session en cours.
%h
Remplacée par le nom de l’hôte ou l’adresse de l’instance JMap Server à laquelle le client est connecté.
%o
Remplacée par le numéro du port (http ou direct) de l’instance JMap Server à laquelle le client est connecté.
%t
Remplacée par l’heure actuelle (date et heure).
Attributs
Base de données
Sélectionnez la base de données d’où seront extraites les données du rapport. La base de données à interroger doit préalablement avoir été configurée dans JMap Admin.
Requête SQL
Saisissez la requête SQL de type SELECT qui sera utilisée pour extraire les données de la base de données. Cette requête peut comporter plusieurs tables. La requête doit inclure le champ clé utilisé pour effectuer la jointure avec un attribut de la couche. Vous devez ensuite appuyer sur Exécuter afin d’exécuter la requête une fois.
Champs de jointure
Table
Sélectionnez la table qui contient le champ de jointure.
Champ
Parmi les champs de la table sélectionnée, sélectionnez le champ qui servira à faire la jointure avec la couche.
Attribut
Parmi les attributs de la couche, sélectionnez celui qui servira à faire la jointure avec les données de la base de données.
ev(attrib) ou elementValue(attrib)
Fonction qui retourne la valeur de l’attribut spécifié en paramètre, pour un élément.
Exemple
ev(city)
Retourne la valeur de l’attribut city de l’élément.
fv(field) ou formValue(field)
Fonction qui retourne la valeur présente dans le formulaire, pour le champ spécifié en paramètre. Le nom du champ doit obligatoirement comporter le nom de la table en préfixe.
Exemple
fv(table.name)
Retourne la valeur saisie dans la composante du formulaire associée au champ TABLE.NAME de la base de données.
ei() ou elementId()
Cette fonction retourne l’identifiant de l’élément. Il peut s’agir du champ jmap_id ou d’un autre champ, tel que configuré dans la source de données spatiales.
$variable
Permet de créer et d’initialiser des variables qui peuvent ensuite être utilisées dans les différentes expressions. Dans le cas de la requête INSERT d’un formulaire, il est obligatoire de créer une variable qui contient l’identifiant unique de l’enregistrement inséré.
Exemple
$city = EV(city);
Crée une variable $city
initialisée avec la valeur de l’attribut CITY de l’élément.
nti(table, field) ou nextTableId(table, field)
Fonction qui retourne la prochaine valeur à utiliser comme identifiant numérique pour la table et le champ spécifiés en paramètres. Le champ spécifié doit exister dans la table spécifiée, et doit être un champ numérique de type entier. La fonction détermine la valeur maximale présente dans la table et retourne cette valeur incrémentée de 1 (max + 1). Cette fonction est utile lors de l’ajout d’un nouvel enregistrement dans la base de données quand la table comporte un identifiant numérique unique.
Exemple
$id = nextTableId(inspections, inspection_id);
Crée et initialise une variable $id avec la valeur du prochain identifiant INSPECTION_ID de la table INSPECTIONS. Si la valeur maximale présente est 100, la valeur retournée est 101.
Base de données
Sélectionnez la base de données contenant les données qui doivent être gérées par le formulaire.
Requête SELECT
Requête SQL qui obtient les données pour peupler les champs du formulaire. Tous les champs qui sont retournés par cette requête peuvent être utilisés pour la configuration des composantes du formulaire et aussi à l’intérieur des autres requêtes définies dans le formulaire en utilisant la fonction fv()
.
La requête doit comporter une condition pour faire la liaison entre un attribut de la couche et un champ de la base de données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
SELECT * FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = EI();
Dans cet exemple, tous les champs de la table ASSET_INFO sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du formulaire.
Le champ ASSET_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la couche ASSETS en utilisant la fonction ei()
.
Si la fonction ei()
retourne une valeur en format texte, pour visualiser la valeur vous devez entourer l’expression d’apostrophes :
SELECT * FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = 'EI()';
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
SELECT * FROM INSPECTION WHERE ASSET_ID = EI();
Dans cet exemple, tous les champs de la table INSPECTION sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ ASSET_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la couche ASSETS en utilisant la fonction ei()
.
Si la fonction ei()
retourne une valeur en format texte, pour visualiser la valeur vous devez entourer l’expression d’apostrophes :
SELECT * FROM INSPECTION WHERE ASSET_ID = 'EI()';
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
SELECT * FROM INSPECTOR WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION_ID);
Dans cet exemple, tous les champs de la table INSPECTOR sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ INSPECTION_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la table INSPECTION en utilisant la fonction fv(field)
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions :
SELECT * FROM INTERVENTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION_ID);
Dans cet exemple, tous les champs de la table INTERVENTION sont obtenus et disponibles pour la configuration des composantes du sous-formulaire.
Le champ INSPECTION_ID est utilisé pour faire la liaison avec l’élément de la table INSPECTION en utilisant la fonction fv(field)
.
Champ d’identifiant
La requête SELECT doit obligatoirement inclure un champ d’identification unique (numérique ou alphanumérique). Sélectionnez le champ qui doit servir d’identifiant unique.
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à 1) ASSET_INFO.ASSET_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire Inspections INSPECTION.INSPECTION_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Inspectors INSPECTOR.INSPECTOR_ID
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Interventions INTERVENTION.INTERVENTION_ID
Requête INSERT
Requête SQL qui fait l’insertion de nouvelles données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre l’ajout d’enregistrements à la base de données. Il est obligatoire de définir une variable qui contient la valeur de l’identifiant unique pour le nouvel enregistrement.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
$id = ei();
INSERT INTO ASSET_INFO (ASSET_ID, ASSET_YEAR, BRAND, ASSET_HEIGHT) VALUES (EI(), FV(ASSET_INFO.ASSET_YEAR), FV(ASSET_INFO.BRAND), FV(ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT));
Dans cet exemple, les données du formulaire sont insérées dans la table ASSET_INFO lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs ASSET_INFO.ASSET_YEAR, ASSET_INFO.BRAND et ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT proviennent des valeurs saisies dans le formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur de la variable ASSET_INFO.ASSET_ID provient de la fonction ei()
.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
$id = nti(INSPECTION, INSPECTION_ID);
INSERT INTO INSPECTION (INSPECTION_ID, ASSET_ID, INSP_DATE, INSP_COMMENT) VALUES ($id, EI(), FV(INSPECTION.INSP_DATE), FV(INSPECTION.INSP_COMMENT));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INSPECTION.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INSPECTION lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSP_DATE et INSP_COMMENT proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INSPECTION_ID provient de la variable $id
. La valeur du champ ASSET_ID provient de la fonction ei()
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
$id = nti(INSPECTOR, INSPECTOR_ID);
INSERT INTO INSPECTOR (INSPECTOR_ID, INSPECTION_ID, CONTACT_INFO, TEAM) VALUES ($id, FV(INSPECTOR.INSPECTION_ID), FV(INSPECTOR.CONTACT_INFO), FV(INSPECTOR.TEAM));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INSPECTOR.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INSPECTOR lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSPECTION_ID, CONTACT_INFO et TEAM proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INSPECTOR_ID provient de la variable $id
.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
$id = nti(INTERVENTION, INTERVENTION_ID);
INSERT INTO INTERVENTION (INTERVENTION_ID, INSPECTION_ID, WORK_ORDER, FOLLOW_UP) VALUES ($id, FV(INSPECTION_ID), FV(INTERVENTION.WORK_ORDER), FV(INTERVENTION.FOLLOW_UP));
Dans cet exemple une variable $id
est créée et initialisée avec la prochaine valeur (max + 1) du champ ID de la table INTERVENTION.
Les données du formulaire sont insérées dans la table INTERVENTION lors de l’exécution de la requête SQL de type INSERT.
Les valeurs des champs INSPECTION_ID, WORK_ORDER et FOLLOW_UP proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La valeur du champ INTERVENTION_ID provient de la variable $id
.
Valeur de l’identifiant unique
Sélectionnez la variable qui contient la valeur de l’identifiant unique du nouvel enregistrement inséré dans la table. Celle-ci doit être définie avec la requête INSERT. Pour que vos données s’enregistrent dans la base de données (les photos, par exemple), vous devez définir et sélectionner cette variable.
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à 1)
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire Inspections
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Inspectors
$id
Exemple de requête du formulaire de base de données (1 à N) sous-formulaire imbriqué Interventions
$id
Requête UPDATE
Requête SQL qui fait la mise à jour des données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre les mises à jour des données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
UPDATE ASSET_INFO SET ASSET_YEAR = FV(ASSET_INFO.ASSET_YEAR), BRAND = FV(ASSET_INFO.BRAND), ASSET_HEIGHT = FV(ASSET_INFO.ASSET_HEIGHT) WHERE ASSET_ID = FV(ASSET_INFO.ASSET_ID);
Dans cet exemple les données du formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table ASSET_INFO lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs ASSET_YEAR, BRAND et ASSET_HEIGHT proviennent des valeurs saisies dans le formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE permet de mettre à jour l’enregistrement qui contient l’identifiant unique de l’élément, ASSET_ID, en utilisant aussi la fonction fv(field)
.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
UPDATE INSPECTION SET INSP_DATE = FV(INSPECTION.INSP_DATE), INSP_COMMENT = FV(INSPECTION.INSP_COMMENT) WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INSPECTION lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs INSP_DATE et INSP_COMMENT sont mises à jour et elles proviennent des valeurs saisies dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field).
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
UPDATE INSPECTOR SET CONTACT_INFO = FV(INSPECTOR.CONTACT_INFO), TEAM = FV(INSPECTOR.TEAM) WHERE INSPECTOR_ID = FV(INSPECTOR.INSPECTOR_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INSPECTOR lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs du champ CONTACT_INFO est mise à jour et elle provient de la valeur saisie dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
UPDATE INTERVENTION SET WORK_ORDER = FV(INTERVENTION.WORK_ORDER), FOLLOW_UP = FV(INTERVENTION.FOLLOW_UP) WHERE INTERVENTION_ID = FV(INTERVENTION.INTERVENTION_ID);
Dans cet exemple les données du sous-formulaire sont utilisées pour mettre à jour la table INTERVENTION lors de l’exécution de la requête SQL de type UPDATE.
Les valeurs des champs WORK_ORDER et FOLLOW_UP sont mises à jour et elles proviennent de la valeur saisie dans le sous-formulaire par l’utilisateur en utilisant la fonction fv(field)
.
La clause WHERE utilise la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant unique de l’enregistrement.
Requête DELETE
Requête SQL qui fait l’effacement des données dans la base de données. Configurez cette requête uniquement si le formulaire doit permettre d’effacer des données.
Exemple de requête pour un formulaire de base de données (1 à 1)
DELETE FROM ASSET_INFO WHERE ASSET_ID = FV(ASSET_INFO.ASSET_ID);
Dans cet exemple l’enregistrement correspondant à la valeur de l’attribut ASSET_ID de l’élément est effacé de la table ASSET_INFO, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant de l’élément.
Exemples de requête pour un formulaire de base de données (1 à N)
Exemple du sous-formulaire Inspections
DELETE FROM INSPECTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID); DELETE FROM INTERVENTION WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID); DELETE FROM INSPECTOR WHERE INSPECTION_ID = FV(INSPECTION.INSPECTION_ID);
Dans cet exemple l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’inspection est effacé de la table en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Les enregistrements des sous-formulaires imbriqués INTERVENTION et INSPECTOR correspondant à l’identifiant unique de l’inspection sont aussi effacés de la table lorsque l’inspection est effacée.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Inspectors
DELETE FROM INSPECTOR WHERE INSPECTOR_ID = FV(INSPECTOR.INSPECTOR_ID);
Dans cet exemple, l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’inspecteur est effacé de la table, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Exemple du sous-formulaire imbriqué Interventions
DELETE FROM INTERVENTION WHERE INTERVENTION_ID = FV(INTERVENTION.INTERVENTION_ID);
Dans cet exemple, l’enregistrement correspondant à l’identifiant unique de l’intervention est effacé de la table, en utilisant la fonction fv(field)
pour obtenir la valeur de l’identifiant.
Ajouter des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour ajouter de nouvelles données dans la base de données.
Modifier des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour modifier des données existantes dans la base de données.
Effacer des données
Permet à un utilisateur ou à un groupe d’utiliser le formulaire pour effacer des données existantes dans la base de données.
Attribut
Attribut
Sélectionnez l’attribut lié à utiliser. Cet attribut peut être numérique ou alphanumérique.
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon
Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique.
Créer une catégorie pour les valeurs nulles
Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique.
Catégories
Triez les catégories en ordre ascendant ou descendant.
Style
Style de base
Vous pouvez sélectionner le style de base de la thématique.
Palette de couleurs
Sélectionner Vous permet de sélectionner une palette de couleurs prédéfinie.
Style valeur nulle
Vous permet de sélectionner le style pour le catégorie valeur nulle (les éléments de la couche présentant une valeur nulle pour l’attribut).
Valeur
Vous permet de filtrer une valeur de catégorie. C’est utile lorsque vous aves une thématique avec des nombreuses catégories.
Style
Vous permet de définir un style pour chaque catégorie. Vous pouvez utiliser un modèle de style.
Attribut
Attribut
Sélectionnez l’attribut lié à utiliser. Cet attribut peut être numérique ou alphanumérique.
Ignorer éléments avec valeurs hors échantillon
Si cette option est sélectionnée, les éléments avec des valeurs non comprises dans l’échantillon ne seront pas affichés. Ceci peut se produire lorsque les données sont modifiées après la création de la thématique.
Créer une catégorie pour les valeurs nulles
Sélectionnez cette option pour que les valeurs nulles soient représentées dans la thématique.
Catégories
Valeurs
Triez les catégories en ordre ascendant ou descendant.
Style
Style de base
Vous pouvez sélectionner le style de base de la thématique.
Palette de couleurs
Sélectionner Vous permet de sélectionner une palette de couleurs prédéfinie.
Style valeur nulle
Vous permet de sélectionner le style pour le catégorie valeur nulle (les éléments de la couche présentant une valeur nulle pour l’attribut).
Valeur
Vous permet de filtrer une valeur de catégorie. C’est utile lorsque vous aves une thématique avec des nombreuses catégories.
Style
Vous permet de définir un style pour chaque catégorie. Vous pouvez utiliser un modèle de style.
Type de connexion (Directe / Serveur)
Si la connexion directe est sélectionnée et qu'une application JMap Pro ne parvient pas à se connecter au serveur WMS, la connexion passera alors au mode serveur.
Notez que si JMap Server est protégé par un pare‑feu ou un serveur mandataire (« proxy »), il se peut que des paramètres d'authentification soient requis pour accéder à Internet. Reportez‑vous à Paramètres de JMap Server pour plus de détails à ce sujet.
Format de sortie
La liste de formats de sortie offerts par le serveur WMS. Vous pouvez sélectionner le format à utiliser.
Couleur de fond
Indique au serveur WMS la couleur de fond des images de la carte. Toute région ne contenant pas de données sera remplie de cette couleur.
Utiliser la couleur de fond comme couleur de transparence
Indique au serveur WMS d'utiliser la couleur de fond comme couleur transparente. La transparence permet de placer les images de la carte par‑dessus d'autres couches sans que celles‑ci soient entièrement cachées.
S.R.S.
La liste de Systèmes de Référence Spatiale offerts par le serveur WMS pour cette couche. Vous pouvez sélectionner celui que vous souhaitez utiliser. Assurez-vous que le SRS sélectionné correspond à la projection du projet car JMap ne peut pas reprojeter les images reçues des serveurs WMS.
Couches disponibles
La liste de couches publiées par le serveur WMS. Si vous immobilisez votre pointeur de souris sur un nom de couche, la description de celle-ci s'affiche automatiquement, ainsi que ses attributs. Les attributs déterminent si la couche est interrogeable (prend en charge les requêtes GetFeatureInfo), en cascade (provient d'un autre serveur WMS) ou opaque (non transparente, c'est‑à‑dire que les couches qui se trouvent en dessous de celle‑ci ne seront pas visibles).
Couches sélectionnées
Nom
Entrez un nom unique pour la thématique. Ce nom pourra être vu par les utilisateurs.
Description
Vous pouvez fournir une description pour la thématique.
Type
Sélectionnez le type de thématique à créer. Les étapes suivantes dépendent du type de thématique.
Saisissez la valeur de la catégorie que vous souhaitez ajouter. Appuyez sur pour ajouter la catégorie.
Les couches sélectionnées parmi celles qui sont disponibles apparaissent dans cette liste. Appuyez sur pour ajouter une nouvelle couche à cette liste. Vous pouvez sélectionner le style devant être utilisé. Un style par défaut est toujours fourni. Appuyez sur pour effacer une couche sélectionnée.